Investing.com - Les bourses européennes étaient en déconfiture ce mercredi, alors que planaient les incertitudes concernant les résultats des négociations portant sur le nouveau plan de secours à la Grèce et que pesait la pression des dégradations de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.12%, le CAC 40 français de 0.48%, et le DAX 30 allemand de 0.12%.
Les pourparlers portant sur des échanges de dettes de la Grèce avec les créanciers internationaux devaient reprendre aujourd'hui, le pays devant trouver un accord afin de s'assurer l'attribution de la nouvele tranche de fonds de secours et ainsi éviter un défaut de paiement.
L'atmosphère s'est trouvée alourdie après que l'agence Fitch ait déclaré en début de journée que l'Italie pourrait subir une dégradation de deux crans.
Cette dernière se situe actuellement à A+, mais elle s'est trouvée placée le mois dernier sous une "surveillance négative", tout comme celles de l'Espagne, de la Belgique, de l'Irlande, de la Slovénie et de Chypre, ce qui signifie qu'un rabaissement dans les trois mois est possible.
La finance coiffait le bonnet d'âne, la Deutsche Bank allemande perdant 0.6%, sa compatriote Commerzbank s'effondrant de 4.25% tandis que les français BNP Paribas et Société Générale limitaient les dégâts à respectivement 1.2 et 0.71%.
Les banques de la périphérie ont également subi ce contrecoup, le portugais Banco Espirito Santo dérapant de 0.79% alors que le pays se préparait à émettre jusqu'à 2.5 milliards de dettes gouvernementales au cours de la première mise aux enchères de dettes nationales depuis le plan de sauvetage de l'année passée.
A Londres, le FTSE 100 a fléchi de 0.39%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland a reculé de 1.97%, Lloyds Banking de 1.08%, Barclays et HSBC Holdings sauvant les meubles avec 0.38 et 0.07% de pertes.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont aussi fondu de 0.45 et 1.18%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys subissant un repli de 0.96 et 0.37%.
Tullow Oil Plc a pour sa part dégringolé de 7.35% après avoir retardé l'augmentation de la production du gisement pétrolier Jubilee au Ghana, qui aurait dû l'amener à son rythme de croisière.
Les perspectives des marchés américains étaient à peine optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.12%, le CAC 40 français de 0.48%, et le DAX 30 allemand de 0.12%.
Les pourparlers portant sur des échanges de dettes de la Grèce avec les créanciers internationaux devaient reprendre aujourd'hui, le pays devant trouver un accord afin de s'assurer l'attribution de la nouvele tranche de fonds de secours et ainsi éviter un défaut de paiement.
L'atmosphère s'est trouvée alourdie après que l'agence Fitch ait déclaré en début de journée que l'Italie pourrait subir une dégradation de deux crans.
Cette dernière se situe actuellement à A+, mais elle s'est trouvée placée le mois dernier sous une "surveillance négative", tout comme celles de l'Espagne, de la Belgique, de l'Irlande, de la Slovénie et de Chypre, ce qui signifie qu'un rabaissement dans les trois mois est possible.
La finance coiffait le bonnet d'âne, la Deutsche Bank allemande perdant 0.6%, sa compatriote Commerzbank s'effondrant de 4.25% tandis que les français BNP Paribas et Société Générale limitaient les dégâts à respectivement 1.2 et 0.71%.
Les banques de la périphérie ont également subi ce contrecoup, le portugais Banco Espirito Santo dérapant de 0.79% alors que le pays se préparait à émettre jusqu'à 2.5 milliards de dettes gouvernementales au cours de la première mise aux enchères de dettes nationales depuis le plan de sauvetage de l'année passée.
A Londres, le FTSE 100 a fléchi de 0.39%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland a reculé de 1.97%, Lloyds Banking de 1.08%, Barclays et HSBC Holdings sauvant les meubles avec 0.38 et 0.07% de pertes.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont aussi fondu de 0.45 et 1.18%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys subissant un repli de 0.96 et 0.37%.
Tullow Oil Plc a pour sa part dégringolé de 7.35% après avoir retardé l'augmentation de la production du gisement pétrolier Jubilee au Ghana, qui aurait dû l'amener à son rythme de croisière.
Les perspectives des marchés américains étaient à peine optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.