Investing.com - Les bourses européennes gardaient majoritairement la forme ce mardi après-midi, grâce aux espoirs de progrès dans l'évitement de la catastrophe budgétaire menaçant les Etats-Unis, et malgré les propos peu encourageants tenus hier par Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.27%, le CAC 40 français laissait toutefois échapper 0.05%, et le DAX 30 allemand gagnait 0.4%.
Le moral restait bon, dans l'idée que les élus américains trouvent un accord visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler leur relance économique et d'entraîner le reste du monde dans sa chute.
Le président américain Barack Obama a émis hier soir une contre-proposition pour éviter cette crise, avec un changement de position important concernant l'augmentation des contributions des plus aisés, faisant ainsi un pas vers le camp retranché républicain.
Mais M. Draghi a par contre déclaré lundi que la situation de l'économie de la zone euro était difficile et avait des chances de le demeurer pour un certain temps.
La finance était toujours parmi le peloton de tête, le français BNP Paribas arrachant 0.05%, dépassé par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec respectivement 0.98 et 2.9%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo raflant 2.24 et 1.25%, suivis des espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.15 et 1.37%.
Nokia, fabricant de téléphones finois, n'était pas en reste avec 5.05% d'amélioration, alors qu'une mise à jour de son intelliphone Lumia 920 est attendue ce mois-ci.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.34%, tiré vers le haut par ses exploitants, après qu'il ait été montré que l'inflation des prix à la consommation britanniques était demeurée stable à 2.7% en novembre.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi ramassé 1.75 et 1.46%, imités par Vedanta Resources avec 2.24%.
La City n'était par contre pas unanime, la Royal Bank of Scotland prenant 1.06%, Lloyds Banking 1.2% et Barclays 1.3%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0.15%.
Rolls-Royce Holdings a par contre avancé de 1.11% suite à la signature d'un contrat de fourniture de moteurs d'avions à Skymark Airlines.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.51%.
Le gouvernement américain comptait de son côté fournir incessamment l'état du compte courant du pays.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.27%, le CAC 40 français laissait toutefois échapper 0.05%, et le DAX 30 allemand gagnait 0.4%.
Le moral restait bon, dans l'idée que les élus américains trouvent un accord visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler leur relance économique et d'entraîner le reste du monde dans sa chute.
Le président américain Barack Obama a émis hier soir une contre-proposition pour éviter cette crise, avec un changement de position important concernant l'augmentation des contributions des plus aisés, faisant ainsi un pas vers le camp retranché républicain.
Mais M. Draghi a par contre déclaré lundi que la situation de l'économie de la zone euro était difficile et avait des chances de le demeurer pour un certain temps.
La finance était toujours parmi le peloton de tête, le français BNP Paribas arrachant 0.05%, dépassé par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec respectivement 0.98 et 2.9%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo raflant 2.24 et 1.25%, suivis des espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.15 et 1.37%.
Nokia, fabricant de téléphones finois, n'était pas en reste avec 5.05% d'amélioration, alors qu'une mise à jour de son intelliphone Lumia 920 est attendue ce mois-ci.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.34%, tiré vers le haut par ses exploitants, après qu'il ait été montré que l'inflation des prix à la consommation britanniques était demeurée stable à 2.7% en novembre.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi ramassé 1.75 et 1.46%, imités par Vedanta Resources avec 2.24%.
La City n'était par contre pas unanime, la Royal Bank of Scotland prenant 1.06%, Lloyds Banking 1.2% et Barclays 1.3%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0.15%.
Rolls-Royce Holdings a par contre avancé de 1.11% suite à la signature d'un contrat de fourniture de moteurs d'avions à Skymark Airlines.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.51%.
Le gouvernement américain comptait de son côté fournir incessamment l'état du compte courant du pays.