Investing.com - Les bourses européennes étaient nettement en berne ce jeudi, mises à mal par la plongée des valeurs financières après que Moody's ait annoncé qu''elle pourrait dégrader de nombreuses banques dans le monde entier, le spectre des retards dans les négociations grecques continuant à flotter.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a dégringolé de 1.22%, le CAC 40 français de 0.75%, et le DAX 30 allemand de 1.38%.
L'atmosphère s'est assombrie après qu'il ait été signalé que les représentants de l'UE étudiaient les moyens de retarder le deuxième programme de secours, craignant que les dirigeants politiques de la nation hellène ne soient pas entièrement concacrés à la mise en place des mesures de rigueur draconiennes exigées par les bailleurs de fonds internationaux.
Jean-Claude Juncker, chef du groupe des ministres des finances de l'Eurogroupe, a déclaré hier être sûr que ces derniers prendront une décision finale sur la question du plan de secours et de la restructuration des créances privées lors de leur réunion prévue lundi.
La Société Générale, seconde banque française, s'est effondrée de 3.82% suite à l'aveu d'une dégringolade de 89% de ses profits au quatrième trimestre, sa branche d'affaires s'étant retrouvée en déficit.
Sa compatriote BNP PAribas l'a suivie avec 2.46%, leurs collègues allemandes Deutsche Bank et Commerzbank laissant respectivement échapper 3.39 et 3.64%.
Axa, deuxième assureur d'Europe, a également perdu 3.15% de plumes, après avoir annoncé 82% d'écroulement de ses bénéfices au second semestre, n'ayant pu bénéficier de ventes de ses actifs comme lors du précédent, et souffrant de ventes d'assurance-vie en mauvaise posture.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.71%, plombé par la déconfiture de son secteur financier, bien qu'une étude ait montré que la confiance des consommateurs britanniques avait davantage progressé en janvier qu'il n'avait été espéré.
Lloyds Banking a l'aissé échapper 3.38% et Barclayse 3.08%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings limitant les dégâts à 2.25 et 1.46%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont subi la tendance avec 2.02 et 1.59%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys glissant de 0.74 et 1.7%;
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.27%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.21%.
Les Etats-Unis verront leurs autorités annoncer le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier des rapports sur le inflation des prix à la production et les inscriptions au chômage, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, prononcera un discours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a dégringolé de 1.22%, le CAC 40 français de 0.75%, et le DAX 30 allemand de 1.38%.
L'atmosphère s'est assombrie après qu'il ait été signalé que les représentants de l'UE étudiaient les moyens de retarder le deuxième programme de secours, craignant que les dirigeants politiques de la nation hellène ne soient pas entièrement concacrés à la mise en place des mesures de rigueur draconiennes exigées par les bailleurs de fonds internationaux.
Jean-Claude Juncker, chef du groupe des ministres des finances de l'Eurogroupe, a déclaré hier être sûr que ces derniers prendront une décision finale sur la question du plan de secours et de la restructuration des créances privées lors de leur réunion prévue lundi.
La Société Générale, seconde banque française, s'est effondrée de 3.82% suite à l'aveu d'une dégringolade de 89% de ses profits au quatrième trimestre, sa branche d'affaires s'étant retrouvée en déficit.
Sa compatriote BNP PAribas l'a suivie avec 2.46%, leurs collègues allemandes Deutsche Bank et Commerzbank laissant respectivement échapper 3.39 et 3.64%.
Axa, deuxième assureur d'Europe, a également perdu 3.15% de plumes, après avoir annoncé 82% d'écroulement de ses bénéfices au second semestre, n'ayant pu bénéficier de ventes de ses actifs comme lors du précédent, et souffrant de ventes d'assurance-vie en mauvaise posture.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.71%, plombé par la déconfiture de son secteur financier, bien qu'une étude ait montré que la confiance des consommateurs britanniques avait davantage progressé en janvier qu'il n'avait été espéré.
Lloyds Banking a l'aissé échapper 3.38% et Barclayse 3.08%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings limitant les dégâts à 2.25 et 1.46%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont subi la tendance avec 2.02 et 1.59%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys glissant de 0.74 et 1.7%;
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.27%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.21%.
Les Etats-Unis verront leurs autorités annoncer le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier des rapports sur le inflation des prix à la production et les inscriptions au chômage, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, prononcera un discours.