Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mercredi, rebondissant de leurs ornières d'hier, les investisseurs demeurant toutefois inquiets du résultat du referendum grec sur le dernier plan de sauvetage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 1.05%, le CAC 40 français de 1.41%, et le DAX 30 allemand de 1.15%.
Angela Merkel, la chancelière allemande, devrait rencontrer ses homologues français et grec à Cannes dans la journée, en préparation au sommet du groupe des 20 pays les plus développés devant être ouvert demain.
Le rejet de l'accord remettrait en question l'attribution de la prochaine tranche d'aides à Athènes, rapprochant ainsi la nation hellène d'un défaut de paiement et augmentant le risque de contagion des marchés financiers mondiaux.
La finance a servi de locomotive, le Crédit Agricole français raflant 4.46%, BNP Paribas 3.82%, et la Deutsche Bank allemande 2.42%.
Les banques italiennes ont également suivi le mouvement, Unicredit prenant 2.36% et Intesa Sanpaolo 3.04%, la nouvelle du referendum surprise grec ayant vu les dividendes des obligations gouvernementales italiennes bondir vers un pic historique jamais vu depuis la mise en place de l'euro, et ce malgré le soutien de la Banque Centrale Européenne au marché obligataire national.
Le Crédit Suisse a par contre vu s'aggraver ses pertes d'hier, avec 7.8% de pertes suite à l'annonce de la suppression de 1 500 emplois supplémentaires dans le cadre d'une réorganisation moins orientée vers les échanges d'obligations européennes habituelles et davantage tournée vers les marchés à forte croissance comme l'Asie et l'Amérique du Sud.
A Londres, le FTSE 100 a arraché 0.36%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays se trouvait au tableau d'honneur, progressant de 3.37%, la Royal Bank of Scotland de 2.84% et HSBC Holdings de 1.47%.
Le secteur énergétique était aussi de la fête, les entreprises spécialisées dans les matières premières se trouvant en force, les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton s'améliorant respectivement de 3.8 et 2.18%, tandis que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys engrangeaient 3.06 et 3.6%.
Les perspectives des marchés américains étaient également optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.68%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.83% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.89%.
Une étude vait auparavant signalé que le nombre des chômeurs allemands avait connu en septembre une hausse inattendue, auugmentant de 10 000 personnes après en avoir pourtant réduit de 22 000 le mois précédent, et ce alors que les experts espéraient qu'il diminue à nouveau, mais de 10 000 unités.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 1.05%, le CAC 40 français de 1.41%, et le DAX 30 allemand de 1.15%.
Angela Merkel, la chancelière allemande, devrait rencontrer ses homologues français et grec à Cannes dans la journée, en préparation au sommet du groupe des 20 pays les plus développés devant être ouvert demain.
Le rejet de l'accord remettrait en question l'attribution de la prochaine tranche d'aides à Athènes, rapprochant ainsi la nation hellène d'un défaut de paiement et augmentant le risque de contagion des marchés financiers mondiaux.
La finance a servi de locomotive, le Crédit Agricole français raflant 4.46%, BNP Paribas 3.82%, et la Deutsche Bank allemande 2.42%.
Les banques italiennes ont également suivi le mouvement, Unicredit prenant 2.36% et Intesa Sanpaolo 3.04%, la nouvelle du referendum surprise grec ayant vu les dividendes des obligations gouvernementales italiennes bondir vers un pic historique jamais vu depuis la mise en place de l'euro, et ce malgré le soutien de la Banque Centrale Européenne au marché obligataire national.
Le Crédit Suisse a par contre vu s'aggraver ses pertes d'hier, avec 7.8% de pertes suite à l'annonce de la suppression de 1 500 emplois supplémentaires dans le cadre d'une réorganisation moins orientée vers les échanges d'obligations européennes habituelles et davantage tournée vers les marchés à forte croissance comme l'Asie et l'Amérique du Sud.
A Londres, le FTSE 100 a arraché 0.36%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays se trouvait au tableau d'honneur, progressant de 3.37%, la Royal Bank of Scotland de 2.84% et HSBC Holdings de 1.47%.
Le secteur énergétique était aussi de la fête, les entreprises spécialisées dans les matières premières se trouvant en force, les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton s'améliorant respectivement de 3.8 et 2.18%, tandis que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys engrangeaient 3.06 et 3.6%.
Les perspectives des marchés américains étaient également optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.68%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.83% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.89%.
Une étude vait auparavant signalé que le nombre des chômeurs allemands avait connu en septembre une hausse inattendue, auugmentant de 10 000 personnes après en avoir pourtant réduit de 22 000 le mois précédent, et ce alors que les experts espéraient qu'il diminue à nouveau, mais de 10 000 unités.