Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées ce mardi, les investisseurs demeurant prudents après que Moody's ait dégradé six pays européens et placé une certain nombre d'autres sous surveillance.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, et le CAC 40 français de 0.21%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.14%.
L'agence a donc revu ce matin ses appréciations de six pays européens, notamment l'Italie, l'Espagne et le Portugal, à la baisse, menaçant de faire de même avec la France et le Royaume-Uni, qui sont en tête de classe avec leur notation Aaa, invoquant le problème du surendettement régional.
La nouvelle a fait oublier l'adoption par le parlement grec d'un plan de rigueur destiné à assurer au pays le bénéfice de 130 milliards d'euros d'aides fort bienvenues.
La finance était mi-figue, mi-raisin, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank bondissant respectivement de 2.22 et 1.15%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient échapper 0.76 et 1.11%.
ThyssenKrupp, premier sidérurgiste germain, a par contre plongé de 2.85% suite à l'aveu de pertes au premier trimestre découlant de retard dans ses projets.
TDC A/S, plus grosse compagnie téléphonique danoise, a dérapé de 4.89% après que des investisseurs privés se soient vu offrir des actions à prix réduit.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'Oréal, plus important des fabricants de cosmétiques du monde, ayant assuré attendre une progression de ses ventes et de ses revenus pour cette année, après avoir déjà dépassé les prévisions des experts avec 7.7% de bénéfices opérationnels supplémentaires pour 2011.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a glissé de 0.22%, tiré vers le bas par des miniers en berne, tandis que des experts de l'immobilier national avaient auparavant montré que le solde des logements avait, comme redouté, sombré de 16% en janvier.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont fondu de 2.48 et 1.38%, Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys fléchissant de 1.73 et 1.14%.
Le secteur financier était plutôt hésitant, HSBC Holdings engrangeant 0.5%, mais Barcays et la Royal Bank of Scotland se repliant de 0.68 et 1.53%.
Les perspectives des marchés américains étaient moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
La France dévoilera aujourd'hui son évaluation préliminaire du nombre des salariés hors agriculture, puis le centre de recherches économiques ZEW divulguera son baromètre économique de l'Allemagne et du bloc euro dans son entier.
Le gouvernement américain diffusera quand à lui le volume officiel des ventes au détail, ainsi qu'une étude sur les prix à l'importation et les stocks des entreprises.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, et le CAC 40 français de 0.21%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.14%.
L'agence a donc revu ce matin ses appréciations de six pays européens, notamment l'Italie, l'Espagne et le Portugal, à la baisse, menaçant de faire de même avec la France et le Royaume-Uni, qui sont en tête de classe avec leur notation Aaa, invoquant le problème du surendettement régional.
La nouvelle a fait oublier l'adoption par le parlement grec d'un plan de rigueur destiné à assurer au pays le bénéfice de 130 milliards d'euros d'aides fort bienvenues.
La finance était mi-figue, mi-raisin, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank bondissant respectivement de 2.22 et 1.15%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient échapper 0.76 et 1.11%.
ThyssenKrupp, premier sidérurgiste germain, a par contre plongé de 2.85% suite à l'aveu de pertes au premier trimestre découlant de retard dans ses projets.
TDC A/S, plus grosse compagnie téléphonique danoise, a dérapé de 4.89% après que des investisseurs privés se soient vu offrir des actions à prix réduit.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'Oréal, plus important des fabricants de cosmétiques du monde, ayant assuré attendre une progression de ses ventes et de ses revenus pour cette année, après avoir déjà dépassé les prévisions des experts avec 7.7% de bénéfices opérationnels supplémentaires pour 2011.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a glissé de 0.22%, tiré vers le bas par des miniers en berne, tandis que des experts de l'immobilier national avaient auparavant montré que le solde des logements avait, comme redouté, sombré de 16% en janvier.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont fondu de 2.48 et 1.38%, Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys fléchissant de 1.73 et 1.14%.
Le secteur financier était plutôt hésitant, HSBC Holdings engrangeant 0.5%, mais Barcays et la Royal Bank of Scotland se repliant de 0.68 et 1.53%.
Les perspectives des marchés américains étaient moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
La France dévoilera aujourd'hui son évaluation préliminaire du nombre des salariés hors agriculture, puis le centre de recherches économiques ZEW divulguera son baromètre économique de l'Allemagne et du bloc euro dans son entier.
Le gouvernement américain diffusera quand à lui le volume officiel des ventes au détail, ainsi qu'une étude sur les prix à l'importation et les stocks des entreprises.