Investing.com - L'euro était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, les investisseurs demeurant sceptiques concernant la capcité d'endiguement de la crise de la dette souveraine de la zone euro de l'accord de l'Union Européenne dégagé vendredi.
En première partie de séance européenne, il a fortement fléchi devant le billet vert, l'EUR/USD perdant 0.87% pour tomber à 1.3268.
Les dirigeants de toute l'Union Européenne, à l'exception notable du Royaume-Uni, ont dégagé un consensus portant sur des règles budgétaires plus strictes pour le bloc euro, ainsi que sur la fourniture de 200 milliards d'euros en prêts au Fonds Monétaire International afin de porter secours aux pays surendettés.
Il était encore difficile de savoir si cette action suffirait, après que la Banque Centrale Européenne ait fait savoir qu'elle ne comptait pas renforcer son programme d'achats d'obligations, limitant ses achats hebdomadaires à 20 milliards d'euros.
L'économiste en chef de l'agence de notation Standard & Poor's a pour sa part déclaré ce matin que l'accord de vendredi constituait une étape significative dans la résolution de la "crise de confiance", tout en avertissant que le temps commençait à manquer et que d'autres actions seraient nécessaires.
L'agence avait placé la semaine dernière 15 membres de la zone euro, notamment l'Allemagne et la France, sous une perspective négative en vue d'une éventuelle dégradation au cas où les dirigeants européens ne tombaient pas d'accord sur un plan d'endiguement du problème du surendettement régional.
Sa concurrente Moody's avait aussi contribué à assombrir l'atmosphère, affirmant ce matin que la crise de la dette demeurait à un stade "critique" et "volatil", ajoutant que le bloc demeurait menacé par des risques aggravés envers sa cohésion.
La monnaie unique a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.6% pour chuter à 0.8489.
Elle a aussi subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY se repliant de 0.63% pour plonger à 103.22 et l'EUR/CHF cédant 0.21% pour toucher le fond à 1.233.
Une étude officielle avait auparavant annoncé que le nombre des salariés suisses avait davantage augmenté au troisième trimestre que prévu, mais que l'indice des perspectives de l'emploi montrait pour la première fois en deux ans le signe d'un très léger déclin annualisé.
Elle était par ailleurs en demi-teinte contre ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD laissant échapper 0.16% pour descendre à 1.3589, l'EUR/AUD grignotant 0.14% pour se hisser à 1.3116 et l'EUR/NZD arrachant 0.22% pour culminer à 1.7299.
Des informations émanant des autorités australiennes avaient monttré en début de matinée que l'excédent de la balance commerciale du pays avait moins augmenté en novembre qu'espéré, et d'autres que le nombre des accords de prêts immobiliers avaient quand à eux dépassé les attentes pour le mois dernier.
L'Italie a d'autre part émis en début de journée pour 7 milliards d'euros de bons du trésor à 12 mois, remplissant ainsi son objectif, et ce à un taux moyen de 5.95%, contre 6.08% lors d'une vente équivalente s'étant déroulée le mois dernier.
Ceux à dix ans sont toutefois remontés après cette vente aux enchères aux alentours des niveaux intenables atteints le mois dernier, se retrouvant à 6.93%.
En première partie de séance européenne, il a fortement fléchi devant le billet vert, l'EUR/USD perdant 0.87% pour tomber à 1.3268.
Les dirigeants de toute l'Union Européenne, à l'exception notable du Royaume-Uni, ont dégagé un consensus portant sur des règles budgétaires plus strictes pour le bloc euro, ainsi que sur la fourniture de 200 milliards d'euros en prêts au Fonds Monétaire International afin de porter secours aux pays surendettés.
Il était encore difficile de savoir si cette action suffirait, après que la Banque Centrale Européenne ait fait savoir qu'elle ne comptait pas renforcer son programme d'achats d'obligations, limitant ses achats hebdomadaires à 20 milliards d'euros.
L'économiste en chef de l'agence de notation Standard & Poor's a pour sa part déclaré ce matin que l'accord de vendredi constituait une étape significative dans la résolution de la "crise de confiance", tout en avertissant que le temps commençait à manquer et que d'autres actions seraient nécessaires.
L'agence avait placé la semaine dernière 15 membres de la zone euro, notamment l'Allemagne et la France, sous une perspective négative en vue d'une éventuelle dégradation au cas où les dirigeants européens ne tombaient pas d'accord sur un plan d'endiguement du problème du surendettement régional.
Sa concurrente Moody's avait aussi contribué à assombrir l'atmosphère, affirmant ce matin que la crise de la dette demeurait à un stade "critique" et "volatil", ajoutant que le bloc demeurait menacé par des risques aggravés envers sa cohésion.
La monnaie unique a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.6% pour chuter à 0.8489.
Elle a aussi subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY se repliant de 0.63% pour plonger à 103.22 et l'EUR/CHF cédant 0.21% pour toucher le fond à 1.233.
Une étude officielle avait auparavant annoncé que le nombre des salariés suisses avait davantage augmenté au troisième trimestre que prévu, mais que l'indice des perspectives de l'emploi montrait pour la première fois en deux ans le signe d'un très léger déclin annualisé.
Elle était par ailleurs en demi-teinte contre ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD laissant échapper 0.16% pour descendre à 1.3589, l'EUR/AUD grignotant 0.14% pour se hisser à 1.3116 et l'EUR/NZD arrachant 0.22% pour culminer à 1.7299.
Des informations émanant des autorités australiennes avaient monttré en début de matinée que l'excédent de la balance commerciale du pays avait moins augmenté en novembre qu'espéré, et d'autres que le nombre des accords de prêts immobiliers avaient quand à eux dépassé les attentes pour le mois dernier.
L'Italie a d'autre part émis en début de journée pour 7 milliards d'euros de bons du trésor à 12 mois, remplissant ainsi son objectif, et ce à un taux moyen de 5.95%, contre 6.08% lors d'une vente équivalente s'étant déroulée le mois dernier.
Ceux à dix ans sont toutefois remontés après cette vente aux enchères aux alentours des niveaux intenables atteints le mois dernier, se retrouvant à 6.93%.