Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce mercredi, alors que les craintes persistaient autour de la zone euro après que l'agence Standard & Poor's ait dégradé sa notation de certaines des plus grosses banques de la région.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 plongeait de 0.72%, le CAC 40 français de 0.69%, et le DAX 30 allemand de 0.85%.
Les ministres des finances se sont mis d'accord hier pour augmenter le fonds de sauvetage de la région, tout en précisant que sa capacité à porter secours aux nations en difficulté ne serait pas aussi importante qu'espéré au début.
Ils ont également accordé la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
La finance coiffait le bonnet d'âne après que S&P ait revu à la baisse ses appréciations de 15 compagnies bancaires mondiales, et principalement européennes.
L'ING Groep néerlandais a ainsi dégringolé de 3.71%, les français la Société Générale et BNP Paribas de respectivement 2.57 et 1.68%, tandis que la Deutsche Bank, premier prêteur allemand, laissait échapper 2.26%.
L'agence a en effet passé son attitude concernant cette dernière de "neutre" à "négative".
Le Crédit Suisse, second établisssement bancaire helvétique, était aussi parmi les victimes, se retrouvant également dans le groupe "négatif" après avoir été dans le "neutre", régressant ainsi de 1.41%.
A Londres, le FTSE 100 a glissé de 0.46%, lui aussi tiré vers le bas par son secteur financier.
Barclays a ainsi dérapé de 2.09%, et la Royal Bank of Scotland de 1.84%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking limitaient les dégâts à 1.56 et 1.73%.
Seule la seconde a réchappé de l'hécatombe causée par S&P.
Les entreprises minières ont également souffert, les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 1.97 et 1.99%, Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys s'effondrant de 2.74 et 2.65%.
Le Dax Group, propriétaire de la plus grosse centrale à charbon de Royaume-Uni, a quand à lui chuté de 2.58% après avoir été passé de "neutre" à "devant être réduit" par Nomura Holdings.
Les perspectives des marchés américains n'étaient guère mieux loties: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.48% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que les ventes au détail allemandes avaient davantage augmenté en octobre qu'espéré, gagnant 0.7% pour améliorer les 0.3% du mois précédent.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui la publication du rapport très attendu de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'état du marché de l'emploi, ainsi que l'état de l'activité manufacturière dans la région de Chicago et le nombre des ventes de logements en cours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 plongeait de 0.72%, le CAC 40 français de 0.69%, et le DAX 30 allemand de 0.85%.
Les ministres des finances se sont mis d'accord hier pour augmenter le fonds de sauvetage de la région, tout en précisant que sa capacité à porter secours aux nations en difficulté ne serait pas aussi importante qu'espéré au début.
Ils ont également accordé la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
La finance coiffait le bonnet d'âne après que S&P ait revu à la baisse ses appréciations de 15 compagnies bancaires mondiales, et principalement européennes.
L'ING Groep néerlandais a ainsi dégringolé de 3.71%, les français la Société Générale et BNP Paribas de respectivement 2.57 et 1.68%, tandis que la Deutsche Bank, premier prêteur allemand, laissait échapper 2.26%.
L'agence a en effet passé son attitude concernant cette dernière de "neutre" à "négative".
Le Crédit Suisse, second établisssement bancaire helvétique, était aussi parmi les victimes, se retrouvant également dans le groupe "négatif" après avoir été dans le "neutre", régressant ainsi de 1.41%.
A Londres, le FTSE 100 a glissé de 0.46%, lui aussi tiré vers le bas par son secteur financier.
Barclays a ainsi dérapé de 2.09%, et la Royal Bank of Scotland de 1.84%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking limitaient les dégâts à 1.56 et 1.73%.
Seule la seconde a réchappé de l'hécatombe causée par S&P.
Les entreprises minières ont également souffert, les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 1.97 et 1.99%, Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys s'effondrant de 2.74 et 2.65%.
Le Dax Group, propriétaire de la plus grosse centrale à charbon de Royaume-Uni, a quand à lui chuté de 2.58% après avoir été passé de "neutre" à "devant être réduit" par Nomura Holdings.
Les perspectives des marchés américains n'étaient guère mieux loties: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.48% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que les ventes au détail allemandes avaient davantage augmenté en octobre qu'espéré, gagnant 0.7% pour améliorer les 0.3% du mois précédent.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui la publication du rapport très attendu de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'état du marché de l'emploi, ainsi que l'état de l'activité manufacturière dans la région de Chicago et le nombre des ventes de logements en cours.