Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce mardi, la confiance des investisseurs se trouvant nettement affaiblie par les craintes persistantes liées à la crise de la dette de la zone euro, à l'approche d'une réunion des ministres des finances de ses états membres.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 1.14%, le CAC 40 français de 1.12%, et le DAX 30 allemand de 0.71%.
Les ministres des finances du bloc euro doivent en effet se rencontrer aujourd'hui à Bruxelles afin de régler les détails des moyens d'augmenter la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, et devraient vraisemblablement attribuer la prochaine tranche d'aides financières à la Grèce.
Les observateurs demeuraient nerveux après qu'il ait été rapporté que l'agence Standard & Poor's pourrait passer sa notation triple A de la France sous une perspective négative dans les jours à venir, tandis que sa collègue Moody's avertissait qu'elle pourrait dégrader la dette surbordonnée de 87 banques réparties dans 15 nations européennes.
La finance s'en est trouvée largement affectée, les français Société Générale et BNP Paribas s'effondrant respectivement de 3.65 et 3.51%, et la Deutsche Bank allemande de 2.24%.
Ceux de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les espagnols BBVA et Banco Santander dévissant de 1.75 et 2.02%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit empruntant la même voie descendante avec 1.3 et 2.31%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Rémy Cointreau, distillant notamment le cognac Rémy artin, engrangeant 2.41% après avoir prévu une "hausse substantielle" de ses bénéfices annuels, et constaté une envolée de 27% de ses profits opératoires au premier semestre, dépassant ainsi les estimations des experts.
A Londres, le FTSE 100 a perdu 0.66%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland glissant de 2.99%, Lloyds Banking de 2.26%, tandis que Barclays et HSBC Holdings limitaient les dégâts à 1.86 et 1.61%.
Le secteur minier a également souffert, les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 2.34 et 1.61%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys sombrant de 1.87 et 0.82% de leur côté.
G4S Plc, plus importante compagnie de sécurité au monde, a quand à elle raflé 0.79% après que HSBC Holdings en ait passé l'appréciation de "neutre" à "poids lourd".
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un fléchissement de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.13% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.23%.
Les spécialistes des l'immobilier des Etats-Unis devraient dévoiler aujourd'hui l'inflation des prix des logements, et le pays fera de même avec une étude sur la confiance des consommateurs.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 1.14%, le CAC 40 français de 1.12%, et le DAX 30 allemand de 0.71%.
Les ministres des finances du bloc euro doivent en effet se rencontrer aujourd'hui à Bruxelles afin de régler les détails des moyens d'augmenter la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, et devraient vraisemblablement attribuer la prochaine tranche d'aides financières à la Grèce.
Les observateurs demeuraient nerveux après qu'il ait été rapporté que l'agence Standard & Poor's pourrait passer sa notation triple A de la France sous une perspective négative dans les jours à venir, tandis que sa collègue Moody's avertissait qu'elle pourrait dégrader la dette surbordonnée de 87 banques réparties dans 15 nations européennes.
La finance s'en est trouvée largement affectée, les français Société Générale et BNP Paribas s'effondrant respectivement de 3.65 et 3.51%, et la Deutsche Bank allemande de 2.24%.
Ceux de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les espagnols BBVA et Banco Santander dévissant de 1.75 et 2.02%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit empruntant la même voie descendante avec 1.3 et 2.31%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Rémy Cointreau, distillant notamment le cognac Rémy artin, engrangeant 2.41% après avoir prévu une "hausse substantielle" de ses bénéfices annuels, et constaté une envolée de 27% de ses profits opératoires au premier semestre, dépassant ainsi les estimations des experts.
A Londres, le FTSE 100 a perdu 0.66%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland glissant de 2.99%, Lloyds Banking de 2.26%, tandis que Barclays et HSBC Holdings limitaient les dégâts à 1.86 et 1.61%.
Le secteur minier a également souffert, les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 2.34 et 1.61%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys sombrant de 1.87 et 0.82% de leur côté.
G4S Plc, plus importante compagnie de sécurité au monde, a quand à elle raflé 0.79% après que HSBC Holdings en ait passé l'appréciation de "neutre" à "poids lourd".
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un fléchissement de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.13% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.23%.
Les spécialistes des l'immobilier des Etats-Unis devraient dévoiler aujourd'hui l'inflation des prix des logements, et le pays fera de même avec une étude sur la confiance des consommateurs.