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Septembre: tous les regards tournés vers les banques centrales

Publié le 03/09/2014 16:03
Mis à jour le 09/07/2023 12:32


"Septembre est généralement un mauvais mois pour le marché des actions". Mais après une nette progression en août, le marché a simplement "besoin de se reposer".
Mais finalement, en cette rentrée de septembre 2014, tous les regards seront tournés vers les banques centrales et leur politique monétaire respective. Dans un contexte de taux bas, voire nuls, et d'abondance de liquidités dans les circuits financiers, l'harmonisation progressive des politiques monétaires ne sera pas sans effet sur les flux de liquidités. Les anticipations de hausse de taux et les nécessaires réarbitrages impacteront les devises du G20 et émergentes (des “Huit Fragiles” : Afrique du Sud, Brésil, Inde, Indonésie, Turquie, l'Argentine, la Russie et le Chili), les obligations, les opérations de carry trades et surtout les produits dérivés (dont la valeur notionnelle dépasse les 700 000 Milliard de dollars).

Patrick Artus, patron des études économiques chez Natixis expliquait au début de l'été que pour réanimer la croissance mondiale, les Etats ont déversé des milliards de dollars sur l'économie - alimentant d'ailleurs au passage une autre bulle géante, celle des emprunts d'Etat. Quant aux Banques centrales, elles ont largué des flots de cash sur le système financier, via l'injection de liquidités et la baisse de leurs taux d'intérêt. "A présent, la liquidité croît encore plus vite qu'avant la crise. Elle augmente de 30 % par an, contre 15 % entre 1990 et 2007."

Dans un tel contexte, selon Nouriel Roubini, les investisseurs peuvent ainsi gagner de l'argent sur des actifs qui ne sont pas intrinsèquement rentables ! "L'afflux de capitaux ne crée plus des hausses de prix à la consommation comme autrefois, , mais plutôt des bulles d'actifs et de crédit. De la dérive irresponsable , l'excès de cash en circulation est surtout le produit des déséquilibres structurels de l'économie mondiale : des pays bénéficiant d'excédents commerciaux, comme la Chine, inondent la planète (à commencer par les Etats-Unis), le carry-trade : ce dispositif ( un crédit revolving à l'envers , rémunérateur s'en amusent certains traders) consiste à emprunter dans une devise à faible taux d'intérêt (en l'occurrence le dollar), pour réinvestir dans des actifs libellés dans une monnaie plus rémunératrice.

La tendance de fond ainsi décrite, on comprend pourquoi toute anticipation sur une paire de devise, doit se faire selon plusieurs approches, et plus particulièrement, selon une approche macroéconomique, mais aussi, au travers des flux de liquidités dont le mouvement de circulation a nettement accéléré depuis le début de la crise. Cette angle d'analyse n'exclut, évidemment pas, les approches géopolitiques, chartistes et techniques.

LES DEVISES :

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EUR : Ainsi, l'euro, qui n'a pratiquement pas cessé de perdre du terrain depuis début mai, quand il avait frôlé les 1,40 dollar, a creusé encore un peu plus son recul mardi 2 septembre 2014, après une nouvelle série de statistiques préoccupantes sur la santé de la zone euro. Dernier en date: le recul de 0,1% des prix à la production industrielle dans la zone euro en juillet par rapport à juin. Ce chiffre renforce la menace d'une spirale déflationniste au sein de l'Union monétaire, alimentée par l'annonce la semaine dernière d'un nouveau ralentissement de l'inflation en zone euro en août. Lundi c'est la reprise dans le secteur manufacturier qui avait montré de nouveaux signes d'essoufflement en août.

Mais faisons preuve d'honnêteté intellectuelle, à l'image du Wall Street Journal : " La zone euro semble aujourd'hui davantage menacée par un mouvement de panique provoqué par la crainte d'une déflation que par le phénomène de déflation lui-même. Alors que l'inflation dans la zone euro a reculé à 0,3% en août, après 0,4% en juillet, les appels à de nouvelles mesures de politique monétaire, dont de vastes rachats d'emprunts souverains, se font de plus en plus pressants. Mais une fois de plus, l'essentiel du déclin provient des prix volatils de l'énergie, de l'alimentation, du tabac et de l'alcool. Si l'on exclut ces éléments, l'inflation dans la zone euro a progressé à 0,9% en août, contre 0,8% en juillet.
Il pourrait être justifié qu'une banque centrale accorde peu d'attention à une telle évolution. En outre, les appels les plus forts en faveur de nouvelles mesures de la BCE proviennent d'hommes politiques enclins à éviter des décisions difficiles (réformes structurelles) et de marchés "accros" aux largesses des banques centrales (surtout depuis le changement de cap de la Fed).

Quoiqu'il en soit, la pression politique et des marchés semblent avoir eu raison de la Banque centrale européenne (BCE) qui pourrait se montrer plus offensive sous le prétexte de relancer la croissance lors de sa réunion mensuelle jeudi 4 septembre prochain. Après un discours de M. Draghi fin août à Jackson Hole, aux Etats-Unis, "qui avait surpris par sa prudence, les investisseurs misent de plus en plus sur de nouvelles mesures d'assouplissement de la part de la banque centrale", a estimé Omer Esiner de Commonwealth Foreign Exchange. Plusieurs observateurs parient notamment sur la mise en place dans les mois à venir d'un programme de rachats d'actifs. Une telle action, qui équivaudrait à injecter des liquidités dans le système financier de l'Union monétaire pour stimuler l'activité économique, aurait pour effet collatéral de diluer la valeur de l'euro. Espéront que le gardien du Temple, l'Allemagne, saura ramené à la raison la BCE, ce qui ferait rebondir l'EUR sur 1.30.


USD : De l'autre côté de l'Atlantique, la monnaie américaine restait à l'inverse soutenue par de nouvelles données encourageantes: les dépenses de construction ont d'une part rebondi plus qu'attendu en juillet pour atteindre leur plus haut niveau en près de 6 ans et l'activité dans le secteur manufacturier a connu une hausse surprise en août. De bon augure avant le rapport mensuel sur l'emploi aux États-Unis attendu vendredi 5 septembre. "Le dollar reste recherché sur le marché (des devises) car la politique monétaire américaine poursuit son chemin sur la route de la normalisation", a commenté Fawad Razaqzada, analyste chez Forex.com.


GBP : La livre britannique pâtissait de son côté, selon Boris Schlossberg de BK Asset Management, de la montée croissante du soutien au mouvement indépendantiste écossais à un peu plus de deux semaines du référendum d'autodétermination. "Même si la plupart des analystes s'attendent toujours à ce que l'Ecosse reste au sein du Royaume-Uni, la dernière poussée en faveur du oui à l'indépendance a pris de surprise les marchés, qui ne s'attendaient pas à ce que le vote soit si serré", a-t-il noté. "Un pas vers l'indépendance introduirait une grande incertitude sur l'économie britannique, y compris sur la question de la monnaie utilisée par l'Ecosse", a-t-il estimé.

Sur le plan macroéconomique, tous les voyants sont au vert, avec une croissance économique révisée à la hausse en aout, à 3.2%. La consommation des ménages, moteur traditionnel de sorti de crise au Royaume Uni, est au rendez vous, avec 10 trimestres de hausses consécutives. Les seules variables critiques restent les salaires jugés bas par les gouverneurs de la BoE, le niveau d'endettement des ménages et le marchés immobilier, mais surtout la stagnation économique de son principal partenaire commercial, la zone euro.

Cependant, le GBP ne reflète pas la très bonne tendance qu'a prise l'économie britannique. Victime d'une communication particulière du gouverneur de la Banque d'Angleterre, taxé de “showman lacking consistency” par les journaux anglais ("un showman sans cohérence" selon The Daily Telegraph) , mais aussi d'évènements ponctuels comme, par exemple, le référendum écossais. Avec 13% des volumes échangés sur le forex, le sterling devient très spéculatif avec de fortes amplitudes lors de journées sans annonces macroéconomiques ou de journées fériées au Royaume Uni ou aux Etats Unis.

Les marchés attendent un signe concrèt d'une prochaine augmentation du taux de la BoE. Le 20 Aout dernier, Le procès-verbal de la BoE a surpris les investisseurs, alors que deux membres du MPC ont voté pour une hausse des taux en aout, la première scission au sein du Comité depuis plus de 3 an. Martin Weale et Ian McCafferty ont voté pour l’augmentation du taux de référence de 25 points de base contre un plus bas historique de 0,5%, selon le procès-verbal de la réunion du Comité de politique monétaire des 6 et 7 août. Ce signe libèrerait l'élan qu'avait donné Marc Carney (Gouverneur de la BoE) le 18 juin dernier lorsqu'il suggérait que les taux pourraient être remontés plus tôt que le marché ne le pense. Le GBP avait marqué des plus hauts depuis 2008 face aux autres devises.

JPY : Quant au marché japonais, il est berçé par l'espoir que le remaniement partiel du gouvernement Abe soit bénéfique pour une politique axée sur le soutien à la croissance et l'éradication de la déflation. Ce nouveau soutien aurait pour effet de déprécier le yen qui a touché un plus bas de huit mois contre le dollar, mardi 2 septembre, avant de se stabiliser.

Sur le plan macroéconomique, la hausse de la TVA a fait plier l'économie japonaise au deuxième trimestre. La chute de la consommation a entraîné une contraction du PIB nippon de 6,8% au deuxième trimestre, effaçant ainsi la hausse de 6,1% au premier trimestre. L'activité de l'archipel a en outre été freinée par le lourd déficit de sa balance commerciale. "La faible croissance économique mondiale pèse sur les exportations.

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L'autorité a révisé une nouvelle fois à la baisse sa prévision de croissance à 1% sur l'année 2014, se rapprochant ainsi de celle du consensus de 0,9%. «Si le budget additionnel de 5.500 milliards de yens devait se propager à l'activité au troisième trimestre, il est peu probable qu'il suffise à compenser la hausse de TVA», estime Natixis qui prévoit ainsi un nouvel assouplissement de la BoJ dès le 31 octobre après la publication de l'enquête Tankan qui devrait traduire une croissance plus faible que prévu.

C'est ce que Mr Kuroda, gouverneur de la BoJ, a laissait entendre au symposium de Jackson Hole, où se réunissent les principaux banquiers centraux de la planète, en déclarant que les efforts déployés par la BoJ pour écarter la déflation en stimulant l'économie par de gigantesques rachats d'actifs montraient leur efficacité. Il a toutefois admis qu'il n'était pas encore parvenu à démontrer que la BoJ serait capable de ramener l'inflation à 2% qui marquerait le terme de son long combat pour effacer la déflation. "Nous nous sommes engagés à garder la politique accommodante jusqu'à ce que le seuil de 2% soit atteint et durablement maintenu", a dit Haruhiko Kuroda. "Cela signifie que les anticipations d'inflation sont ancrées à 2% (..) et que cela pourrait prendre du temps."

Le JPY pourrait continuer à se déprécier, mais attention, aux tensions géopolitiques qui favorise le monnaie nippone comme valeur refuge.


ZONES DE TENSION :

GEOPOLOTIK
«Si je veux, je peux être à Kiev dans deux semaines.» Selon La Repubblica, c'est ce qu'a lancé le 29 août Vladimir Poutine au président de la Commission européenne José Manuel Barroso, qui a rapporté le lendemain l'anecdote aux chefs d'État et de gouvernement réunis en sommet extraordinaire à Bruxelles. Une citation que rapporte également Libération. Le quotidien italien explique que l'idée de renforcer les sanctions économiques contre la Russie n'a pas fait l'unanimité, trois pays très dépendants de l'économie russe, la Hongrie, la Slovaquie et Chypre, ayant manifesté les plus vives résistances. À l'inverse, la chancelière allemande Angela Merkel s'est inquiétée d'une «escalade militaire» qui, après l'Ukraine, pourrait toucher l'Estonie et la Lettonie et, de concert avec plusieurs de ses collègues, a estimé qu'«il n'y a pas de limites à l'imprévisibilité de Poutine». Le Premier ministre britannique David Cameron a lui aussi dramatisé la situation, toujours selon La Repubblica: «Cette fois, nous ne pouvons pas répondre aux demandes de Poutine, qui a déjà pris la Crimée. Nous ne pouvons pas permettre qu'il prenne le pays. Nous risquons de répéter les erreurs commises à Munich en 1938, nous ne savons pas ce qui va se passer.» A l'issue de la réunion, l'Union européenne a exigé de la Russie de «retirer toutes ses forces militaires» de l'Ukraine et s'est dite prête à «prendre de nouvelles mesures significatives» d'ici une ...

Le président Barack Obama est arrivé mercredi 3 septembre, à Tallinn (Estonie) pour une visite destinée à rassurer les pays baltes qui craignent pour leur sécurité alors que la Russie poursuit son opération militaire en Ukraine tout en se disant, elle, "menacée".


LA CHINE
Pékin fait le ménage dans les finances des provinces chinoises. L'endettement des collectivités, peu transparent, atteint un niveau inquiétant. Préoccupé par l'avalanche de dettes dans les provinces du pays, le pouvoir central chinois tente de faire le ménage dans les comptes opaques de ses baronnies. À partir de janvier 2015, les autorités provinciales devront se financer exclusivement en émettant des obligations, suivant un cahier des charges strict. Cette nouvelle mesure vise à «normaliser» la gestion financière des provinces en endiguant le recours aux financements occultes qui a conduit à l'accumulation de «dettes pourries».
La deuxième puissance économique mondiale a vu sa demande intérieure fléchir "plus que prévu", affirme le FMI, qui abaisse sa prévision pour le pays à 7,4% (-0,2 point), ce qui serait la plus faible progression du PIB chinois en près d'un quart de siècle.
Cependant, Crise bancaire, immobilière, demographique ou democratique, la Chine a un trésor de guerre (reserve de 3 820 Mds$, soit 300 Mds de plus que le PIB ALL), reste la locomotive de la croissance mondiale, avec 1 - 1,2% de croissance sur 3 à 4% de croissance mondiale, et 11% des échanges mondiaux en valeur, contre 10,4% pour les États-Unis.

LES RISQUES FINANCIERS
On rajoutera également, le niveau des Indices boursiers, et notamment du Nasdaq. Il est proche de son record de 2000. Et a compté plus d’introductions que le Nyse. Battra-t-il cette année son record absolu, atteint avant l’éclatement de la bulle Internet, en mars 2000? L’indice Nasdaq, connu pour refléter l’engouement des marchés pour les valeurs technologiques, affiche une hausse insolente de plus de 9 % cette année, qui l’a porté à plus de 4500 points, à quelques encablures seulement des 5048 points atteints le 10 mars 2000 et jamais revus depuis. Il bat même l’autre grand indice américain, le S&P 500, qui a certes franchi lundi le cap historique des 2000 points mais ne gagne qu’un peu plus de 8 %.

Au printemps dernier, les valeurs technologiques, jugées surévaluées, avaient pourtant subi une nette correction. Quelques mois plus tard, les voilà revenues en grâce auprès des investisseurs. Snapchat est le dernier exemple révélateur de la grande question concernant le Nasdaq. L'application mobile est désormais valorisée à plus de 10 milliards de dollars (7,6 milliards d'euros) et attire les investisseurs du monde entier, malgré un modèle économique inexistant.



EN RESUME
L'actualité des banques centrales, et de leur politique monétaire, restera donc au coeur des préoccupations des marchés, car c'est au coeur de l'harmonisation des politiques monétaires, que Christine Lagarde décrivait comme une "terre inconnue", que sommeil le vrai risque. Quid des impacts macroéconomique et financiers d'une hausse des taux de la Federal Réserve Américaine?

LE CAS PARTICULIER DES DERIVES
« Les produits dérivés sont une arme de destruction massive », a coutume de dire l'investisseur et milliardaire américain Warren Buffett. L'étude publiée mardi 17 décembre par le cabinet d'analyse financière indépendante AlphaValue, intitulée « Quelles banques sont des Fukushima en puissance ? », montre que ce n'est pas près de changer. Celle-ci révèle en effet que la valeur notionnelle des dérivés (c'est-à-dire la valeur faciale qui apparaît sur les contrats de ces produits) dépasse désormais son niveau d'avant la crise des subprimes.

Au premier semestre 2013, elle s'élevait en effet à 693 000 milliards de dollars, contre 684 000 milliards au premier semestre 2008, selon les chiffres que le cabinet a tirés des rapports de la Banque des règlements internationaux (BRI). L'équivalent de dix fois le PIB mondial, contre trois fois le PIB mondial il y a quinze ans. « C'est un risque potentiel énorme, et la crise n'a pas changé les pratiques des banques en la matière », explique Christophe Nijdam, qui a piloté l'étude.

CDS, dérivés de taux, swaps… Les produits dérivés sont des instruments financiers dont la valeur varie en fonction du prix d'un actif appelé sous-jacent, qui peut être une action, une obligation, une monnaie, un taux, un indice ou encore une matière première. Or avec des bulles sur toutes les classes d'actifs (la liquidité a augmente de 30 % par an, contre 15 % entre 1990 et 2007), si une seule classe d'actifs s'écroule, c'est toutes les autres qui pourraient s'écrouler à leur tour, avec pour courroie de transmission (et effet multiplicateur) : les produits dérivés.

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