Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce mercredi matin, après que les ministre des finances du bloc euro aient échoué dans leur quête d'un déblocage des fonds destinés à Athènes.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.2%, le CAC 40 français de 0.22%, et le DAX 30 allemand de 0.01%.
Les négociations d'hier entre les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtées à une impasse, privant ainsi la Grèce de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Jean-Claude Juncker, chef des premiers, a cependant déclaré qu'une solution était proche, mais qu'il ne pouvait affirmer avec certitude quand les autorités grecques bénéficieraient de leur prochaine tranche d'aides, alors que les pourparlers devaient se poursuivre aujourd'hui.
La finance était nettement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivement de 0.37 et 0.88%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.36 et 1.32%.
Anshu Jain, partageant la direction exécutive de l'avant-dernière, avait déclaré ce matin s'attendre à une "consolidation significative" dans le secteur en raison des nouvellese règles concernant les quotas prudentiels.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo se repliant de 0.35 et 0.82%, dépassés par les Espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.11 et 0.88%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a laissé échapper 0.08%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, a ainsi plongé de 1.02%, son rival BP limitant les dégâts à 0.18%.
Le raffineur de platine Johnson Matthey s'est pour sa part effondré de 5.66% suite à l'aveu d'une diminution de 6% de ses bénéfices au premier semestre, et de son peu d'espoir de constater d'améliorations au courss du reste de l'année fiscale.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.76 et 1.5% de pertes, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys gardaient le sourire avec 1.13 et 0.07% d'amélioration.
La City était elle aussi mitigée, la Royal Bank of Scotland gagnant 0.53%, Lloyds Banking 0.68%, et Barclays 0.84%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0.04%.
Les perspectives des marchés américains partageaient plutôt ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'Espagne et l'Allemagne procèderont en cours de journée à des émissions d'obligations décennales.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre leur décompte hebdomadaire du nombre des nouvelles inscriptions au chômage avec un jour d'avance en raison de la fête de Thanksgiving se déroulant demain.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.2%, le CAC 40 français de 0.22%, et le DAX 30 allemand de 0.01%.
Les négociations d'hier entre les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtées à une impasse, privant ainsi la Grèce de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Jean-Claude Juncker, chef des premiers, a cependant déclaré qu'une solution était proche, mais qu'il ne pouvait affirmer avec certitude quand les autorités grecques bénéficieraient de leur prochaine tranche d'aides, alors que les pourparlers devaient se poursuivre aujourd'hui.
La finance était nettement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivement de 0.37 et 0.88%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.36 et 1.32%.
Anshu Jain, partageant la direction exécutive de l'avant-dernière, avait déclaré ce matin s'attendre à une "consolidation significative" dans le secteur en raison des nouvellese règles concernant les quotas prudentiels.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo se repliant de 0.35 et 0.82%, dépassés par les Espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.11 et 0.88%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a laissé échapper 0.08%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, a ainsi plongé de 1.02%, son rival BP limitant les dégâts à 0.18%.
Le raffineur de platine Johnson Matthey s'est pour sa part effondré de 5.66% suite à l'aveu d'une diminution de 6% de ses bénéfices au premier semestre, et de son peu d'espoir de constater d'améliorations au courss du reste de l'année fiscale.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.76 et 1.5% de pertes, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys gardaient le sourire avec 1.13 et 0.07% d'amélioration.
La City était elle aussi mitigée, la Royal Bank of Scotland gagnant 0.53%, Lloyds Banking 0.68%, et Barclays 0.84%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0.04%.
Les perspectives des marchés américains partageaient plutôt ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'Espagne et l'Allemagne procèderont en cours de journée à des émissions d'obligations décennales.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre leur décompte hebdomadaire du nombre des nouvelles inscriptions au chômage avec un jour d'avance en raison de la fête de Thanksgiving se déroulant demain.