Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une note fortemeent négative ce lundi matin, Hong Kong et la Chine continentale subissant l'angoisse marquée d'une diminution des flux de capitaux.
Les autres subissaient aussi la crainte d'un tour de vis de la Réserve Fédérale avant la fin de l'année.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 1,5%, le Hang Seng de Hong Kong 2,4% et le Nikkei 225 japonais 1,3%.
Sydney subissait en effet le spectre d'un essoufflement de l'essor chinois.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient respectivement de 3,4 et 2,2%, le Fortescue Metals Group, centré sur le minerai de fer, leur emboîtant le pas avec 4,3%.
Les fournisseurs de matières premières australiens dépendent en effet fortement des besoins chinois.
Hong Kong plongeait pour sa part au plus bas des neuf mois écoulés, subissant toujours la peur d'un manque de liquidités.
Le secteur financier s'en ressentait, la China Construction Bank sombrant de 1,8%, la China Minsheng Bank de 8,2% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, de 2,6%.
Tokyo terminait quand à elle dans la tourmente, malgré l'affaiblissement du yen, après que la Réserve Fédérale des Etats-Unis ait affirmé la semaine passée envisager de réduire la voilure de ses injections de capitaux dès cette année.
Les mégabanques nippones n'étaient pas épargnées, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, s'effondrant de 1%, le courtier Nomura Holdings n'étant pas en reste avec 1,1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui peu encourageant.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,7%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,8% et sur le FTSE 100 britannique à 0,7%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait pour sa part rendre aujourd'hui son rapport sur l'ambiance dans les affaires de l'Allemagne.
Les autres subissaient aussi la crainte d'un tour de vis de la Réserve Fédérale avant la fin de l'année.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 1,5%, le Hang Seng de Hong Kong 2,4% et le Nikkei 225 japonais 1,3%.
Sydney subissait en effet le spectre d'un essoufflement de l'essor chinois.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient respectivement de 3,4 et 2,2%, le Fortescue Metals Group, centré sur le minerai de fer, leur emboîtant le pas avec 4,3%.
Les fournisseurs de matières premières australiens dépendent en effet fortement des besoins chinois.
Hong Kong plongeait pour sa part au plus bas des neuf mois écoulés, subissant toujours la peur d'un manque de liquidités.
Le secteur financier s'en ressentait, la China Construction Bank sombrant de 1,8%, la China Minsheng Bank de 8,2% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, de 2,6%.
Tokyo terminait quand à elle dans la tourmente, malgré l'affaiblissement du yen, après que la Réserve Fédérale des Etats-Unis ait affirmé la semaine passée envisager de réduire la voilure de ses injections de capitaux dès cette année.
Les mégabanques nippones n'étaient pas épargnées, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, s'effondrant de 1%, le courtier Nomura Holdings n'étant pas en reste avec 1,1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui peu encourageant.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,7%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,8% et sur le FTSE 100 britannique à 0,7%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait pour sa part rendre aujourd'hui son rapport sur l'ambiance dans les affaires de l'Allemagne.