Investing.com - Le dollar U.S. limitait les dégâts face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, demeurant cependant dangereusement proche d'un creux de dix semaines par rapport à son homologue japonais, dans le sillage de bonnes nouvelles concernant l'emploi et le commerce là où il a cours.
En seconde partie de séance européenne, il fléchissait fortement devant le yen, l'USD/JPY s'écroulant de 1,81% pour se retrouver à 94,24, après s'être retrouvé au plus bas depuis le 4 avril.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 8 juin, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 1.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Son équivalent du commerce constatait d'autre part 0,6% de ventes au détail supplémentaires pour mai, tirées vers le haut par le secteur automobile, au lieu des 0,4% anticipés.
Celles de produits de base, excluant les moyens de transport, se contentaient en effet de 0,3% comme prévu.
La paire avait fondu en début de journée face à l'épouvantail d'une fin imminente des apports de capitaux injectés par les autorités monétaires, alimentant la désaffection envers les valeurs audacieuses et le billet vert.
La Banque du Japon avait entraîné une déception persistante en n'annonçant en début de semaine aucune mesure destinée à juguler la volatilité frappant les bons du trésor du pays.
Son attentisme, couplé aux bruits évoquant une éventuelle diminution des apports de capitaux de la part de la Réserve Fédérale, poussait à la prudence généralisée et à favoriser la valeur sûre traditionnelle nippone.
Le moral s'est également trouvé sapé par la Banque Mondiale, revoyant à la baisse ses prédictions économiques annuelles, affirmant dans un rapport que l'économie connaîtrait une expansion globale de 2,2% cette année, au lieu des 2,4% envisagés en janvier.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,12% pour reprendre pied à 1,3322, s'éloignant d'un pic de trois mois et demi.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD laissant échapper 0,01% pour glisser à 1,5676, et l'USD/CHF frémissant de 0,14% pour monter à 0,9217.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 1,07% pour monter à 0,9579, le NZD/USD fréissant de 0,13% pour culminer à 0,7991 et l'USD/CAD régressant de 0,51% pour aller vers 1,0157.
Il avait été révélé peu après l'ouverture que le taux de chômage de l'Australie avait reculé depuis 5,6% vers 5,5% pour mai, avec la création de 1.100 emplois, alors que 9.800 suppressions étaient redoutées.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait d'autre part maintenu son taux à 2,5% à l'issue de sa réunion de ce matin, ajoutant s'attendre à son maintien pour le reste de l'année.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,19% pour se situer à 81,01.
En seconde partie de séance européenne, il fléchissait fortement devant le yen, l'USD/JPY s'écroulant de 1,81% pour se retrouver à 94,24, après s'être retrouvé au plus bas depuis le 4 avril.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 8 juin, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 1.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Son équivalent du commerce constatait d'autre part 0,6% de ventes au détail supplémentaires pour mai, tirées vers le haut par le secteur automobile, au lieu des 0,4% anticipés.
Celles de produits de base, excluant les moyens de transport, se contentaient en effet de 0,3% comme prévu.
La paire avait fondu en début de journée face à l'épouvantail d'une fin imminente des apports de capitaux injectés par les autorités monétaires, alimentant la désaffection envers les valeurs audacieuses et le billet vert.
La Banque du Japon avait entraîné une déception persistante en n'annonçant en début de semaine aucune mesure destinée à juguler la volatilité frappant les bons du trésor du pays.
Son attentisme, couplé aux bruits évoquant une éventuelle diminution des apports de capitaux de la part de la Réserve Fédérale, poussait à la prudence généralisée et à favoriser la valeur sûre traditionnelle nippone.
Le moral s'est également trouvé sapé par la Banque Mondiale, revoyant à la baisse ses prédictions économiques annuelles, affirmant dans un rapport que l'économie connaîtrait une expansion globale de 2,2% cette année, au lieu des 2,4% envisagés en janvier.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,12% pour reprendre pied à 1,3322, s'éloignant d'un pic de trois mois et demi.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD laissant échapper 0,01% pour glisser à 1,5676, et l'USD/CHF frémissant de 0,14% pour monter à 0,9217.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 1,07% pour monter à 0,9579, le NZD/USD fréissant de 0,13% pour culminer à 0,7991 et l'USD/CAD régressant de 0,51% pour aller vers 1,0157.
Il avait été révélé peu après l'ouverture que le taux de chômage de l'Australie avait reculé depuis 5,6% vers 5,5% pour mai, avec la création de 1.100 emplois, alors que 9.800 suppressions étaient redoutées.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait d'autre part maintenu son taux à 2,5% à l'issue de sa réunion de ce matin, ajoutant s'attendre à son maintien pour le reste de l'année.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,19% pour se situer à 81,01.