Investing.com - Les places d'Asie ont conclu sur une note mitigée ce mercredi matin, l'attente du conseil d'orientation de la Banque du Japon permettant à ce dernier d'émerger.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,6%% et le Hang Seng de Hong Kong 0,2%, mais le Nikkei 225 japonais arrachait 3%.
Sydney a en effet subi une coup de mou chez ses spécialistes des matière premières, subissant la chute des cours de l'or et du cuivre à New York.
Newcrest Mining plongeait ainsi de 3%, Alumina de 2,8%, et le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group de 3,4%.
Hong Kong alternait pour sa part entre légers gains et pertes limitées lors d'échanges sans direction claire, les opérateurs tâchant de prendre en compte les signes d'amélioration de l'activité tertiaire chinoise.
L'indice des directeurs des achats des prestataires de services de la Chine établi par HSBC a culminé à 54,3 pour mars, sa plus haute valeur en six mois, et son pendadnt officiel passait de 54,5 à 55,6 dans le même temps.
Le passage à vide des matériaux bruts se faisait là aussi sentir, l'Aluminum Corporation of China, alias CHALCO, dérapant de 1,7%, le cuivrier Jiangxi Copper Company et l'exploitant aurifère Zijin Mining Group faisant pire avec respectivement 1,8 et 2,3% de repli.
Tokyo est par contre nettement remontée, annulant les 3% perdus sur deux jours, les grands noms de l'exportation profitant du regain de forme du billet vert contre le yen.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Les constructeurs automobiles Honda et Mazda avançaient ainsi de 4,6 et 6,5%, suivis de Nissan et Toyota avec 3,8% chacun.
Fast Retailing, poids lourd de son indice, s'envolait carrément de 13,9% après avoir revendiqué pour le mois dernier des ventes record au sein de sa chaîne de friperies Uniqlo.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement assombri, l'activité médiocre des usines et l'emploi peu reluisant de la région ayant alimenté les angoisses au sujet de son expansion économique au premier trimestre.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,6%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,6% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0,3% et sur le FTSE 100 britannique à 0,3% également.
Les autorités du bloc euro devraient quand à elles dévoiler incessamment les premières évaluations de l'inflation des prix au détail.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le décompte des salariés effectué par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité tertiaire nationale.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,6%% et le Hang Seng de Hong Kong 0,2%, mais le Nikkei 225 japonais arrachait 3%.
Sydney a en effet subi une coup de mou chez ses spécialistes des matière premières, subissant la chute des cours de l'or et du cuivre à New York.
Newcrest Mining plongeait ainsi de 3%, Alumina de 2,8%, et le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group de 3,4%.
Hong Kong alternait pour sa part entre légers gains et pertes limitées lors d'échanges sans direction claire, les opérateurs tâchant de prendre en compte les signes d'amélioration de l'activité tertiaire chinoise.
L'indice des directeurs des achats des prestataires de services de la Chine établi par HSBC a culminé à 54,3 pour mars, sa plus haute valeur en six mois, et son pendadnt officiel passait de 54,5 à 55,6 dans le même temps.
Le passage à vide des matériaux bruts se faisait là aussi sentir, l'Aluminum Corporation of China, alias CHALCO, dérapant de 1,7%, le cuivrier Jiangxi Copper Company et l'exploitant aurifère Zijin Mining Group faisant pire avec respectivement 1,8 et 2,3% de repli.
Tokyo est par contre nettement remontée, annulant les 3% perdus sur deux jours, les grands noms de l'exportation profitant du regain de forme du billet vert contre le yen.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Les constructeurs automobiles Honda et Mazda avançaient ainsi de 4,6 et 6,5%, suivis de Nissan et Toyota avec 3,8% chacun.
Fast Retailing, poids lourd de son indice, s'envolait carrément de 13,9% après avoir revendiqué pour le mois dernier des ventes record au sein de sa chaîne de friperies Uniqlo.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement assombri, l'activité médiocre des usines et l'emploi peu reluisant de la région ayant alimenté les angoisses au sujet de son expansion économique au premier trimestre.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,6%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,6% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0,3% et sur le FTSE 100 britannique à 0,3% également.
Les autorités du bloc euro devraient quand à elles dévoiler incessamment les premières évaluations de l'inflation des prix au détail.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le décompte des salariés effectué par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité tertiaire nationale.