Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris reculait de 0,35% à mi-séance mercredi, alors que l’abaissement par Standard & Poor’s de la note souveraine de l’Italie pesait sur le moral des investisseurs.
S&P a abaissé la note souveraine de l’Italie de BBB+ à BBB en raison de la faiblesse des perspectives de son économie.
Sur le front macroéconomique, la production industrielle de la France s’est contractée de 0,4% en mai, après une hausse de 2,2% en avril.
En Allemagne, les prix à la consommation ont augmenté de 0,1% le mois dernier et 1,8% sur un an.
Du côté des valeurs, les banques étaient notamment affectées par l'abaissement de la note souveraine de l'Italie. A mi-séance, BNP Paribas perdait 0,34% et Crédit Agricole pliait de 0,71%, tandis que Société Générale avançait de 0,18%.
Casino lâchait 0,78% à la mi-journée. Le groupe annonçait, plus tôt, que l’Autorité de la concurrence l’a autorisé à racheter les 50% de Monoprix détenus par Galeries Lafayette.
En contrepartie, Casino devra céder 58 magasins sur l’ensemble de son réseau en France.
Publicis cédait 0,02% en milieu de séance, après l'annonce de l’acquisition de Net@lk, agence chinoise leader dans les médias sociaux.
A l'inverse, LVMH progressait de 0,99% en milieu de journée, dans le sillage du britannique Burberry, qui a annoncé une croissance de 18% de ses ventes trimestrielles.
EDF gagnait aussi du terrain et bondissait de 1,39% à mi-séance, même si une troisième hausse des tarifs de l’électricité en 2015 sera soumis au Conseil supérieur de l’énergie le 16 juillet.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,49% et le DAX perdait 0,33%, tandis que le Footsie 100 pliait de 0,38%.
Aucun indicateur américain majeur n'était attendu dans l'après-midi. En revanche, la Réserve fédérale devait publier le compte-rendu de sa dernière réunion de politique monétaire.
S&P a abaissé la note souveraine de l’Italie de BBB+ à BBB en raison de la faiblesse des perspectives de son économie.
Sur le front macroéconomique, la production industrielle de la France s’est contractée de 0,4% en mai, après une hausse de 2,2% en avril.
En Allemagne, les prix à la consommation ont augmenté de 0,1% le mois dernier et 1,8% sur un an.
Du côté des valeurs, les banques étaient notamment affectées par l'abaissement de la note souveraine de l'Italie. A mi-séance, BNP Paribas perdait 0,34% et Crédit Agricole pliait de 0,71%, tandis que Société Générale avançait de 0,18%.
Casino lâchait 0,78% à la mi-journée. Le groupe annonçait, plus tôt, que l’Autorité de la concurrence l’a autorisé à racheter les 50% de Monoprix détenus par Galeries Lafayette.
En contrepartie, Casino devra céder 58 magasins sur l’ensemble de son réseau en France.
Publicis cédait 0,02% en milieu de séance, après l'annonce de l’acquisition de Net@lk, agence chinoise leader dans les médias sociaux.
A l'inverse, LVMH progressait de 0,99% en milieu de journée, dans le sillage du britannique Burberry, qui a annoncé une croissance de 18% de ses ventes trimestrielles.
EDF gagnait aussi du terrain et bondissait de 1,39% à mi-séance, même si une troisième hausse des tarifs de l’électricité en 2015 sera soumis au Conseil supérieur de l’énergie le 16 juillet.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,49% et le DAX perdait 0,33%, tandis que le Footsie 100 pliait de 0,38%.
Aucun indicateur américain majeur n'était attendu dans l'après-midi. En revanche, la Réserve fédérale devait publier le compte-rendu de sa dernière réunion de politique monétaire.