Investing.com - Les bourses européennes avaient le sourire ce jeudi avant publication du baromètre de la confince dans les affaires allemandes, les investisseurs restant cependant prudents devant la persistance de l'angoisse d'une contagion des principales économies de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.73%, le CAC 40 français de 0.86%, et le DAX 30 allemand de 1.12%.
L'Allemagne n'a en effet réussi à écouler hier que 3.64 milliards d'euros en obligations à dix ans sur les 6 milliards espérés, au cours de la vente aux enchères la moins réussie depuis l'introduction de la devise européenne, attisant la peur que la crise de la dette souveraine de la zone euro ait fini par affecter le pays.
L'agence de notation Fitch a quand à elle prévenu que la France pourrait perdre sa notation triple A si les dirigeants de l'Union Européenne ne faisaient rien pour éviter une aggravation de la situation.
La finance a servi de locomotive, BNP Paribas engrangeant 2.52%, la Société Générale 1.45%, et la Deutsche Bank allemande 1.98%.
Ceux de la périphérie ont également suivi le mouvement, l'espagnol BBVA encaissant 1.15%, son compatriote Banco Santander 1.17%, et les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit raflant respectivement 2.15 et 1.85%.
Le secteur automobile n'était pas en reste, les allemands Daimler et BMW s'emparant de 1.2 et 1.36%, tandis que leurs collègues français Peugeot et Renault enflaient chacun de 2.04 et 1.54%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a arraché 0.06%, tiré vers le haut par un domaine minier en grande forme.
Les mastodontes de celui-ci, comme Rio Tinto et BHP Billiton, se trouvant au tableau d'honneur avec 0.95 et 1.52% d'amélioration.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas loin en s'élevant de 0.95 et 1.2% de leur côté.
Les prêteurs de Grande-Bretagne ont également suivi le chemin tracé par leurs homologues continentaux, Anglo American gagnant 0.94%, Barclays 0.88%, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se contentant de 0.46 et 0.58%.
Les marchés américains demeureront quand à eux clos en ce jeudi de Thanksgiving.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.73%, le CAC 40 français de 0.86%, et le DAX 30 allemand de 1.12%.
L'Allemagne n'a en effet réussi à écouler hier que 3.64 milliards d'euros en obligations à dix ans sur les 6 milliards espérés, au cours de la vente aux enchères la moins réussie depuis l'introduction de la devise européenne, attisant la peur que la crise de la dette souveraine de la zone euro ait fini par affecter le pays.
L'agence de notation Fitch a quand à elle prévenu que la France pourrait perdre sa notation triple A si les dirigeants de l'Union Européenne ne faisaient rien pour éviter une aggravation de la situation.
La finance a servi de locomotive, BNP Paribas engrangeant 2.52%, la Société Générale 1.45%, et la Deutsche Bank allemande 1.98%.
Ceux de la périphérie ont également suivi le mouvement, l'espagnol BBVA encaissant 1.15%, son compatriote Banco Santander 1.17%, et les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit raflant respectivement 2.15 et 1.85%.
Le secteur automobile n'était pas en reste, les allemands Daimler et BMW s'emparant de 1.2 et 1.36%, tandis que leurs collègues français Peugeot et Renault enflaient chacun de 2.04 et 1.54%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a arraché 0.06%, tiré vers le haut par un domaine minier en grande forme.
Les mastodontes de celui-ci, comme Rio Tinto et BHP Billiton, se trouvant au tableau d'honneur avec 0.95 et 1.52% d'amélioration.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas loin en s'élevant de 0.95 et 1.2% de leur côté.
Les prêteurs de Grande-Bretagne ont également suivi le chemin tracé par leurs homologues continentaux, Anglo American gagnant 0.94%, Barclays 0.88%, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se contentant de 0.46 et 0.58%.
Les marchés américains demeureront quand à eux clos en ce jeudi de Thanksgiving.