Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées ce mardi, les bénéfices décevants aggravant les inquiétudes liées aux perspectives de profitabilité des entreprises, tandis que les retards dans les négociations grecques continuaient à assombrir l'atmosphère.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a grignoté 0.06%, et le CAC 40 français 0.04%, mais le DAX 30 allemand a dévissé de 0.37%.
Lucas Papademos, premier ministre grec, devait s'entretenir en cours de journée avec les dirigeants de sa coalition dans l'espoir de trouver un accord concernant les conditions d'appication du second plan de secours, après avoir déjà échoué hier à dégager un consensus.
Les représentants de l'Union Européenne ont affiré que le plan de secours à hauteur de 130 milliards d'euros devait être définitivement adopté d'ici le 15 février, afin d'éviter un défaut de paiement quand elle aura 14.5 milliards en obligations à rembourser le 20 mars.
UBS, premier prêteur suisse, a reculé de 2.04% suite à l'aveu de profits du quatrième trimestre inférieurs aux estimations des experts et de perspectives moroses pour l'année en cours, invoquant le fait que les conditions difficiles rencontrées en 2011 n'avaient guère de chances d'évoluer.
Le reste du secteur était en demi-teinte, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.43 et 1.57%, tandis que la Deutsche Bank allemande l'aissait échapper 0.45%.
Pour continuer au chapitre des revenus, ArcelorMittal, premier sidérurgiste mondial, a engrangé 1.79% malgré l'annonce de ses bénéfices trimestriels les plus bas des deux dernières années, le ralentissement des économies de l'Europe et de la Chine nuisant à la demande pour l'acier, tirant du même coup ses prix vers le bas.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a fléchi de 0.08%, tiré vers le bas par des miniers en retrait, tandis que des informations émanant de spécialistes de la grande distribution signalaieent une recul de 0.3% des ventes au détail pour janvier.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont fondu de 1.29 et 0.51%, tandis que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys plongeaient de 2.22 et 1.68%.
La finance britannique ne montrait pas de tendance claire, Barclays gagnant 0.76%, et le Lloyds Banking Group 0.48% mais HSBC Holdings trébuchant de 0.03%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles très légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera de son coté dans l'après-midi des perspectives économiques et de l'état des comptes fédéraux devant le comité budgétaire sénatorial à Washington.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a grignoté 0.06%, et le CAC 40 français 0.04%, mais le DAX 30 allemand a dévissé de 0.37%.
Lucas Papademos, premier ministre grec, devait s'entretenir en cours de journée avec les dirigeants de sa coalition dans l'espoir de trouver un accord concernant les conditions d'appication du second plan de secours, après avoir déjà échoué hier à dégager un consensus.
Les représentants de l'Union Européenne ont affiré que le plan de secours à hauteur de 130 milliards d'euros devait être définitivement adopté d'ici le 15 février, afin d'éviter un défaut de paiement quand elle aura 14.5 milliards en obligations à rembourser le 20 mars.
UBS, premier prêteur suisse, a reculé de 2.04% suite à l'aveu de profits du quatrième trimestre inférieurs aux estimations des experts et de perspectives moroses pour l'année en cours, invoquant le fait que les conditions difficiles rencontrées en 2011 n'avaient guère de chances d'évoluer.
Le reste du secteur était en demi-teinte, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.43 et 1.57%, tandis que la Deutsche Bank allemande l'aissait échapper 0.45%.
Pour continuer au chapitre des revenus, ArcelorMittal, premier sidérurgiste mondial, a engrangé 1.79% malgré l'annonce de ses bénéfices trimestriels les plus bas des deux dernières années, le ralentissement des économies de l'Europe et de la Chine nuisant à la demande pour l'acier, tirant du même coup ses prix vers le bas.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a fléchi de 0.08%, tiré vers le bas par des miniers en retrait, tandis que des informations émanant de spécialistes de la grande distribution signalaieent une recul de 0.3% des ventes au détail pour janvier.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont fondu de 1.29 et 0.51%, tandis que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys plongeaient de 2.22 et 1.68%.
La finance britannique ne montrait pas de tendance claire, Barclays gagnant 0.76%, et le Lloyds Banking Group 0.48% mais HSBC Holdings trébuchant de 0.03%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles très légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera de son coté dans l'après-midi des perspectives économiques et de l'état des comptes fédéraux devant le comité budgétaire sénatorial à Washington.