Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce lundi matin, les banques en tête, à l'approche de la rencontre à Bruxelles du groupe des ministres des finances du bloc euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.2%, le CAC 40 français de 0.07%, et le DAX 30 allemand de 0.37%.
L'Eurogroupe doit en effet aborder la façon dont le Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional permanent, pourra venir en aide aux banques.
Jean-Claude Juncker, son président sortant luxembourgeois, avait apporté vendredi son soutien à son homologue néerlandais Jeroen Dijsselbloem, l'estimant un "bon" candidat à son poste.
Ce remplacement sera surveillé de près, le poste jouant un rôle vital dans la réponse aux crises.
La finance était en grande forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.19 et 0.93%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.77 et 0.71%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit n'étant pas en reste avec 0.2 et 0.23%, et l'espagnol BBVA non plus avec 0.39%.
Mais tout n'était cependant pas rose, Richemont, fabricant des bijoux Cartier, s'effondrant de 5.81% suite à l'aveu de rentrées inférieures aux espérances.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.15%, tiré vers le haut par des exploitants en pleine ascension.
Les mastodontes BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi grimpé de 0.68 et 0.69%, imités par les cuivriers Kazakhmys et Xstrata avec 0.42 et 0.86%.
L'Admiral Group était aussi de la fête, s'élevant de 5.11% après que Goldman Sachs ait remonté son appréciation de l'assureur de la neutralité vers l'achat recommandé.
La City était unanime, la Royal Bank of Scotland en tête de peloton avec 0.63%, Barclays avec 0.14%, HSBC Holdings avec 0.04% et Lloyds Banking avec 0.02%.
Les transactions devraient être rares aujourd'hui, les places américaines demeurant closes en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.
Il avait auparavant été montré que les coûts de production de l'Allemagne avaient diminué de 0.3% le mois dernier, aggravant ainsi les 0.1% de novembre, alors qu'une stagnation était envisagée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.2%, le CAC 40 français de 0.07%, et le DAX 30 allemand de 0.37%.
L'Eurogroupe doit en effet aborder la façon dont le Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional permanent, pourra venir en aide aux banques.
Jean-Claude Juncker, son président sortant luxembourgeois, avait apporté vendredi son soutien à son homologue néerlandais Jeroen Dijsselbloem, l'estimant un "bon" candidat à son poste.
Ce remplacement sera surveillé de près, le poste jouant un rôle vital dans la réponse aux crises.
La finance était en grande forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.19 et 0.93%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.77 et 0.71%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit n'étant pas en reste avec 0.2 et 0.23%, et l'espagnol BBVA non plus avec 0.39%.
Mais tout n'était cependant pas rose, Richemont, fabricant des bijoux Cartier, s'effondrant de 5.81% suite à l'aveu de rentrées inférieures aux espérances.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.15%, tiré vers le haut par des exploitants en pleine ascension.
Les mastodontes BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi grimpé de 0.68 et 0.69%, imités par les cuivriers Kazakhmys et Xstrata avec 0.42 et 0.86%.
L'Admiral Group était aussi de la fête, s'élevant de 5.11% après que Goldman Sachs ait remonté son appréciation de l'assureur de la neutralité vers l'achat recommandé.
La City était unanime, la Royal Bank of Scotland en tête de peloton avec 0.63%, Barclays avec 0.14%, HSBC Holdings avec 0.04% et Lloyds Banking avec 0.02%.
Les transactions devraient être rares aujourd'hui, les places américaines demeurant closes en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.
Il avait auparavant été montré que les coûts de production de l'Allemagne avaient diminué de 0.3% le mois dernier, aggravant ainsi les 0.1% de novembre, alors qu'une stagnation était envisagée.