Investing.com - Les bourses européennes ont connu un passage à vide ce mardi, l'humeur s'étant assombrie après que les ministres européens aient rejeté la proposition de restructuration émise par les créanciers de la Grèce et destinée à éviter un défaut de paiement.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.78%, le CAC 40 français de 0.7%, et le DAX 30 allemand de 0.81%.
Après leur réunion à Bruxelles, les représentants de la zone euro ont demandé aux détenteurs privés d'obligations d'abandonner leurs exigence à la baisse suivant laquelle les nouveaux bons du trésor qu'ils obtiendraient en échange des anciens verraient leur taux se situer à 4%.
La nation hellène a déclaré ne pas être prête à payer plus que 3.5%, soutenue en cela par l'Union Européenne et le Fonds Monétaire International.
Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'Union Européenne, a toutefois estimé qu'un consensus devrait être dégagé "dans les jours qui viennent".
La finance coiffait le bonnet d'âne, la Deutsche Bank allemande dérapant de 2.92%, les français Société Générale et Crédit Agricole suivant la même pente avec respectivement 3.25 et 1.77%.
L'agence de notation Standard & Poor's a en effet dégradé hier sa notation des deux derniers de A+ vers A, sous une perspective toutefois stable.
Petroplus holdings a pour sa part déclaré se préparer à demander à être reconnu comme insolvable en Suisse et ailleurs, après avoir formulé hier une demande de suspension de sa cotation, après s'être retrouvé avec près d'un milliard d'USD de lignes de crédit en suspens le moiss dernier, l'empêchant d'approvisionner ses raffineries en pétrole brut.
Siemens a pour sa part dégringolé de 3.4% et déclaré qu'il serait plus difficile de remplir ses objectifs annuels après que les marges de ses quatre branches aient diminué en raison des effets de la crise de la dette souveraine de la zone euro sur l'économie.
A Londres, le FTSE 100 a fondu de 0.64%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin descendant tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a ainsi glissé de 2.61%, la Royal Bank of Scotland de 2.13%, Lloyds Banking et HSBC holdings liitant les dégâts à 2.1 et 0.73%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont aussi souffert, laissant échapper 0.76 et 1.6%, tandis que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys subissaient une saignée de 1.47 et 1.77%.
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
Une étude préliminaire avait auparavant montré que l'activité manufacturière allemande avait dépassé les attentes pour janvier, réalisant sa croissance la plus rapide depuis août 2011.
Les ministres des finances de l'Union Européenne se réuniront à nouveau à Bruxelles pour tenir de nouvelles discussions tout au long de la journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.78%, le CAC 40 français de 0.7%, et le DAX 30 allemand de 0.81%.
Après leur réunion à Bruxelles, les représentants de la zone euro ont demandé aux détenteurs privés d'obligations d'abandonner leurs exigence à la baisse suivant laquelle les nouveaux bons du trésor qu'ils obtiendraient en échange des anciens verraient leur taux se situer à 4%.
La nation hellène a déclaré ne pas être prête à payer plus que 3.5%, soutenue en cela par l'Union Européenne et le Fonds Monétaire International.
Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'Union Européenne, a toutefois estimé qu'un consensus devrait être dégagé "dans les jours qui viennent".
La finance coiffait le bonnet d'âne, la Deutsche Bank allemande dérapant de 2.92%, les français Société Générale et Crédit Agricole suivant la même pente avec respectivement 3.25 et 1.77%.
L'agence de notation Standard & Poor's a en effet dégradé hier sa notation des deux derniers de A+ vers A, sous une perspective toutefois stable.
Petroplus holdings a pour sa part déclaré se préparer à demander à être reconnu comme insolvable en Suisse et ailleurs, après avoir formulé hier une demande de suspension de sa cotation, après s'être retrouvé avec près d'un milliard d'USD de lignes de crédit en suspens le moiss dernier, l'empêchant d'approvisionner ses raffineries en pétrole brut.
Siemens a pour sa part dégringolé de 3.4% et déclaré qu'il serait plus difficile de remplir ses objectifs annuels après que les marges de ses quatre branches aient diminué en raison des effets de la crise de la dette souveraine de la zone euro sur l'économie.
A Londres, le FTSE 100 a fondu de 0.64%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin descendant tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a ainsi glissé de 2.61%, la Royal Bank of Scotland de 2.13%, Lloyds Banking et HSBC holdings liitant les dégâts à 2.1 et 0.73%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont aussi souffert, laissant échapper 0.76 et 1.6%, tandis que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys subissaient une saignée de 1.47 et 1.77%.
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
Une étude préliminaire avait auparavant montré que l'activité manufacturière allemande avait dépassé les attentes pour janvier, réalisant sa croissance la plus rapide depuis août 2011.
Les ministres des finances de l'Union Européenne se réuniront à nouveau à Bruxelles pour tenir de nouvelles discussions tout au long de la journée.