Les 3 principaux indices US ont inscrit leur meilleure marque de l'année 2016, le Dow Jones s'est même hissé en séance jusque vers 17.790, au plus haut depuis le 7 décembre 2015.
Au final, le 'Dow' se contente de +0,5% à 17.716 (Boeing (NYSE:BA) a pesé avec -1,8%)mais c'est sa meilleure clôture depuis le 16 décembre 2015.
Le 'S&P' engrange +0,5% à 2.064Pts après avoir culminé à 2.072Pt et le Nasdaq a nettement réduit ses gains à +0,5% contre +1% vers 16H (à 4.899).
Le Dow Jones et le S&P500 sont revenus à 3% de leurs records absolus, établis en 2 étapes fin mai puis début juillet 2015.
Ils vont donc clôturer le mois calendaire au plus haut, comme le veut une sorte de tradition non écrite depuis octobre dernier.
Comme le pétrole n'a pas été d'un grand secours depuis 10 jours, ni les chiffres de la consommation des ménages la veille, Wall Street a été tiré de sa morosité par Janet Yellen qui conditionne la poursuite de la 'normalisation' à une stabilisation des économies émergentes (éprouvées par la hausse du $), une amélioration qualitative sur le marché du travail aux Etats Unis et à une progression régulière de l'inflation.
'Un ensemble de conditions difficiles à remplir d'ici juin' pour résumer les propose de Charles Evans -le patron de la FED de Chicago- en début d'après-midi sur CNBC.
La publication de l'enquête ADP sur l'emploi dans le secteur privé n'a provoqué aucun tressaillement des indices US: ADP a recensé +200.000 créations de postes alors que le consensus tablait sur... +200.000 précisément.
C'est de bon augure à 48H du rapport officiel du Département du Travail (le 'NFP') mais Janet Yellen a un peu tué le suspens: quel que soit le taux de chômage ou le nombre de nouveaux jobs, cela ne fera pas bouger la FED fin avril.
La hausse du jour résulte en partie de l'affaiblissement du Dollar sous les 1,1325/E et d'une poursuite des achats sur les valeurs à fort 'béta' (volatilité à la hausse)... et le géant Apple (NASDAQ:AAPL) qui a pris +1,75%
Parmi les rares replis du jour, quelques valeurs liées au secteur pétrolier : Range Resources -2,4%, NRG Energy -2,1%, Valero (NYSE:VLO) -2%, ce qui était compensé par l'envol de +3,7% d'Halliburton et +2% sur Oneok (NYSE:OKE).
Le baril a fluctué nerveusement après la publication d'une hausse modeste des stocks hebdomadaires (+2,3Mns de barils), gagnant jusqu'à +3,5% (à 39,85$) avant de reperdre -0,6% pour terminer stable à 38,3$.
Peu de baisses notables au sein du Nasdaq, à part les 'biotechs' comme Regeneron -2%, Celgene -1,4%, Mylan (NASDAQ:MYL) -1,3%, Vertex (NASDAQ:VRTX) -1,1% puis quelques prises de bénéfices sur Netflix -1,8%, Tesla -1,4%, Facebook (NASDAQ:FB) -1,25%.
Au sein du 'Dow', Boeing finit bon dernier après l'annonce d'une réduction de 4.000 postes (3% des effectifs) qui pourrait être portée à -8.000.
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Au final, le 'Dow' se contente de +0,5% à 17.716 (Boeing (NYSE:BA) a pesé avec -1,8%)mais c'est sa meilleure clôture depuis le 16 décembre 2015.
Le 'S&P' engrange +0,5% à 2.064Pts après avoir culminé à 2.072Pt et le Nasdaq a nettement réduit ses gains à +0,5% contre +1% vers 16H (à 4.899).
Le Dow Jones et le S&P500 sont revenus à 3% de leurs records absolus, établis en 2 étapes fin mai puis début juillet 2015.
Ils vont donc clôturer le mois calendaire au plus haut, comme le veut une sorte de tradition non écrite depuis octobre dernier.
Comme le pétrole n'a pas été d'un grand secours depuis 10 jours, ni les chiffres de la consommation des ménages la veille, Wall Street a été tiré de sa morosité par Janet Yellen qui conditionne la poursuite de la 'normalisation' à une stabilisation des économies émergentes (éprouvées par la hausse du $), une amélioration qualitative sur le marché du travail aux Etats Unis et à une progression régulière de l'inflation.
'Un ensemble de conditions difficiles à remplir d'ici juin' pour résumer les propose de Charles Evans -le patron de la FED de Chicago- en début d'après-midi sur CNBC.
La publication de l'enquête ADP sur l'emploi dans le secteur privé n'a provoqué aucun tressaillement des indices US: ADP a recensé +200.000 créations de postes alors que le consensus tablait sur... +200.000 précisément.
C'est de bon augure à 48H du rapport officiel du Département du Travail (le 'NFP') mais Janet Yellen a un peu tué le suspens: quel que soit le taux de chômage ou le nombre de nouveaux jobs, cela ne fera pas bouger la FED fin avril.
La hausse du jour résulte en partie de l'affaiblissement du Dollar sous les 1,1325/E et d'une poursuite des achats sur les valeurs à fort 'béta' (volatilité à la hausse)... et le géant Apple (NASDAQ:AAPL) qui a pris +1,75%
Parmi les rares replis du jour, quelques valeurs liées au secteur pétrolier : Range Resources -2,4%, NRG Energy -2,1%, Valero (NYSE:VLO) -2%, ce qui était compensé par l'envol de +3,7% d'Halliburton et +2% sur Oneok (NYSE:OKE).
Le baril a fluctué nerveusement après la publication d'une hausse modeste des stocks hebdomadaires (+2,3Mns de barils), gagnant jusqu'à +3,5% (à 39,85$) avant de reperdre -0,6% pour terminer stable à 38,3$.
Peu de baisses notables au sein du Nasdaq, à part les 'biotechs' comme Regeneron -2%, Celgene -1,4%, Mylan (NASDAQ:MYL) -1,3%, Vertex (NASDAQ:VRTX) -1,1% puis quelques prises de bénéfices sur Netflix -1,8%, Tesla -1,4%, Facebook (NASDAQ:FB) -1,25%.
Au sein du 'Dow', Boeing finit bon dernier après l'annonce d'une réduction de 4.000 postes (3% des effectifs) qui pourrait être portée à -8.000.
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