Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce jeudi, le moral ayant été encouragé par le bon début de saison des résultats américains.
Les observateurs gardaient cependant un oeil sur l'adjudication imminente de dettes de l'Espagne, en raison des craintes liées à la hausse des coûts de ses emprunts.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.5%, le CAC 40 français de 0.5% également, et le DAX 30 allemand de 0.6%.
Les valeurs américaines ont en effet connu hier une de leurs meilleures journées, après qu'il ait été montré que les lancements de chantiers avaient atteint le mois dernier leur plus haut niveau depuis octobre 2008, apaisant quelque peu les craintes concernant les perspectives américaines.
Les résultats supérieurs aux attentes dévoilés après la clôture des échanges par les poids lourds tels qu'IBM et eBay ont aussi encouragé l'appétit pour les actifs risqués.
Les recettes du mastodonte technologique mondial qu'est IBM ont donc dépassé les prévisions, tandis que les énéfices d'eBay au second trimestre ont plus que doublé, le faisant s'envoler de 6% après la fermeture.
Les experts analysaient hier le second jour de témoignage de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
Il a rappelé que ses collègues et lui demeuraient prêts à s'impliquer davantage pour soutenir la croissance en cas de besoin, sans toutefois préciser si la banque centrale américaine procèderait ou non à une troisième série d'assouplissements quantitatifs.
Les banques espagnoles étaient plutôt sur la défensive, alors que Madrid s'apprêtait à émettre jusqu'à 3 milliards d'euros en bons du trésor à trois et sept ans, ce qui devrait constituer un test critique de leur attractivité.
Le taux de ses obligations décennales s'est quand à lui élevé à 6.97% en attendant, se rapprochant à nouveau dangereusement du seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme.
BBVA a ainsi grignoté 0.2%, et Banco Santander 0.1%.
En France, leurs collègues Société Générale et Crédit Agricole ont cependant fait tache, plongeant respectivement de 2.9 et 2.1% après que le quotidien Financial Times ait rapporté que les autorités boursières s'y intéressaient, dans le cadre du scandale de la manipulation du Libor.
Tout n'était cependant pas désespéré, le groupe industriel français Alstom a bondi de 3.4% après avoir annoncé avoir reçu 20% de commandes en plus au premier trimestre par rapport à l'année passée.
Nokia a pour sa part engrangé 5.8% à l'approche de la publication avidement surveillée de ses résultats.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.2%, dans l'expectative pour la mi-journée des chiffres des ventes au détail britanniques.
Il s'est par contre trouvé tiré vers le bas par Kingfisher, dérapant de 2.3% suite à l'aveu d'une diminution de ses ventes par magasin, invoquant une baisse de la demande pour les produits d'extérieur dûe au mauvais temps.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérémént optimistes avant la publication des profits de Morgan Stanley, Google et Microsoft.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.55%.
Les Etats-Unis rendront de leur côté cet après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que des études portant sur les ventes de logements d'occasion et l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Les observateurs gardaient cependant un oeil sur l'adjudication imminente de dettes de l'Espagne, en raison des craintes liées à la hausse des coûts de ses emprunts.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.5%, le CAC 40 français de 0.5% également, et le DAX 30 allemand de 0.6%.
Les valeurs américaines ont en effet connu hier une de leurs meilleures journées, après qu'il ait été montré que les lancements de chantiers avaient atteint le mois dernier leur plus haut niveau depuis octobre 2008, apaisant quelque peu les craintes concernant les perspectives américaines.
Les résultats supérieurs aux attentes dévoilés après la clôture des échanges par les poids lourds tels qu'IBM et eBay ont aussi encouragé l'appétit pour les actifs risqués.
Les recettes du mastodonte technologique mondial qu'est IBM ont donc dépassé les prévisions, tandis que les énéfices d'eBay au second trimestre ont plus que doublé, le faisant s'envoler de 6% après la fermeture.
Les experts analysaient hier le second jour de témoignage de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
Il a rappelé que ses collègues et lui demeuraient prêts à s'impliquer davantage pour soutenir la croissance en cas de besoin, sans toutefois préciser si la banque centrale américaine procèderait ou non à une troisième série d'assouplissements quantitatifs.
Les banques espagnoles étaient plutôt sur la défensive, alors que Madrid s'apprêtait à émettre jusqu'à 3 milliards d'euros en bons du trésor à trois et sept ans, ce qui devrait constituer un test critique de leur attractivité.
Le taux de ses obligations décennales s'est quand à lui élevé à 6.97% en attendant, se rapprochant à nouveau dangereusement du seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme.
BBVA a ainsi grignoté 0.2%, et Banco Santander 0.1%.
En France, leurs collègues Société Générale et Crédit Agricole ont cependant fait tache, plongeant respectivement de 2.9 et 2.1% après que le quotidien Financial Times ait rapporté que les autorités boursières s'y intéressaient, dans le cadre du scandale de la manipulation du Libor.
Tout n'était cependant pas désespéré, le groupe industriel français Alstom a bondi de 3.4% après avoir annoncé avoir reçu 20% de commandes en plus au premier trimestre par rapport à l'année passée.
Nokia a pour sa part engrangé 5.8% à l'approche de la publication avidement surveillée de ses résultats.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.2%, dans l'expectative pour la mi-journée des chiffres des ventes au détail britanniques.
Il s'est par contre trouvé tiré vers le bas par Kingfisher, dérapant de 2.3% suite à l'aveu d'une diminution de ses ventes par magasin, invoquant une baisse de la demande pour les produits d'extérieur dûe au mauvais temps.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérémént optimistes avant la publication des profits de Morgan Stanley, Google et Microsoft.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.55%.
Les Etats-Unis rendront de leur côté cet après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que des études portant sur les ventes de logements d'occasion et l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.