Investing.com - Les bourses européennes étaient en repli ce mardi, la confiance des investisseurs ayant été mise à mal par la mise sous perspective négative de 15 états membres de la zone euro en vue d'une dégradation par l'agence de notation Standard & Poor's.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.33%, le CAC 40 français de 0.23%, et le DAX 30 allemand de 0.8%.
S&P a en effet fait savoir qu'elle pourrait procéder à une dégradation massive de ses appréciations des états concernés si leurs dirigeants ne réussissaient pas à entreprendre une action décisive dans la lutte contre la crise de la dette souveraine de la zone euro lors du sommet de vendredi.
Cette nouvelle est survenue après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français aient esquissé leurs propositions communes pour mettre fin à la crise de la dette souveraine de la zone euro, incluant des pénalités automatiques envers les états membres dépassant les déficits budgétaires permis et l'inscription de la limitation obligatoire de ces derniers dans leur constitution.
La finance se trouvait en demi-teinte, la Société Générale française plongeant de 1.15%, et la Deutsche Bank allemande de 0.96% tandis que BNP Paribas engrangeait 0.69%.
RWE AG, second fournisseur de services publics d'Allemagne, s'est pour sa part effondré de 10.76% en raison de sa volonté de lever 2.1 milliards d'euros afin de diminuer son endettement.
Finmeccanica, premier fabricant d'armes italien, a pour sa part reculé de 1.57% après que S&P en ait revu la notation monétaire à long terme vers BBB- avec une perspective négative contre BBB auparavant, invoquant des revenus en baisse et une restructuration de certaines de ses branches.
Le français Véolia Environnement a pour sa part raflé 1.97% après avoir annoncé vendre ses installations de transport d'eau potable britanniques et ses transports de déchets solides américains dans le caadre d'une série de ventes d'actifs devant totaliser 5 milliards d'euros sur les deux prochaines années.
A Londres, le FTSE 100 a trébuché de 0.03%, sur fond de craintes concernant la zone euro, et après qu'il ait été montré que les prix des ogements avaient davantage diminué en novembre qu'il n'avait été craint.
Les prêteurs de Grande-Bretagne étaient mitigés, Llods Banking bondissant de 1.1% tandis que Barclays et HSBC Holdings laissaient respectivement échapper 0.87 et 1.27%.
Les entreprises compagnies minières ont souffert, Rio Tinto dérapant de 1.15%, BHP Billiton de 0.78%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys fondant de 0.48 et 1.03%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.36%.
La zone euro devrait dévouiler aujourd'hui les chiffres révisés de son produit intérieur brut, et l'Allemagne faire de même avec le volume officiel des commandes auprès des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.33%, le CAC 40 français de 0.23%, et le DAX 30 allemand de 0.8%.
S&P a en effet fait savoir qu'elle pourrait procéder à une dégradation massive de ses appréciations des états concernés si leurs dirigeants ne réussissaient pas à entreprendre une action décisive dans la lutte contre la crise de la dette souveraine de la zone euro lors du sommet de vendredi.
Cette nouvelle est survenue après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français aient esquissé leurs propositions communes pour mettre fin à la crise de la dette souveraine de la zone euro, incluant des pénalités automatiques envers les états membres dépassant les déficits budgétaires permis et l'inscription de la limitation obligatoire de ces derniers dans leur constitution.
La finance se trouvait en demi-teinte, la Société Générale française plongeant de 1.15%, et la Deutsche Bank allemande de 0.96% tandis que BNP Paribas engrangeait 0.69%.
RWE AG, second fournisseur de services publics d'Allemagne, s'est pour sa part effondré de 10.76% en raison de sa volonté de lever 2.1 milliards d'euros afin de diminuer son endettement.
Finmeccanica, premier fabricant d'armes italien, a pour sa part reculé de 1.57% après que S&P en ait revu la notation monétaire à long terme vers BBB- avec une perspective négative contre BBB auparavant, invoquant des revenus en baisse et une restructuration de certaines de ses branches.
Le français Véolia Environnement a pour sa part raflé 1.97% après avoir annoncé vendre ses installations de transport d'eau potable britanniques et ses transports de déchets solides américains dans le caadre d'une série de ventes d'actifs devant totaliser 5 milliards d'euros sur les deux prochaines années.
A Londres, le FTSE 100 a trébuché de 0.03%, sur fond de craintes concernant la zone euro, et après qu'il ait été montré que les prix des ogements avaient davantage diminué en novembre qu'il n'avait été craint.
Les prêteurs de Grande-Bretagne étaient mitigés, Llods Banking bondissant de 1.1% tandis que Barclays et HSBC Holdings laissaient respectivement échapper 0.87 et 1.27%.
Les entreprises compagnies minières ont souffert, Rio Tinto dérapant de 1.15%, BHP Billiton de 0.78%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys fondant de 0.48 et 1.03%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.36%.
La zone euro devrait dévouiler aujourd'hui les chiffres révisés de son produit intérieur brut, et l'Allemagne faire de même avec le volume officiel des commandes auprès des usines.