Investing.com - Les bourses européennes étaient nettement en forme ce lundi matin, bien que la circonspection demeure exacerbée dans l'expectative de la réunion de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,96%, le CAC 40 français de 1,13%, et le DAX 30 allemand de 1,16%.
Les cours ont en effet sombré la semaine passée en raison des rumeurs grandissantes d'une réduction des acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale dès cette année.
L'attention est désormais focalisée sur sa prise de cap de mercredi, sur fond d'incertitudes a sujet de la politique monétaire future.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,27%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,07 et 0,28%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de à,76 et 0,89%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,45 et 0,92%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Telefonica rebondissant de 2,35% après que l'Espagne ait mis son veto à son acquisition par AT&T en raison de son importance "strattégique" pour son économie.
ABB empochait pour sa part 1,83% après avoir nommé Ulrich Spiesshofer au poste de directeur général.
A Londres, le FTSE 100 s'élevait de 0,61%, bien que les établissements bancaires de Grande-Bretagne aient majoritairement suivi le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La City était ainsi en difficulté, Lloyds Banking se repliant de 0,23%, la Royal Bank of Scotland de 0,43% et Barclays de 1,37%, alors que HSBC Holdings nageait à contre-courant en arrachant 0,63%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier BHP Billiton le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondant respectivement de 0,27 et 0,30%, leur rival Evraz n'étant pas en reste avec 0,91%.
Le metteur au point de microprocesseurs pour appareils nomades Imagination Technologies Group sombrait pour sa part de 1,62% après que Barclays en ait rabaissé l'appréciation depuis des performances supérieures à celles du marché jusqu'à la neutralité.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,73%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,79% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,91%.
Les autorités comptent dévoiler aujourd'hui l'état de la balance commerciale de l'Europe, alors que les ministres des finances et les banquiers centraux des membres du groupe des 8 pays les plus développés entameront deux jours de sommet en Irlande du Nord.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,96%, le CAC 40 français de 1,13%, et le DAX 30 allemand de 1,16%.
Les cours ont en effet sombré la semaine passée en raison des rumeurs grandissantes d'une réduction des acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale dès cette année.
L'attention est désormais focalisée sur sa prise de cap de mercredi, sur fond d'incertitudes a sujet de la politique monétaire future.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,27%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,07 et 0,28%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de à,76 et 0,89%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,45 et 0,92%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Telefonica rebondissant de 2,35% après que l'Espagne ait mis son veto à son acquisition par AT&T en raison de son importance "strattégique" pour son économie.
ABB empochait pour sa part 1,83% après avoir nommé Ulrich Spiesshofer au poste de directeur général.
A Londres, le FTSE 100 s'élevait de 0,61%, bien que les établissements bancaires de Grande-Bretagne aient majoritairement suivi le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La City était ainsi en difficulté, Lloyds Banking se repliant de 0,23%, la Royal Bank of Scotland de 0,43% et Barclays de 1,37%, alors que HSBC Holdings nageait à contre-courant en arrachant 0,63%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier BHP Billiton le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondant respectivement de 0,27 et 0,30%, leur rival Evraz n'étant pas en reste avec 0,91%.
Le metteur au point de microprocesseurs pour appareils nomades Imagination Technologies Group sombrait pour sa part de 1,62% après que Barclays en ait rabaissé l'appréciation depuis des performances supérieures à celles du marché jusqu'à la neutralité.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,73%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,79% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,91%.
Les autorités comptent dévoiler aujourd'hui l'état de la balance commerciale de l'Europe, alors que les ministres des finances et les banquiers centraux des membres du groupe des 8 pays les plus développés entameront deux jours de sommet en Irlande du Nord.