Investing.com - L'euro était en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, mais sa progression demeurait bridée par la hausse des coûts des emprunts de l'Espagne et l'état déplorable de son secteur bancaire.
En fin de première partie de séance européenne, il s'est extirpé d'une oenière de deux ans contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD gagnant 0.27% pour se hisser à 1.2399.
Sa popularité est en effet revenue dans la perspective de la probable approbation par l'Irlande du pacte fiscal de l'Union Européenne lors du referendum actuellement en cours.
Mais l'inquiétude demeurait palpable dans l'angoisse grandissante d'un recours de l'Espagne à un plan de sauvetage, en raison de la hausse des coûts des emprunts et de la fragilisation de son secteur bancaire.
Les dividendes décennaux de Madrid demeuraient proches de 6.7%, aux abords du niveau crucial des 7% ayant précédé l'adoption des bouées de sauvetage de la Grèce, de l'Irlande et du Portugal.
Le flou concernant les résultats des nouvelles élections législatives du 17 juin s'est aussi intensifié après qu'un sondage ait placé de peu le parti Syriza, opposé au programme de rigueur, en tête de la course, juste devant ceux favorables à l'austérité.
La monnaie unique s'est toutefois rapprochée d'un creux de quatre mois par rapport au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0.06% pour reprendre pied à 97.72.
La livre sterling et le franc suisse ont par contre subi sa pression, l'EUR/GBP prenant 0.15% pour monter à 0.8001 et l'EUR/CHF arrachant 0.03% pour grimper à 1.2012.
Ses homologues canadienne et néo-zélandaise ont également fait les frais de sa domination, mais pas l'australienne, l'EUR/AUD laissant échapper 0.06% pour dsecendre à 1.2735, l'EUR/CAD s'élevant de 0.11% pour atteindre 1.2753 et l'EUR/NZD frémissant de 0.01% pour culminer à 1.642.
Les Etats-Unis comptent quand à eux divulguer dans l'après-midi l'évaluation préliminaire de leur croissance économique du premier trimestre, sans oublier des rapports sur l'état du marché de l'emploi privé et le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'une étude sur l'activité des entreprises dans la région de Chicago.
En fin de première partie de séance européenne, il s'est extirpé d'une oenière de deux ans contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD gagnant 0.27% pour se hisser à 1.2399.
Sa popularité est en effet revenue dans la perspective de la probable approbation par l'Irlande du pacte fiscal de l'Union Européenne lors du referendum actuellement en cours.
Mais l'inquiétude demeurait palpable dans l'angoisse grandissante d'un recours de l'Espagne à un plan de sauvetage, en raison de la hausse des coûts des emprunts et de la fragilisation de son secteur bancaire.
Les dividendes décennaux de Madrid demeuraient proches de 6.7%, aux abords du niveau crucial des 7% ayant précédé l'adoption des bouées de sauvetage de la Grèce, de l'Irlande et du Portugal.
Le flou concernant les résultats des nouvelles élections législatives du 17 juin s'est aussi intensifié après qu'un sondage ait placé de peu le parti Syriza, opposé au programme de rigueur, en tête de la course, juste devant ceux favorables à l'austérité.
La monnaie unique s'est toutefois rapprochée d'un creux de quatre mois par rapport au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0.06% pour reprendre pied à 97.72.
La livre sterling et le franc suisse ont par contre subi sa pression, l'EUR/GBP prenant 0.15% pour monter à 0.8001 et l'EUR/CHF arrachant 0.03% pour grimper à 1.2012.
Ses homologues canadienne et néo-zélandaise ont également fait les frais de sa domination, mais pas l'australienne, l'EUR/AUD laissant échapper 0.06% pour dsecendre à 1.2735, l'EUR/CAD s'élevant de 0.11% pour atteindre 1.2753 et l'EUR/NZD frémissant de 0.01% pour culminer à 1.642.
Les Etats-Unis comptent quand à eux divulguer dans l'après-midi l'évaluation préliminaire de leur croissance économique du premier trimestre, sans oublier des rapports sur l'état du marché de l'emploi privé et le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'une étude sur l'activité des entreprises dans la région de Chicago.