Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce jeudi, les craintes au sujet de la gestion des problèmes financiers espagnols ne pesant finalement pas énormément sur le moral malgré la dégradation de la notation du pays par l'agence Standard & Poor's.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.08%, le CAC 40 français de 0.31%, et le DAX 30 allemand de 0.57%.
L'agence de notation a en effet rétrogradé dans la soirée de mercredi l'Espagne de BBB-plus vers BBB-moins, avec une perspective négative, invoquant "les risques grandissants liés à l'état des finances nationales".
Elle a aussi estimé que la capacité de Madrid à faire face aux problèmes posés par crises fiscales et économiques actuelles diminuait.
La circonspection était également de circonstance au vu du flou de la position du gouvernement concernant une possible demande d'aide, et la forme que prendrait une opération de secours.
Du côté financier, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank engrangeaient respectivement 1.41 et 0.35%, imités par les français Société Générale et BNP Paribas avec 0.88 et 0.61%.
Mais la périphérie n'était pas à la fête, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo laissant échapper 0.3 et 0.4%, tandis que les espagnols BBVA et Banco Santander chutaient de 1.05 et 1.12%.
En France, les supermarchés Carrefour ont quand à eux bondi de 4.63% après n'avoir pourtant enregistré qu'une modeste hausse de leurs rentrées au troisième trimestre.
A Londres, le FTSE 100 a avancé de 0.31%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues franco-allemands.
HSBC Holdings a ainsi pris 0.63%, et la Royal Bank of Scotland 2.17%, Lloyds Banking et Barclays caracolant avec 2.21 et 2.27%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.46 et 1.51%, suivis des cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 1.39 et 2.97%.
La grande distribution n'était pas à négliger, Burberry's s'envolant de 8.82% après avoir déclaré que ses recettes du premier semestre avaient augmenté de 6% par rapport à l'année passée, alors que Tesco se contentait de frémir de 0.41%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.41%.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté en fin de journée leurs chiffres officiels portant sur le commerce extérieur, les nouvelles inscriptions au chômage, les prix à l'importation et le volume des réserves pétrolières.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.08%, le CAC 40 français de 0.31%, et le DAX 30 allemand de 0.57%.
L'agence de notation a en effet rétrogradé dans la soirée de mercredi l'Espagne de BBB-plus vers BBB-moins, avec une perspective négative, invoquant "les risques grandissants liés à l'état des finances nationales".
Elle a aussi estimé que la capacité de Madrid à faire face aux problèmes posés par crises fiscales et économiques actuelles diminuait.
La circonspection était également de circonstance au vu du flou de la position du gouvernement concernant une possible demande d'aide, et la forme que prendrait une opération de secours.
Du côté financier, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank engrangeaient respectivement 1.41 et 0.35%, imités par les français Société Générale et BNP Paribas avec 0.88 et 0.61%.
Mais la périphérie n'était pas à la fête, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo laissant échapper 0.3 et 0.4%, tandis que les espagnols BBVA et Banco Santander chutaient de 1.05 et 1.12%.
En France, les supermarchés Carrefour ont quand à eux bondi de 4.63% après n'avoir pourtant enregistré qu'une modeste hausse de leurs rentrées au troisième trimestre.
A Londres, le FTSE 100 a avancé de 0.31%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues franco-allemands.
HSBC Holdings a ainsi pris 0.63%, et la Royal Bank of Scotland 2.17%, Lloyds Banking et Barclays caracolant avec 2.21 et 2.27%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.46 et 1.51%, suivis des cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 1.39 et 2.97%.
La grande distribution n'était pas à négliger, Burberry's s'envolant de 8.82% après avoir déclaré que ses recettes du premier semestre avaient augmenté de 6% par rapport à l'année passée, alors que Tesco se contentait de frémir de 0.41%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.41%.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté en fin de journée leurs chiffres officiels portant sur le commerce extérieur, les nouvelles inscriptions au chômage, les prix à l'importation et le volume des réserves pétrolières.