Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris lâchait 1,32% à mi-séance lundi, malgré un indicateur positif en provenance d'Allemagne, alors que la perspective d'une fin précoce au programme de rachat d'actifs de la Réserve fédérale américaine continuait de peser sur les marchés.
Sur le front macroéconomique, l'indice Ifo du climat des affaires en Allemagne s’est apprécié de 0,2 point à 105,9 en juin, comme prévu par les analystes, signant ainsi sa deuxième progression d’affilée.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en baisse, lundi. A mi-séance, BNP Paribas pliait de 0,96%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole reculaient de 1,34% et de 1,33% respectivement.
Egalement dans le rouge, EADS abandonnait 1,85% en milieu de séance. Le directeur général délégué du groupe, Marwan Lahoud, déclarait plus tôt que la faiblesse du dollar par rapport à l’euro "n’est plus tenable" pour l’industrie aéronautique européenne.
Total cédait aussi du terrain et perdait 0,93% à la mi-journée, alors que le directeur général du group, Christophe de Margerie, a annoncé avoir discuté avec le Qatar d’une éventuelle montée de l’émirat dans son capital.
Par ailleurs, le groupe français a trouvé du pétrole lors d’une opération d’évaluation d’un puits dans l’arctique norvégien.
Michelin lâchait 0,98% en milieu de journée. Selon Les Echos, le groupe a signé les premiers contrats de livraison de son pneu "auto-réparant" en première monte à partir de 2015-2016.
Enfin, Sanofi abandonnait 1,33% à mi-séance, alors que le laboratoire pharmaceutique a fait état de données positives concernant les premiers résultats de deux études de phase III sur l’U300, la nouvelle formulation de l’antidiabétique Lantus.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 lâchait 1,06% et le DAX reculait de 0,82%, tandis que le Footsie 100 perdait 0,66%.
Aucun indicateur américain majeur n'était attendu dans la journée.
Sur le front macroéconomique, l'indice Ifo du climat des affaires en Allemagne s’est apprécié de 0,2 point à 105,9 en juin, comme prévu par les analystes, signant ainsi sa deuxième progression d’affilée.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en baisse, lundi. A mi-séance, BNP Paribas pliait de 0,96%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole reculaient de 1,34% et de 1,33% respectivement.
Egalement dans le rouge, EADS abandonnait 1,85% en milieu de séance. Le directeur général délégué du groupe, Marwan Lahoud, déclarait plus tôt que la faiblesse du dollar par rapport à l’euro "n’est plus tenable" pour l’industrie aéronautique européenne.
Total cédait aussi du terrain et perdait 0,93% à la mi-journée, alors que le directeur général du group, Christophe de Margerie, a annoncé avoir discuté avec le Qatar d’une éventuelle montée de l’émirat dans son capital.
Par ailleurs, le groupe français a trouvé du pétrole lors d’une opération d’évaluation d’un puits dans l’arctique norvégien.
Michelin lâchait 0,98% en milieu de journée. Selon Les Echos, le groupe a signé les premiers contrats de livraison de son pneu "auto-réparant" en première monte à partir de 2015-2016.
Enfin, Sanofi abandonnait 1,33% à mi-séance, alors que le laboratoire pharmaceutique a fait état de données positives concernant les premiers résultats de deux études de phase III sur l’U300, la nouvelle formulation de l’antidiabétique Lantus.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 lâchait 1,06% et le DAX reculait de 0,82%, tandis que le Footsie 100 perdait 0,66%.
Aucun indicateur américain majeur n'était attendu dans la journée.