Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce lundi, le moral se trouvant plombé par les incertitudes concernant la réponse grecque aux conditions imposées par le second plan de secours, destiné à lui éviter un défaut de paiement.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.54%, le CAC 40 français de 0.81%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
Les dirigeants politiques grecs doivent en effet décider aujourd'hui si ils acceptent ou non les conditions imposées par leurs créanciers internationaux d'ici 11 h, heure locale, afin d'avoir accès au plan d'aide à hauteur de 130 milliards d'euros.
Lucas Papademos, premier ministre du pays, avait déclaré en fin de semaine que les membres du gouvernement de coalition avaient accepté certaines conditions, mais que d'autres restaient à traiter.
La finance s'en est trouvée largement affectée, les français Société Générale et BNP Paribas dérapant respectivement de 1.5 et 0.97%, et les allemands Deutsche Bank et Commerzbank de 1.09 et 1.41%.
Leurs collègues de la périphérie ont eu des fortunes plusdiverses, les espagnoles BBVA et Banco Santander trébucahnt de 0.03 et 0.56%, maiss l'itanien Unicredit arrachant 0.29%.
EADS a pour sa part cédé 1.27% bien que Hans Peter Ring, son directeur financier, ait annoncé que la maison-mère d'Airbus augmenterait ses ventes de 4% et que ses marges brutes dépasseraient 1.45 illiards d'euros.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a reculé de 0.46%, tiré vers le bas par des fournisseurs de matières premières en difficulté, alors qu'il avait été signalé que l'inflation des prix des logements britanniques avait dépassé les prévisions pour janvier.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi fondu de 0.96 et 0.51%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys limitant les dégâts à 0.45 et 0.33%.
Le secteur finaancier était en demi-teinte, Llooyds Banking gagnant 0.49% tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland fléchissaient de 0.69 et 0.66%.
Les perspectives des marchés américains étaient assez moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
La zone euro verra dans la journée la publication d'un rapport sur la confiance des investisseurs, et le gouvernement allemand dévoilera le volume des commandes passées auprès des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.54%, le CAC 40 français de 0.81%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
Les dirigeants politiques grecs doivent en effet décider aujourd'hui si ils acceptent ou non les conditions imposées par leurs créanciers internationaux d'ici 11 h, heure locale, afin d'avoir accès au plan d'aide à hauteur de 130 milliards d'euros.
Lucas Papademos, premier ministre du pays, avait déclaré en fin de semaine que les membres du gouvernement de coalition avaient accepté certaines conditions, mais que d'autres restaient à traiter.
La finance s'en est trouvée largement affectée, les français Société Générale et BNP Paribas dérapant respectivement de 1.5 et 0.97%, et les allemands Deutsche Bank et Commerzbank de 1.09 et 1.41%.
Leurs collègues de la périphérie ont eu des fortunes plusdiverses, les espagnoles BBVA et Banco Santander trébucahnt de 0.03 et 0.56%, maiss l'itanien Unicredit arrachant 0.29%.
EADS a pour sa part cédé 1.27% bien que Hans Peter Ring, son directeur financier, ait annoncé que la maison-mère d'Airbus augmenterait ses ventes de 4% et que ses marges brutes dépasseraient 1.45 illiards d'euros.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a reculé de 0.46%, tiré vers le bas par des fournisseurs de matières premières en difficulté, alors qu'il avait été signalé que l'inflation des prix des logements britanniques avait dépassé les prévisions pour janvier.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi fondu de 0.96 et 0.51%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys limitant les dégâts à 0.45 et 0.33%.
Le secteur finaancier était en demi-teinte, Llooyds Banking gagnant 0.49% tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland fléchissaient de 0.69 et 0.66%.
Les perspectives des marchés américains étaient assez moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
La zone euro verra dans la journée la publication d'un rapport sur la confiance des investisseurs, et le gouvernement allemand dévoilera le volume des commandes passées auprès des usines.