Investing.com - Les places d'Asie étaient sans direction tranchée ce mardi matin, celles du Japon prenant de l'avance, les investisseurs profitant de la faiblesse de ma monnaie locale.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.2%, et l'ASX/200 australien 0.1%, mais le Nikkei 225 japonais engrangeait 0.7%.
Tokyo s'est en effet hissée au plus haut des 32 mois écoulés le yen continuant à prendre l'eau face au dollar U.S. alors que les yeux se tournaient vers la prise de cap de la Banque du Japon du 22 janvier.
Il a plongé aux abords de son plus bas niveau depuis juin 2010, ravivant les espoirs d'exportations florissantes.
Les constructeurs automobiles Mazda et Nissan ont du coup avancé respectivement de 2.5 et 1.2%, et le fournisseur de matériel électronique grand public Sony de 1.2%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 22% depuis la mi-novembre, dans l'expectative enthousiaste de mesures monétaires agressives de la part de la banque centrale du pays, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Hong Kong était par contre en léger retrait, les investisseurs estimant urgent d'attendre pour cette semaine l'avalanche de résultats cruciaux de la Chine.
Le pays devrait révéler vendredi son produit intérieur brut du quatrième trimestre, ainsi que les chiffres de sa production industrielle, et le volume de ses ventes au détail.
Les grands noms de l'exportation participaient à la tendance, Li & Fung, premier fournisseur de jouets aux principaux revendeurs américains, plongeant de 1.5%, et Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail basé à Hong Kong, comptant l'Europe comme premier débouché, pas moins de 3%.
Sydney partageait cette morosité, les exploitants faisant preuve d'une forme inégale, les regards se focalisant là aussi sur les statistiques chinoises.
Ils sont ainsi fortement dépendants des besoins en matièrse premières de la seconde économie mondiale, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.1% chacun, mais Newcrest Mining empochait 2%.
Le détaillant de vêtements de surf Billabong s'est pour sa part envolé de 16% après que VF Corp. et Altamont Capital Partners aient annoncé dans la soirée avoir en offert 556 millions d'USD.
Cette proposition s'aligne sur celle du fonds de gestion privé Sycamore Partners.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt en retrait, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
La zone euro comptait pour sa part divulguer à la mi-journée les chiffres officiels de son commerce extérieur.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté dans l'après-midi leur volume de leurs ventes au détail, ainsi que l'évolution de leurs coûts de production, sans oublier un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.2%, et l'ASX/200 australien 0.1%, mais le Nikkei 225 japonais engrangeait 0.7%.
Tokyo s'est en effet hissée au plus haut des 32 mois écoulés le yen continuant à prendre l'eau face au dollar U.S. alors que les yeux se tournaient vers la prise de cap de la Banque du Japon du 22 janvier.
Il a plongé aux abords de son plus bas niveau depuis juin 2010, ravivant les espoirs d'exportations florissantes.
Les constructeurs automobiles Mazda et Nissan ont du coup avancé respectivement de 2.5 et 1.2%, et le fournisseur de matériel électronique grand public Sony de 1.2%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 22% depuis la mi-novembre, dans l'expectative enthousiaste de mesures monétaires agressives de la part de la banque centrale du pays, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Hong Kong était par contre en léger retrait, les investisseurs estimant urgent d'attendre pour cette semaine l'avalanche de résultats cruciaux de la Chine.
Le pays devrait révéler vendredi son produit intérieur brut du quatrième trimestre, ainsi que les chiffres de sa production industrielle, et le volume de ses ventes au détail.
Les grands noms de l'exportation participaient à la tendance, Li & Fung, premier fournisseur de jouets aux principaux revendeurs américains, plongeant de 1.5%, et Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail basé à Hong Kong, comptant l'Europe comme premier débouché, pas moins de 3%.
Sydney partageait cette morosité, les exploitants faisant preuve d'une forme inégale, les regards se focalisant là aussi sur les statistiques chinoises.
Ils sont ainsi fortement dépendants des besoins en matièrse premières de la seconde économie mondiale, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.1% chacun, mais Newcrest Mining empochait 2%.
Le détaillant de vêtements de surf Billabong s'est pour sa part envolé de 16% après que VF Corp. et Altamont Capital Partners aient annoncé dans la soirée avoir en offert 556 millions d'USD.
Cette proposition s'aligne sur celle du fonds de gestion privé Sycamore Partners.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt en retrait, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
La zone euro comptait pour sa part divulguer à la mi-journée les chiffres officiels de son commerce extérieur.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté dans l'après-midi leur volume de leurs ventes au détail, ainsi que l'évolution de leurs coûts de production, sans oublier un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.