Investing.com - Les bourses européennes avaient le sourire ce lundi matin, à l'approche de la prise de parole du chef de la Réserve Fédérale, après que la Grèce ait voté de nouvelles hausses d'impôts.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.28%, le CAC 40 français de 0.34%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Les yeux étaient en effet braqués vers le discours que Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire américiane, devrait prononcer cet après-midi au sujet de sa politique et de la relance après la crise financière, et qui devrait vraisemblablement faire taire les rumeurs d'une interruption prématurée du programme d'assouplissements quantitatifs.
La gouvernement grec a pour sa part adopté une séries de mesures destinées à augmenter les recettes de l'état, une des conditions indispensables à l'obtention des 14.7 milliards d'euros de la nouvelle tranche d'aides octroyées par les bailleurs de fonds internationaux d'ici la fin mars.
La finance était en tête de peloton, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.17 et 2.52%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.16 et 0.67%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo s'élevant de 0.6 et 1.03%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.39 et 0.76%.
Le Swatch Group a pour sa part engrangé 2.63% après avoir annoncé l'acquisition de la marque de montres et de bijoux Harry winston, pour environ 1 milliard d'USD.
Mais tout n'était pas rose, TNT Express s'effondrant de 42.39% après q'United Parcel Service Inc. ait avoué s'attendre à ce que les autorités de la concurrence l'empêchent d'en prendre le contrôle.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a conquis 0.03%, malgré des exploitants et des extracteurs en difficulté.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, a ainsi reculé de 0.29%, et son collègue BP de 0.47%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys leur emboîtant le pas avec 0.28 et 0.8%.
La City était plus nuancée, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking bondissant de 1.25 et 1.68%, tandis que Barclays et HSBC Holdings laissaient échapper 0.07 et 0.08%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01%.
La zone euro comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume de sa production industrielle.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.28%, le CAC 40 français de 0.34%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Les yeux étaient en effet braqués vers le discours que Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire américiane, devrait prononcer cet après-midi au sujet de sa politique et de la relance après la crise financière, et qui devrait vraisemblablement faire taire les rumeurs d'une interruption prématurée du programme d'assouplissements quantitatifs.
La gouvernement grec a pour sa part adopté une séries de mesures destinées à augmenter les recettes de l'état, une des conditions indispensables à l'obtention des 14.7 milliards d'euros de la nouvelle tranche d'aides octroyées par les bailleurs de fonds internationaux d'ici la fin mars.
La finance était en tête de peloton, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.17 et 2.52%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.16 et 0.67%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo s'élevant de 0.6 et 1.03%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.39 et 0.76%.
Le Swatch Group a pour sa part engrangé 2.63% après avoir annoncé l'acquisition de la marque de montres et de bijoux Harry winston, pour environ 1 milliard d'USD.
Mais tout n'était pas rose, TNT Express s'effondrant de 42.39% après q'United Parcel Service Inc. ait avoué s'attendre à ce que les autorités de la concurrence l'empêchent d'en prendre le contrôle.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a conquis 0.03%, malgré des exploitants et des extracteurs en difficulté.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, a ainsi reculé de 0.29%, et son collègue BP de 0.47%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys leur emboîtant le pas avec 0.28 et 0.8%.
La City était plus nuancée, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking bondissant de 1.25 et 1.68%, tandis que Barclays et HSBC Holdings laissaient échapper 0.07 et 0.08%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01%.
La zone euro comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume de sa production industrielle.