Investing.com - Les bourses européennes gardaient le sourire ce mardi après-midi, grâce au retour de la confiance dans la gestion des dettes de l'Espagne et de la Grèce.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.66%, le CAC 40 français de 0.78%, et le DAX 30 allemand de 0.28%.
Le moral était en effet revenu hier, après que les autorités grecques aient lancé un plan de rachat de créances aux investisseurs privés, dans le cadre de l'accord lui débloquant l'accès aux 44 milliards d'euros de fonds de secours.
Les taux des emprunts contractés par Madrid ont fondu de leur côté après que le gouvernement ait formulé une demande officielle d'aides destinées à recapitaliser le secteur bancaire national.
Les yeux restaient aussi braqués sur les tractations à Washington entre démocrates et républicains, destinées à éviter un mur fiscal dû à la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes dans les dépenses, en l'absence d'accord de réduction des déficits.
La Maison Blanche a refusé hier une proposition du groupe parlementaire républicain ne comprenant que des réformes des impôts et des sabrages bbudgétaires, estimant qu'elle ne permettait pas au président Barack Obama de remplir sa promesse d'augmenter les contributions des citoyens les plus riches du pays.
La finance prolongeait sa trajeectoire positive, les français BNP Paribas et Société Générale grimpant respectivement de 2.16 et 2.18%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzban avec 1.65 et 1.68%.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo gagnant 1.84 et 2.46%, les espagnols BBVA et Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0.92 et 1.22%.
Tout n'était cependant pas rose, notamment en France où Renault reculait de 1.23% après qu'il ait été rapporté que ses ventes diminuaient plus vite que celles de tous les autres constructeurs automobiles européens.
A Londres, le FTSE 100 a grignoté 0.02%, bien qu'une plongée de l'activité dans le bâtiment britanique au plus bas des trois mois écoulés ait été déplorée pour novembre.
La City gardait majoritairement le cap, Barclays s'élevant de 0.14%, imité par la Royal Bank of Scotland avec 0.72 et Lloyds Banking avec 0.74%, tandis que HSBC Holdings décevait encore avec un faux pas de 0.12%.
Les mastodontes miniers étaient aux aussi hésitants, Rio Tinto empochant 0.37% et BHP Billiton cédant 0.51%, imité par le cuivrier Kazakhmys avec 0.44%.
Le fournisseur de matériel professionnel de plomberie et de chauffage Wolseley sauvait par contre les meubles en limitant les dégats de ce matin à 0.03%, ayant revendiqué une augmentation de ses revenus au premier trimestre fiscal, avouant cependant prévoir davantage de coûts de restructuration.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Le ministère du travail espagnol avait quand à lui dénombré ce matin 74 300 demandeurs d'emploi supplémentaires en novembre, soit nettement moins que redouté suite aux 128 200 du mois précédent.
Les experts craignaint en effet d'en constater 90 500 pour la période considérée.
Les membres de l'Eurogroupe comptaient de leur côté poursuivre aujourd'hui leurs pourparlers dans la capitale belge.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.66%, le CAC 40 français de 0.78%, et le DAX 30 allemand de 0.28%.
Le moral était en effet revenu hier, après que les autorités grecques aient lancé un plan de rachat de créances aux investisseurs privés, dans le cadre de l'accord lui débloquant l'accès aux 44 milliards d'euros de fonds de secours.
Les taux des emprunts contractés par Madrid ont fondu de leur côté après que le gouvernement ait formulé une demande officielle d'aides destinées à recapitaliser le secteur bancaire national.
Les yeux restaient aussi braqués sur les tractations à Washington entre démocrates et républicains, destinées à éviter un mur fiscal dû à la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes dans les dépenses, en l'absence d'accord de réduction des déficits.
La Maison Blanche a refusé hier une proposition du groupe parlementaire républicain ne comprenant que des réformes des impôts et des sabrages bbudgétaires, estimant qu'elle ne permettait pas au président Barack Obama de remplir sa promesse d'augmenter les contributions des citoyens les plus riches du pays.
La finance prolongeait sa trajeectoire positive, les français BNP Paribas et Société Générale grimpant respectivement de 2.16 et 2.18%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzban avec 1.65 et 1.68%.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo gagnant 1.84 et 2.46%, les espagnols BBVA et Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0.92 et 1.22%.
Tout n'était cependant pas rose, notamment en France où Renault reculait de 1.23% après qu'il ait été rapporté que ses ventes diminuaient plus vite que celles de tous les autres constructeurs automobiles européens.
A Londres, le FTSE 100 a grignoté 0.02%, bien qu'une plongée de l'activité dans le bâtiment britanique au plus bas des trois mois écoulés ait été déplorée pour novembre.
La City gardait majoritairement le cap, Barclays s'élevant de 0.14%, imité par la Royal Bank of Scotland avec 0.72 et Lloyds Banking avec 0.74%, tandis que HSBC Holdings décevait encore avec un faux pas de 0.12%.
Les mastodontes miniers étaient aux aussi hésitants, Rio Tinto empochant 0.37% et BHP Billiton cédant 0.51%, imité par le cuivrier Kazakhmys avec 0.44%.
Le fournisseur de matériel professionnel de plomberie et de chauffage Wolseley sauvait par contre les meubles en limitant les dégats de ce matin à 0.03%, ayant revendiqué une augmentation de ses revenus au premier trimestre fiscal, avouant cependant prévoir davantage de coûts de restructuration.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Le ministère du travail espagnol avait quand à lui dénombré ce matin 74 300 demandeurs d'emploi supplémentaires en novembre, soit nettement moins que redouté suite aux 128 200 du mois précédent.
Les experts craignaint en effet d'en constater 90 500 pour la période considérée.
Les membres de l'Eurogroupe comptaient de leur côté poursuivre aujourd'hui leurs pourparlers dans la capitale belge.