Investing.com - Les bourses européennes ont avancé à pas de loup ce lundi matin, alors que les incertitudes concernant un éventuel appel à l'aide de l'Espagne et les performances décevantes des rentrées des grandes entreprises nuisaient à la popularité des valeurs audacieuses.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.2%, le CAC 40 français de 0.1%, alors que le DAX 30 allemand restait neutre.
Les deux jours du sommet très attendu de l'Union Européenne ont en effet pris fin lors de la journée de cotation précédente sans fournir d'avancées majeures permettant de renforcer la confiance dans la gestion du problème de surendettement régional.
Le moral était pourtant revenu après que le Parti Populaire de centre droit du premier ministre Mariano Rajoy ait renforcé hier sa majorité dans son fief de Galice, éliminant du même coup un obstacle possible à son appel à l'aide auprès de ses partenaires de la zone euro.
Il avait ainsi déclaré vendredi ne toujours pas avoir décidé si il était résigné à accepter la main tendue ou non, éloignant ainsi l'espoir d'une amélioration de la situation du pays.
Une telle décision permettrait du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, mais elle impliquerait aussi de soumettre son budget à l'approbation des bailleurs de fonds, ce qui ne l'a pas incité à aller dans cette direction.
Les opérateurs ont aussi pris acte des dernièrse séries de résultats des entreprises, le conglomérat néerlandais Royal Philips Electronics bondissant de 4.7% après avoir enregistré des ventes ayant bondi de 14%, pour atteindre 6.13 milliards d'euros pour le troisième trimestre.
Mais d'autres nouvelles étaient moins bonnes, Nexans, second fournisseur mondial de câbles, plongeant de 8.2% après avoir revu à la baisse ses prévisions de rentrées annuelles, evisageant un chiffrse d'affaires "stable" au lieu de la "légère croissance naturelle" espérée auparavant.
En France, le fournisseur de services collectifs aquatiques Veolia a dérapé de 4.25% après avoir démenti en fin de semaine les rueurs de fusion avec son rival Suez Environnement, celui-ci déclinant de 0.9% du même coup.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a reculé de 0.1%, tiré vers le bas par un secteur pétrolier en difficulté.
BP, poids lourd des hydrocarbures, a ainsi fondu de 0.9% suite à la confirmation de pourparlers avancés visant à vendre ses 50% de parts de TNK-BP à OAO Rosneft, ses concurrents suivant le mouvement, Royal Dutch Shell avec 0.6% et le BG Group avec 0.65%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois plutôt optimistes après les fortes pertes de la session précédente: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.55%.
Tous les yeux seront désormais tournés vers les résultats des compagnies américaines, les géants Caterpillar, Texas Instruments et Yahoo étant attendus sur le devant de la scène.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.2%, le CAC 40 français de 0.1%, alors que le DAX 30 allemand restait neutre.
Les deux jours du sommet très attendu de l'Union Européenne ont en effet pris fin lors de la journée de cotation précédente sans fournir d'avancées majeures permettant de renforcer la confiance dans la gestion du problème de surendettement régional.
Le moral était pourtant revenu après que le Parti Populaire de centre droit du premier ministre Mariano Rajoy ait renforcé hier sa majorité dans son fief de Galice, éliminant du même coup un obstacle possible à son appel à l'aide auprès de ses partenaires de la zone euro.
Il avait ainsi déclaré vendredi ne toujours pas avoir décidé si il était résigné à accepter la main tendue ou non, éloignant ainsi l'espoir d'une amélioration de la situation du pays.
Une telle décision permettrait du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, mais elle impliquerait aussi de soumettre son budget à l'approbation des bailleurs de fonds, ce qui ne l'a pas incité à aller dans cette direction.
Les opérateurs ont aussi pris acte des dernièrse séries de résultats des entreprises, le conglomérat néerlandais Royal Philips Electronics bondissant de 4.7% après avoir enregistré des ventes ayant bondi de 14%, pour atteindre 6.13 milliards d'euros pour le troisième trimestre.
Mais d'autres nouvelles étaient moins bonnes, Nexans, second fournisseur mondial de câbles, plongeant de 8.2% après avoir revu à la baisse ses prévisions de rentrées annuelles, evisageant un chiffrse d'affaires "stable" au lieu de la "légère croissance naturelle" espérée auparavant.
En France, le fournisseur de services collectifs aquatiques Veolia a dérapé de 4.25% après avoir démenti en fin de semaine les rueurs de fusion avec son rival Suez Environnement, celui-ci déclinant de 0.9% du même coup.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a reculé de 0.1%, tiré vers le bas par un secteur pétrolier en difficulté.
BP, poids lourd des hydrocarbures, a ainsi fondu de 0.9% suite à la confirmation de pourparlers avancés visant à vendre ses 50% de parts de TNK-BP à OAO Rosneft, ses concurrents suivant le mouvement, Royal Dutch Shell avec 0.6% et le BG Group avec 0.65%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois plutôt optimistes après les fortes pertes de la session précédente: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.55%.
Tous les yeux seront désormais tournés vers les résultats des compagnies américaines, les géants Caterpillar, Texas Instruments et Yahoo étant attendus sur le devant de la scène.