Tandis que le FTSE de Londres parvient à prendre encore 0,2%, les autres indices actions européens évoluent en ordre dispersé en cette dernière séance du semestre.
'Après ces deux derniers jours, il n'est guère surprenant que le FTSE donne quelques signes de retracements, mais ceci s'apparente au moins pour le moment davantage à une reprise de souffle qu'à un changement de sentiment', jugeait-on ce matin chez Trustnet Direct.
'Après cette vague d'achat à bon compte, nous choisissons de finir la semaine en observateurs et nous en profitons pour nous projeter dans l'agenda politique jusqu'au 8 novembre, date des élections présidentielles aux Etats-Unis', affirmait pour sa part Barclays (LON:BARC) Bourse.
Sur le front des statistiques de l'après-midi, l'indice PMI de Chicago est passé de 49,3 en mai à 56,8 en juin, traduisant ainsi un redressement bien plus fort que prévu de l'activité manufacturière dans cette région des Etats-Unis.
En revanche, le Département américain du Travail a dénombré 268.000 nouvelles inscriptions hebdomadaires au chômage au titre de la semaine dernière, après 258.000 la précédente.
En ligne avec le DAX de Francfort (-0,2%), Bayer cède un peu de terrain alors que Monsanto aurait demandé au groupe allemand de chimie-pharmacie d'augmenter son offre de l'ordre de dix à 15 dollars par action, d'après le Handelsblatt.
A Paris où le CAC40 gagne 0,3%, Vivendi (PA:VIV) (+2%) figure dans le peloton de tête au lendemain de la recomposition du conseil d'administration de Gameloft (PA:GLFT), après le succès de son OPA hostile sur cet éditeur de jeux digitaux et sociaux.
L'indice AEX d'Amsterdam avance plus nettement de 0,8%, emmené notamment par des gains de 1,6% pour la banque ING (AS:ING) et pour le groupe parapétrolier SBM Offshore.
Le Bel20 de Bruxelles prend 1%, entrainé entre autres par AB InBev (+1,9%) après que les autorités concurrentielles d'Afrique du Sud aient validé sa fusion avec un autre géant de la bière, SABMiller, lui-même partiellement originaire de ce pays.
L'indice PSI de Lisbonne cède 0,1%, affecté notamment par des prises de bénéfices sur le groupe de télécommunications PHarol (-2,9%) après deux séances particulièrement fastes.
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
'Après ces deux derniers jours, il n'est guère surprenant que le FTSE donne quelques signes de retracements, mais ceci s'apparente au moins pour le moment davantage à une reprise de souffle qu'à un changement de sentiment', jugeait-on ce matin chez Trustnet Direct.
'Après cette vague d'achat à bon compte, nous choisissons de finir la semaine en observateurs et nous en profitons pour nous projeter dans l'agenda politique jusqu'au 8 novembre, date des élections présidentielles aux Etats-Unis', affirmait pour sa part Barclays (LON:BARC) Bourse.
Sur le front des statistiques de l'après-midi, l'indice PMI de Chicago est passé de 49,3 en mai à 56,8 en juin, traduisant ainsi un redressement bien plus fort que prévu de l'activité manufacturière dans cette région des Etats-Unis.
En revanche, le Département américain du Travail a dénombré 268.000 nouvelles inscriptions hebdomadaires au chômage au titre de la semaine dernière, après 258.000 la précédente.
En ligne avec le DAX de Francfort (-0,2%), Bayer cède un peu de terrain alors que Monsanto aurait demandé au groupe allemand de chimie-pharmacie d'augmenter son offre de l'ordre de dix à 15 dollars par action, d'après le Handelsblatt.
A Paris où le CAC40 gagne 0,3%, Vivendi (PA:VIV) (+2%) figure dans le peloton de tête au lendemain de la recomposition du conseil d'administration de Gameloft (PA:GLFT), après le succès de son OPA hostile sur cet éditeur de jeux digitaux et sociaux.
L'indice AEX d'Amsterdam avance plus nettement de 0,8%, emmené notamment par des gains de 1,6% pour la banque ING (AS:ING) et pour le groupe parapétrolier SBM Offshore.
Le Bel20 de Bruxelles prend 1%, entrainé entre autres par AB InBev (+1,9%) après que les autorités concurrentielles d'Afrique du Sud aient validé sa fusion avec un autre géant de la bière, SABMiller, lui-même partiellement originaire de ce pays.
L'indice PSI de Lisbonne cède 0,1%, affecté notamment par des prises de bénéfices sur le groupe de télécommunications PHarol (-2,9%) après deux séances particulièrement fastes.
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