Investing.com - L'euro était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, les bons chiffres de la croissance économique allemande contribuant à renforcer le moral, bien qu'il demeure friable en raison de la crainte d'une éventuelle sortie grecque du bloc où il a cours.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.26% pour grimper à 1.2853.
Il avait en effet repris des couleurs après que des résultats préliminaires aient montré que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à surmonter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus.
Le centre de recherches économiques ZEW a toutefois indiqué que son baromètre économique du pays avait connu une détérioration dépassant considérablement celle qui était redoutée, constituant son premier revers des six derniers mois.
Il est en effet passé de 23.4 à 10.8 pour mai, alors que les experts espéraient que cette dégringolade s'arrêterait à 19 pour la période considérée.
Il a d'autre part été signalé que le PIB du bloc euro avait tout juste évité de tomber en récession au premier trimestre, en demeurant stable alors qu'un recul de 0.2% était anticipé, le dernier trimestre 2011 l'ayant vu reculer de 0.3%.
Aucune flambée n'était toutefois à constater la circonspection restant de mise dans l'angoisse d'un possible échec des discussions grecques visant à former un gouvernement, après plus d'une semaine sans avancée majeure, semant le doute sur la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi sur son futur au sein du bloc euro.
Il avait également été souligné que le PIB de la Grèce avait subi une régression annualisée de 6.2% pour les trois premiers mois de 2012.
La livre sterling lui a aussi cédé du terrain, mais il demeurait à portée de tir de son creux de trois ans et demi, l'EUR/GBP prenant 0.36% pour se hisser à 0.7996.
Elle n'avait guère été affectée par la stabilisation contre toute attente du déficit officiel du commerce extérieur britannique à 8.6 milliards de GBP en mars.
Le yen a aussi subi sa pression, l'EUR/JPY s'élevant de 0.36% pour s'établir à 102.75, mais le franc suisse a fait mieux qu'y résister, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.201.
Ses homologues australienne et canadienne l'ont pas contre dominée, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/AUD se rétractant de 0.22% pour tomber à 1.2848, l'EUR/CAD laissant échapper 0.04% pour descendre à 1.2866 et l'EUR/NZD avançant de 0.27% pour s'élever à 1.6554.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve Bancaire d'Australie avait rappelé ce matin que "les risques venus d'Europe continuaient à perturber les perspectives économiques mondiales" et que "l'inflation devrait demeurer dans la partie basse de la fourchette de ses prévisions en l'absence d'évolution majeure".
La banque centrale avait créé la surprise le premier mai, en rabaissant son taux directeur à 3.75%, son plus bas niveau en deux ans, afin de donner un coup de fouet à la croissance nationale.
Les autorités des Etats-Unis publieront quand à elles dans l'après-midi leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi sur l'évolution des prix à la consommation, mais aussi une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.26% pour grimper à 1.2853.
Il avait en effet repris des couleurs après que des résultats préliminaires aient montré que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à surmonter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus.
Le centre de recherches économiques ZEW a toutefois indiqué que son baromètre économique du pays avait connu une détérioration dépassant considérablement celle qui était redoutée, constituant son premier revers des six derniers mois.
Il est en effet passé de 23.4 à 10.8 pour mai, alors que les experts espéraient que cette dégringolade s'arrêterait à 19 pour la période considérée.
Il a d'autre part été signalé que le PIB du bloc euro avait tout juste évité de tomber en récession au premier trimestre, en demeurant stable alors qu'un recul de 0.2% était anticipé, le dernier trimestre 2011 l'ayant vu reculer de 0.3%.
Aucune flambée n'était toutefois à constater la circonspection restant de mise dans l'angoisse d'un possible échec des discussions grecques visant à former un gouvernement, après plus d'une semaine sans avancée majeure, semant le doute sur la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi sur son futur au sein du bloc euro.
Il avait également été souligné que le PIB de la Grèce avait subi une régression annualisée de 6.2% pour les trois premiers mois de 2012.
La livre sterling lui a aussi cédé du terrain, mais il demeurait à portée de tir de son creux de trois ans et demi, l'EUR/GBP prenant 0.36% pour se hisser à 0.7996.
Elle n'avait guère été affectée par la stabilisation contre toute attente du déficit officiel du commerce extérieur britannique à 8.6 milliards de GBP en mars.
Le yen a aussi subi sa pression, l'EUR/JPY s'élevant de 0.36% pour s'établir à 102.75, mais le franc suisse a fait mieux qu'y résister, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.201.
Ses homologues australienne et canadienne l'ont pas contre dominée, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/AUD se rétractant de 0.22% pour tomber à 1.2848, l'EUR/CAD laissant échapper 0.04% pour descendre à 1.2866 et l'EUR/NZD avançant de 0.27% pour s'élever à 1.6554.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve Bancaire d'Australie avait rappelé ce matin que "les risques venus d'Europe continuaient à perturber les perspectives économiques mondiales" et que "l'inflation devrait demeurer dans la partie basse de la fourchette de ses prévisions en l'absence d'évolution majeure".
La banque centrale avait créé la surprise le premier mai, en rabaissant son taux directeur à 3.75%, son plus bas niveau en deux ans, afin de donner un coup de fouet à la croissance nationale.
Les autorités des Etats-Unis publieront quand à elles dans l'après-midi leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi sur l'évolution des prix à la consommation, mais aussi une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.