Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris gagnait du terrain lundi, affichant une hausse de 1,38% à mi-séance, alors que les investisseurs paraissaient plutôt rassurés par les résultats des stress tests des banques espagnols, publiés vendredi dernier, et suivant la publication d'une série d'indicateurs mitigés.
Un audit indépendant a conclu, vendredi soir, que les banques espagnoles ont besoin de 59,3 milliards d'euros pour faire face à une crise économique grave, un montant proche des estimations, allégeant ainsi un peu la pression exercée sur le gouvernement de Mariano Rajoy pour qu'il sollicite une aide extérieure.
Madrid a précisé qu'environ 40 milliards d'euros proviendraient de l'aide européenne prévue depuis juin, les banques concernées étant en mesure de lever 19 milliards par leurs propres moyens.
Par ailleurs, Moody’s doit rendre très prochainement son verdict sur la note souveraine du pays, menacée d’être reléguée au rang de spéculative.
Sur le front des statisitiques, l’indice PMI Markit pour la France est ressorti à 42,7 points, un plus bas de trois ans et demi. Le ralentissement est moins marqué dans la zone euro, où l’indice a touché un plus haut de six mois à 46,1 points, tout en se maintenant sous le seuil critique des 50 points. Celui de l’Allemagne ressort également à un plus haut de six mois à 47,7 points.
Le taux de chômage s’est maintenu au taux record de 11,4% en août dans la zone euro.
Du côté des valeurs, les banques s'inscrivaient en forte hausse, lundi. A mi-séance, BNP Paribas grimpait de 0,95%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole s'octroyaient 1,33% et 3,35% respectivement.
Egalement dans le vert, ArcelorMittal engrangeait 0,54% en milieu de séance, alors que la direction du group a annoncé la fermeture définitive des hauts fourneaux, lors d'un comité central d'entreprise lundi matin. Quelque 600 salariés risquent de se retrouver au chômage.
EADS a gagné 1,11% alors qu'Airbus a annoncé une commande de Philippine Airlines portant sur dix A330S supplémentaires.
Dans le secteur automobile, Peugeot prenait 2,34% et Renault perdait 0,21% à mi-séance, alors que les immatriculations de voitures neuves ont chuté de 18,3% en données brutes en France le mois dernier et de 10,1% en données corrigées des variations saisonnières, selon les chiffres publiés par le Comité des constructeurs français d’automobiles.
Les ventes de Renault ont diminué de 33,4%, alors que le constructeur n’exclut pas la fermeture de sites en Europe en raison de la faiblesse du marché automobile dans la région, selon le directeur général délégué Carlos Tavares.
Enfin, Alcatel-Lucent pliait de 2,33% en milieu de séance, après qu'UBS a dégradé le titre de "neutre" à "vendre".
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'octroyait 1,33%, le DAX gagnait 1,19% et le Footsie 100 progressait de 0,94%.
Deux indicateurs américains étaient attendus dans l'après-midi: l’indice ISM manufacturier de septembre et les dépenses de construction d’août.
Un audit indépendant a conclu, vendredi soir, que les banques espagnoles ont besoin de 59,3 milliards d'euros pour faire face à une crise économique grave, un montant proche des estimations, allégeant ainsi un peu la pression exercée sur le gouvernement de Mariano Rajoy pour qu'il sollicite une aide extérieure.
Madrid a précisé qu'environ 40 milliards d'euros proviendraient de l'aide européenne prévue depuis juin, les banques concernées étant en mesure de lever 19 milliards par leurs propres moyens.
Par ailleurs, Moody’s doit rendre très prochainement son verdict sur la note souveraine du pays, menacée d’être reléguée au rang de spéculative.
Sur le front des statisitiques, l’indice PMI Markit pour la France est ressorti à 42,7 points, un plus bas de trois ans et demi. Le ralentissement est moins marqué dans la zone euro, où l’indice a touché un plus haut de six mois à 46,1 points, tout en se maintenant sous le seuil critique des 50 points. Celui de l’Allemagne ressort également à un plus haut de six mois à 47,7 points.
Le taux de chômage s’est maintenu au taux record de 11,4% en août dans la zone euro.
Du côté des valeurs, les banques s'inscrivaient en forte hausse, lundi. A mi-séance, BNP Paribas grimpait de 0,95%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole s'octroyaient 1,33% et 3,35% respectivement.
Egalement dans le vert, ArcelorMittal engrangeait 0,54% en milieu de séance, alors que la direction du group a annoncé la fermeture définitive des hauts fourneaux, lors d'un comité central d'entreprise lundi matin. Quelque 600 salariés risquent de se retrouver au chômage.
EADS a gagné 1,11% alors qu'Airbus a annoncé une commande de Philippine Airlines portant sur dix A330S supplémentaires.
Dans le secteur automobile, Peugeot prenait 2,34% et Renault perdait 0,21% à mi-séance, alors que les immatriculations de voitures neuves ont chuté de 18,3% en données brutes en France le mois dernier et de 10,1% en données corrigées des variations saisonnières, selon les chiffres publiés par le Comité des constructeurs français d’automobiles.
Les ventes de Renault ont diminué de 33,4%, alors que le constructeur n’exclut pas la fermeture de sites en Europe en raison de la faiblesse du marché automobile dans la région, selon le directeur général délégué Carlos Tavares.
Enfin, Alcatel-Lucent pliait de 2,33% en milieu de séance, après qu'UBS a dégradé le titre de "neutre" à "vendre".
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'octroyait 1,33%, le DAX gagnait 1,19% et le Footsie 100 progressait de 0,94%.
Deux indicateurs américains étaient attendus dans l'après-midi: l’indice ISM manufacturier de septembre et les dépenses de construction d’août.