Investing.com - L'euro était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, dans l'expectative de la décision sur la politique monétaire de la Banque Centrale Européenne et des deux jours du sommet crucial de l'Union Européenne.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant le dollar U.S., l'EUR/USD trébuchant de 0.21% pour tomber à 1.3382.
La BCE a de fortes chances d'annoncer une réduction de 0.25 points de son taux d'intérêt directeur, pour le ramener à 1%, sa plus faible valeur de tous les temps, dans l'espoir de donner un coup de fouet à la croissance chancelante de la zone euro.
Les observateurs demeuraient toutefois nerveux après que l'Allemagne ait modéré l'attente d'une avancée décisive concernant un accord d'endiguement de la crise de la dette souveraine de la zone euro lors du sommet des dirigeants de l'Union Européenne débutant dans l'après-midi.
Les dirigeants européens y aborderont les propositions d'amendements des traités fondateurs de l'UE permettant une meilleure intégration fiscale, et un contrôle plus strict de la discipline budgétaire du bloc euro, ouvrant ainsi la voie à un rôle plus important de la BCE dans la stabilisation des marchés obligataires régionaux.
La monnaie unique a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP perdany 0.11% pour glisser à 0.8525.
La Banque d'Angleterre maintiendra vraisemblablement son taux d'intérêt directeur à 0.5%, son plus bas niveau historique, et n'augmentera pas son programme d'achats d'actifs à hauteur de 275 milliards de GBP lors de son conseil d'orientation de cet après-midi.
Elle a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY reculant de 0.55% pour se retrouver à 103.58 et l'EUR/CHF perdant 0.13% pour chuter à 1.2369.
Une étude officielle avavit auparavant signalé que les commandes de machines de base avaient diminué sans crier gare en octobre au Japon, plongeant de 6.9% après s'être déjà effondrées de 8.2% le mois précédent.
Les experts espéraient pourtant les voir arracher 0.2% pour la période considérée.
La devise européenne a par ailleurs été dominée par ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.16% pour aller vers 1.3521, l'EUR/AUD laissant échapper 0.02% pour descendre à 1.3025 et l'EUR/NZD sombrant de 0.23% pour toucher le fond à 1.7157.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que le taux de chômage australien avait augmenté en novembre de manière inattendue, s'élevant à 5.3%, tandis que le nombre des salariés reculait de 6 300 unités après avoir pourtant bénéficié de 16 800 créations de postes le mois précédent.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait pour sa part maintenu sans surprise son taux d'intérêt à 2.5%.
Les Etats-Unis ont quand à eux prévu de rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant le dollar U.S., l'EUR/USD trébuchant de 0.21% pour tomber à 1.3382.
La BCE a de fortes chances d'annoncer une réduction de 0.25 points de son taux d'intérêt directeur, pour le ramener à 1%, sa plus faible valeur de tous les temps, dans l'espoir de donner un coup de fouet à la croissance chancelante de la zone euro.
Les observateurs demeuraient toutefois nerveux après que l'Allemagne ait modéré l'attente d'une avancée décisive concernant un accord d'endiguement de la crise de la dette souveraine de la zone euro lors du sommet des dirigeants de l'Union Européenne débutant dans l'après-midi.
Les dirigeants européens y aborderont les propositions d'amendements des traités fondateurs de l'UE permettant une meilleure intégration fiscale, et un contrôle plus strict de la discipline budgétaire du bloc euro, ouvrant ainsi la voie à un rôle plus important de la BCE dans la stabilisation des marchés obligataires régionaux.
La monnaie unique a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP perdany 0.11% pour glisser à 0.8525.
La Banque d'Angleterre maintiendra vraisemblablement son taux d'intérêt directeur à 0.5%, son plus bas niveau historique, et n'augmentera pas son programme d'achats d'actifs à hauteur de 275 milliards de GBP lors de son conseil d'orientation de cet après-midi.
Elle a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY reculant de 0.55% pour se retrouver à 103.58 et l'EUR/CHF perdant 0.13% pour chuter à 1.2369.
Une étude officielle avavit auparavant signalé que les commandes de machines de base avaient diminué sans crier gare en octobre au Japon, plongeant de 6.9% après s'être déjà effondrées de 8.2% le mois précédent.
Les experts espéraient pourtant les voir arracher 0.2% pour la période considérée.
La devise européenne a par ailleurs été dominée par ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.16% pour aller vers 1.3521, l'EUR/AUD laissant échapper 0.02% pour descendre à 1.3025 et l'EUR/NZD sombrant de 0.23% pour toucher le fond à 1.7157.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que le taux de chômage australien avait augmenté en novembre de manière inattendue, s'élevant à 5.3%, tandis que le nombre des salariés reculait de 6 300 unités après avoir pourtant bénéficié de 16 800 créations de postes le mois précédent.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait pour sa part maintenu sans surprise son taux d'intérêt à 2.5%.
Les Etats-Unis ont quand à eux prévu de rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage