Investing.com - Les bourses européennes étaient pessimistes ce mercredi, alors que grandissaient les incertitudes concernant les résultats du sommet de l'Union Européenne après l'annulation d'une rencontre prélimminaire de ses ministres des finances.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.15%, le CAC 40 français de 0.02%, et le DAX 30 allemand de 0.06%.
Une réunion préparatoire des responsables financiers de la région prévue pour avant le sommet n'a en effet pu avoir lieu, jetant une ombre sur l'espoir de progrès significatifs dans l'élaboration d'un plan de lutte destiné à endiguer la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Les représentants européens semblaient se rapprocher en fin de semaine d'un accord sur la recapitalisation des banques de la région, et l'augmentation de la puissance de feu de son fonds de secours, mais des dissensions concernant la restructuration de la dette grecque persistaient.
La finance était largement en berne, l'ING Groep néerlandais plongeant de 2.82%, l'italien Intesa Sanpaolo de 0.24%, et les espagnols BBVA et Banco Santander de respectivement 1.43 et 0.66%.
La Société Générale de France et la Deutsche Bank allemande se trouvaient par contre en tête d'affiche du secteur avec 1.11 et 0.88% de progression.
Le constructeur automobile français Peugeot a quand à lui gagné 0.97% malgré le rabaissement de ses prévisions de bénéfices à l'année et l'annonce de 5 000 destructions de postes, tandis que son collègue Renault bondissait de 2.92%, et les géants de l'Allemagne ce domaine que sont Daimler et BMW de 1.37 et 1.21%.
Heineken, seconde brasseur mondial, a pour sa part encaissé 1.27% suite à l'annonce de ventes dépassant sans prévenir les prévisions pour le troisième trimestre, la diminution de leur volume dans l'ouest de l'Europe ayant été moindre qu'il n'avait été craint.
A Londres, le FTSE 100 a grignoté 0.06%, sur fond d'échanges chaotiques en raison des craintes des investisseurs à propos des conséquences des négociations européennes de ce mercredi.
Le cuivrier Xstrata a tiré son épingle du jeu avec 0.17% de mieux, le mastodonte minier BHP Billiton peinant à avancer de 0.03% et son rival Rio Tinto chutant de 0.46%.
British Petroleum a par contre laissé échapper 0.74%, et ce malgré une hausse de ses bénéfices nets du troisième trimestre et la révision à la hausse ses objectifs de ventes d'actifs à 45 milliards d'USD contre 30 précédemment.
Les prêteurs de Grande-Bretagne étaient également incertains, HSBC Holdings prenant 0.24%, tandis que Lloyds Banking et Barclays perdaient 1 et 0.67%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.5%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.56%.
Le gouvernement des Etats-Unis dévoilera quand à lui dans l'après-midi ses informations sur les commandes de biens durables, mais aussi sur les ventes de logemenst neufs et les réserves de pétrole brut.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.15%, le CAC 40 français de 0.02%, et le DAX 30 allemand de 0.06%.
Une réunion préparatoire des responsables financiers de la région prévue pour avant le sommet n'a en effet pu avoir lieu, jetant une ombre sur l'espoir de progrès significatifs dans l'élaboration d'un plan de lutte destiné à endiguer la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Les représentants européens semblaient se rapprocher en fin de semaine d'un accord sur la recapitalisation des banques de la région, et l'augmentation de la puissance de feu de son fonds de secours, mais des dissensions concernant la restructuration de la dette grecque persistaient.
La finance était largement en berne, l'ING Groep néerlandais plongeant de 2.82%, l'italien Intesa Sanpaolo de 0.24%, et les espagnols BBVA et Banco Santander de respectivement 1.43 et 0.66%.
La Société Générale de France et la Deutsche Bank allemande se trouvaient par contre en tête d'affiche du secteur avec 1.11 et 0.88% de progression.
Le constructeur automobile français Peugeot a quand à lui gagné 0.97% malgré le rabaissement de ses prévisions de bénéfices à l'année et l'annonce de 5 000 destructions de postes, tandis que son collègue Renault bondissait de 2.92%, et les géants de l'Allemagne ce domaine que sont Daimler et BMW de 1.37 et 1.21%.
Heineken, seconde brasseur mondial, a pour sa part encaissé 1.27% suite à l'annonce de ventes dépassant sans prévenir les prévisions pour le troisième trimestre, la diminution de leur volume dans l'ouest de l'Europe ayant été moindre qu'il n'avait été craint.
A Londres, le FTSE 100 a grignoté 0.06%, sur fond d'échanges chaotiques en raison des craintes des investisseurs à propos des conséquences des négociations européennes de ce mercredi.
Le cuivrier Xstrata a tiré son épingle du jeu avec 0.17% de mieux, le mastodonte minier BHP Billiton peinant à avancer de 0.03% et son rival Rio Tinto chutant de 0.46%.
British Petroleum a par contre laissé échapper 0.74%, et ce malgré une hausse de ses bénéfices nets du troisième trimestre et la révision à la hausse ses objectifs de ventes d'actifs à 45 milliards d'USD contre 30 précédemment.
Les prêteurs de Grande-Bretagne étaient également incertains, HSBC Holdings prenant 0.24%, tandis que Lloyds Banking et Barclays perdaient 1 et 0.67%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.5%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.56%.
Le gouvernement des Etats-Unis dévoilera quand à lui dans l'après-midi ses informations sur les commandes de biens durables, mais aussi sur les ventes de logemenst neufs et les réserves de pétrole brut.