Avec une entame d’année boursière calamiteuse et le resurgissement de la volatilité, les introductions en bourse (IPO), les fusions acquisitions, les émissions obligataires, les rachats de titres, le trading pour compte propre (proper trading) ont connu un ralentissement d’une brutalité dont ne trouve pas trace depuis l’été 2010 en Europe et l’été 2008 aux États-Unis.
Certains se demandaient pourquoi les banques restaient délaissées par les gérants…
Pour en prendre pleinement la mesure, mentionnons la chute de revenus des BFI (la branche banques d’affaires des principales institutions financières planétaires). Une chute abyssale chez Deusche Bank (-45%), Goldman Sachs (-41%), Société Générale (PA:SOGN) (-35%), Citigroup (-33%), HSBC (-32%), BNP-Paribas (-26%) et JP Morgan (-18% mais demeure N°1 mondial avec 269 Mns$, devant « GS » avec 245 Mns$).