La majorité des indices actions européens n'évolue guère par rapport à lundi soir, un certain attentisme prévalant dans l'attente d'une série de données américaines dans les prochains jours qui seront surveillées de près dans l'optique de la réunion de la Fed en décembre.
Bruxelles perd 0,5%, Francfort et Milan 0,2%, Zurich 0,1%, Londres, Paris et Amsterdam gagnent 0,2%, Madrid 0,3% et Lisbonne s'adjuge 0,9%. A New York, le Dow Jones prend 0,2% mais le Nasdaq cède moins de 0,1%.
Les deux indices américains avaient grimpé de 0,9% et 1,4% respectivement la veille, ce qu'un stratège d'ADS Securities mettait en rapport avec la chute brutale de l'indice PMI manufacturier, de quoi plaider pour une hausse de taux de la Fed repoussée à 2016.
Seule donnée publiée ce jour, les commandes à l'industrie ont diminué de 1% aux Etats-Unis en rythme séquentiel en septembre, alors que les économistes attendaient une baisse de l'ordre de 1,2%, après une chute de 2,1% en août.
Toujours aux Etats-Unis, les opérateurs seront attentifs dans les prochains jours aux indices PMI et ISM non manufacturiers, ainsi qu'aux chiffres de l'emploi pour le mois d'octobre, de façon à évaluer l'attitude probable de la Fed en fin d'année.
Dans l'actualité des valeurs, UBS dévisse de 4,8% et fait figure de lanterne rouge à Zurich, sanctionné pour une révision de certains objectifs pour 2016 et au-delà, à la lumière des conditions macroéconomiques et d'une nouvelle réglementation bancaire en Suisse.
Volkswagen (DE:VOWG) recule de 2,8% à Francfort après un second 'avis de non-respect' du Clean Air Act aux Etats-Unis. Le constructeur automobile allemand entraine dans son sillage son pair BMW (DE:BMWG) (-1,5%), qui a pourtant dévoilé des trimestriels plutôt meilleurs que prévu.
Infineon abandonne 4,1%, alors que le fabricant de semi-conducteurs serait en situation de favori pour racheter son concurrent américain Fairchild Semiconductor International, d'après des sources de presse.
L'action Allianz (DE:ALVG) grappille par contre de 0,3%, à la faveur de propos encourageants d'UBS : toujours à l'achat sur l'assureur, il a porté son objectif de cours de 170 à 181 euros, tablant sur un scénario favorable au niveau des résultats.
A Londres, Royal Dutch Shell grimpe de 2,5% : à l'occasion d'une journée investisseurs, la compagnie pétro-gazière a relevé de 40% le montant des synergies attendues de la fusion avec BG Group (L:BG), qui devrait toujours être bouclée début 2016.
Klépierre (-4,2%) essuie le plus fort recul du SBF120 parisien, pénalisé par la cession par BNP Paribas (PA:BNPP), dans un placement privé auprès d'investisseurs institutionnels, de 20,5 millions d'actions de la foncière.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Bruxelles perd 0,5%, Francfort et Milan 0,2%, Zurich 0,1%, Londres, Paris et Amsterdam gagnent 0,2%, Madrid 0,3% et Lisbonne s'adjuge 0,9%. A New York, le Dow Jones prend 0,2% mais le Nasdaq cède moins de 0,1%.
Les deux indices américains avaient grimpé de 0,9% et 1,4% respectivement la veille, ce qu'un stratège d'ADS Securities mettait en rapport avec la chute brutale de l'indice PMI manufacturier, de quoi plaider pour une hausse de taux de la Fed repoussée à 2016.
Seule donnée publiée ce jour, les commandes à l'industrie ont diminué de 1% aux Etats-Unis en rythme séquentiel en septembre, alors que les économistes attendaient une baisse de l'ordre de 1,2%, après une chute de 2,1% en août.
Toujours aux Etats-Unis, les opérateurs seront attentifs dans les prochains jours aux indices PMI et ISM non manufacturiers, ainsi qu'aux chiffres de l'emploi pour le mois d'octobre, de façon à évaluer l'attitude probable de la Fed en fin d'année.
Dans l'actualité des valeurs, UBS dévisse de 4,8% et fait figure de lanterne rouge à Zurich, sanctionné pour une révision de certains objectifs pour 2016 et au-delà, à la lumière des conditions macroéconomiques et d'une nouvelle réglementation bancaire en Suisse.
Volkswagen (DE:VOWG) recule de 2,8% à Francfort après un second 'avis de non-respect' du Clean Air Act aux Etats-Unis. Le constructeur automobile allemand entraine dans son sillage son pair BMW (DE:BMWG) (-1,5%), qui a pourtant dévoilé des trimestriels plutôt meilleurs que prévu.
Infineon abandonne 4,1%, alors que le fabricant de semi-conducteurs serait en situation de favori pour racheter son concurrent américain Fairchild Semiconductor International, d'après des sources de presse.
L'action Allianz (DE:ALVG) grappille par contre de 0,3%, à la faveur de propos encourageants d'UBS : toujours à l'achat sur l'assureur, il a porté son objectif de cours de 170 à 181 euros, tablant sur un scénario favorable au niveau des résultats.
A Londres, Royal Dutch Shell grimpe de 2,5% : à l'occasion d'une journée investisseurs, la compagnie pétro-gazière a relevé de 40% le montant des synergies attendues de la fusion avec BG Group (L:BG), qui devrait toujours être bouclée début 2016.
Klépierre (-4,2%) essuie le plus fort recul du SBF120 parisien, pénalisé par la cession par BNP Paribas (PA:BNPP), dans un placement privé auprès d'investisseurs institutionnels, de 20,5 millions d'actions de la foncière.
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