Investing.com - La Bourse de Paris avançait de 0,62% à mi-séance mardi, grâce à un léger regain d’espoir en zone euro à quelques heures d’une téléconférence entre les représentants du G7, alors que la publication de plusieurs indicateurs décevants pesait sur les autres indices européens.
Plus tard mardi, les ministres des Finances et les banquiers centraux du G7 devaient participer à une téléconférence consacrée à la crise de la dette dans la zone euro, afin de préparer le prochain sommet du G20 les 18 et 19 juin.
Sur le plan macroéconomique, l'activité du secteur des services a atteint un plus bas de sept mois en mai tant en France que dans l'ensemble de la zone euro, et de six mois en Allemagne. Plus précisément, les indices PMI Markit ont respectivement reculé à 45,1 points contre 45,2 dans l'Hexagone, à 46 contre 46,7 au sein des Dix-Sept, et à 51,8 contre 52,2 en Allemagne.
L'indice composite, qui fait la synthèse entre l'activité manufacturière et celle des services, s'est établi à 46 points pour l'ensemble de la zone euro, accusant ainsi sa plus forte contraction depuis juin 2009.
Par ailleurs, les ventes au détail ont diminué de 1% dans la zone euro en avril et de 2,5% sur un an.
Les banques étaient à l’honneur mardi. A mi-séance, BNP Paribas progressait de 1,51%, Société Générale de 1,54% et Crédit Agricole de 2,28%.
Lundi, Crédit Agricole Consumer Finance, la branche du Crédit Agricole spécialiste du crédit à la consommation, avait annoncé la suppression de 254 postes dans le cadre de son plan d'adaptation présenté fin 2011.
Les valeurs cycliques liées au pétrole étaient également très entourées. Total s’appréciait de 0,80%, Technip de 1,94% et Vallourec de 1,14%.
Du côté de l’automobile, Renault avançait de 0,43%, alors que son partenaire Nissan et sa co-entreprise locale Dongfeng Motor Group ont enregistré une croissance de 20,1% de leurs ventes en Chine le mois dernier.
Par ailleurs, Carrefour engrangeait 0,83% à mi-séance, après que l’Autorité des marchés financiers a annoncé, lundi, que le groupe détient 96,61% du capital et au moins 96,45% des droits de vote de Guyenne et Gascogne à l’issue de son OPA sur son franchisé.
Le groupe de grande distribution avait annoncé mi-décembre son projet de prise de contrôle de Guyenne et Gascogne, qui exploite six hypermarchés et 28 supermarchés dans le sud-ouest de la France.
A l’inverse, France Télécom cédait 0,39% à quelques heures de son assemblée générale. Plus tôt mardi, le patron de la société, Stéphane Richard, indiquait sur BFM Business que le groupe réduirait son dividende l'année prochaine.
Enfin, EDF affichait un retrait de 0,93% suite aux déclarations d’Henri Proglio, fraîchement nommé président de l’énergéticien italien Edison. Proglio affirmait lundi que son groupe n’aura pas besoin d’augmentation de capital étant donné que sa maison mère, EDF, peut lui fournir tous les fonds nécessaires.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,05%, le DAX abandonnait 0,73%, tandis que la Bourse de Londres restait fermée pour la deuxième journée consécutive en raison du jubilée de la reine Elizabeth II.
Une seule statistique majeure américaine était attendue dans l’après-midi : l'indice ISM d'activité dans le secteur non-manufacturier en mai.
Plus tard mardi, les ministres des Finances et les banquiers centraux du G7 devaient participer à une téléconférence consacrée à la crise de la dette dans la zone euro, afin de préparer le prochain sommet du G20 les 18 et 19 juin.
Sur le plan macroéconomique, l'activité du secteur des services a atteint un plus bas de sept mois en mai tant en France que dans l'ensemble de la zone euro, et de six mois en Allemagne. Plus précisément, les indices PMI Markit ont respectivement reculé à 45,1 points contre 45,2 dans l'Hexagone, à 46 contre 46,7 au sein des Dix-Sept, et à 51,8 contre 52,2 en Allemagne.
L'indice composite, qui fait la synthèse entre l'activité manufacturière et celle des services, s'est établi à 46 points pour l'ensemble de la zone euro, accusant ainsi sa plus forte contraction depuis juin 2009.
Par ailleurs, les ventes au détail ont diminué de 1% dans la zone euro en avril et de 2,5% sur un an.
Les banques étaient à l’honneur mardi. A mi-séance, BNP Paribas progressait de 1,51%, Société Générale de 1,54% et Crédit Agricole de 2,28%.
Lundi, Crédit Agricole Consumer Finance, la branche du Crédit Agricole spécialiste du crédit à la consommation, avait annoncé la suppression de 254 postes dans le cadre de son plan d'adaptation présenté fin 2011.
Les valeurs cycliques liées au pétrole étaient également très entourées. Total s’appréciait de 0,80%, Technip de 1,94% et Vallourec de 1,14%.
Du côté de l’automobile, Renault avançait de 0,43%, alors que son partenaire Nissan et sa co-entreprise locale Dongfeng Motor Group ont enregistré une croissance de 20,1% de leurs ventes en Chine le mois dernier.
Par ailleurs, Carrefour engrangeait 0,83% à mi-séance, après que l’Autorité des marchés financiers a annoncé, lundi, que le groupe détient 96,61% du capital et au moins 96,45% des droits de vote de Guyenne et Gascogne à l’issue de son OPA sur son franchisé.
Le groupe de grande distribution avait annoncé mi-décembre son projet de prise de contrôle de Guyenne et Gascogne, qui exploite six hypermarchés et 28 supermarchés dans le sud-ouest de la France.
A l’inverse, France Télécom cédait 0,39% à quelques heures de son assemblée générale. Plus tôt mardi, le patron de la société, Stéphane Richard, indiquait sur BFM Business que le groupe réduirait son dividende l'année prochaine.
Enfin, EDF affichait un retrait de 0,93% suite aux déclarations d’Henri Proglio, fraîchement nommé président de l’énergéticien italien Edison. Proglio affirmait lundi que son groupe n’aura pas besoin d’augmentation de capital étant donné que sa maison mère, EDF, peut lui fournir tous les fonds nécessaires.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,05%, le DAX abandonnait 0,73%, tandis que la Bourse de Londres restait fermée pour la deuxième journée consécutive en raison du jubilée de la reine Elizabeth II.
Une seule statistique majeure américaine était attendue dans l’après-midi : l'indice ISM d'activité dans le secteur non-manufacturier en mai.