Investing.com - Les bourses européennes étaient en progression ce mardi, l'enthousiasme des investisseurs s'améliorant, mais restant toutefois assombri par l'angoissé découlant du niveau d'endettement de la zone euro et des Etats-Unis.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a gagné 0.33%, le CAC 40 français 0.61%, et le DAX 30 allemand 0.3%.
L'atmosphère ambiante s'est réchauffée après que le premier ministre grec Evangelos Venizelos ait déclaré que les représentants de la zone euro prendraient une décision concernant l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides financières dès le 29 novembre.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol fraîchement élu, a quand à lui annoncé qu'il tiendrait son conseil des ministres inaugural le 23 décembre afin d'étudier comment attaquer le déficit budgétaire.
La nervosité restait toutefois présente avec l'échec du "super comité" parlementaire américain dans sa quête d'un accord de réduction du solde négatif des comptes de l'état, l'agence de notation Fitch a toutefois déclaré que l'impasse des négociations aurait des chances d'entraîner un simple placement du pays sous une perspective négative de sa part, et non une dégradation.
La finance coiffait était mitigée, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit bondissant respectivement de 1.74 et 1.23%, pendant que BNP Paribas reculait de 0.37%, et que la Deutsche Bank allemande arrachait 0.2%.
Le secteur automobile a apporté sa pierre à l'édifice, Volkswagen s'envolant de 0.95%, BMW de 0.43%, tet l'italien Fiat de 1.56%.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.43%, propulsé par son domaine financier.
Anglo American se trouvait en tête de peloton, avec une accélération de 1.63%, suivi de HSBC Holdings avec 1.23% tandis que Lloyd's Bankin et la Royal Bank of Scotland se contentaient de 1.09 et 0.82%.
Antofagasta et Xstrata étaient en première ligne parmi les compagnies minières, encaissant 1.68 et 1.08%.
Les mastodontes du genre que sont Rio Tinto et BHP Billiton ont respectivement enflé de 1.61 et 1.21%, tandis que British Petroleum, laissait échapper 0.3%.
British Land a pour sa part raflé 2.16% après que la Bank of America ait estimé que le fonds d'investissement immobilier britannique méritait d'être acheté, au lieu d'être considéré avec neutralité.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles en demi-teinte: les options sur le Dow Jones prévoyaient une sursaut de 0.09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 prévoyaient un creusement de 0.35%.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de leur produit intérieur brut, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique de novembre.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a gagné 0.33%, le CAC 40 français 0.61%, et le DAX 30 allemand 0.3%.
L'atmosphère ambiante s'est réchauffée après que le premier ministre grec Evangelos Venizelos ait déclaré que les représentants de la zone euro prendraient une décision concernant l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides financières dès le 29 novembre.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol fraîchement élu, a quand à lui annoncé qu'il tiendrait son conseil des ministres inaugural le 23 décembre afin d'étudier comment attaquer le déficit budgétaire.
La nervosité restait toutefois présente avec l'échec du "super comité" parlementaire américain dans sa quête d'un accord de réduction du solde négatif des comptes de l'état, l'agence de notation Fitch a toutefois déclaré que l'impasse des négociations aurait des chances d'entraîner un simple placement du pays sous une perspective négative de sa part, et non une dégradation.
La finance coiffait était mitigée, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit bondissant respectivement de 1.74 et 1.23%, pendant que BNP Paribas reculait de 0.37%, et que la Deutsche Bank allemande arrachait 0.2%.
Le secteur automobile a apporté sa pierre à l'édifice, Volkswagen s'envolant de 0.95%, BMW de 0.43%, tet l'italien Fiat de 1.56%.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.43%, propulsé par son domaine financier.
Anglo American se trouvait en tête de peloton, avec une accélération de 1.63%, suivi de HSBC Holdings avec 1.23% tandis que Lloyd's Bankin et la Royal Bank of Scotland se contentaient de 1.09 et 0.82%.
Antofagasta et Xstrata étaient en première ligne parmi les compagnies minières, encaissant 1.68 et 1.08%.
Les mastodontes du genre que sont Rio Tinto et BHP Billiton ont respectivement enflé de 1.61 et 1.21%, tandis que British Petroleum, laissait échapper 0.3%.
British Land a pour sa part raflé 2.16% après que la Bank of America ait estimé que le fonds d'investissement immobilier britannique méritait d'être acheté, au lieu d'être considéré avec neutralité.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles en demi-teinte: les options sur le Dow Jones prévoyaient une sursaut de 0.09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 prévoyaient un creusement de 0.35%.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de leur produit intérieur brut, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique de novembre.