Investing.com - Les bourses asiatiques évoluaient en forte hausse en fin de séance lundi, soutenues par l'annonce d'un accord sur un plan de sauvetage pour Chypre.
En effet, pour obtenir l’assistance financière promise de 10 milliards d’euros, Chypre accepte une très sévère restructuration financière de son secteur bancaire et a abandonné l'idée d'une taxe sur les dépôts bancaires.
En fin de séance, le Hang Seng bondissait de 0,70% et l'ASX australien progressait de 0,46%, tandis que le Nikkei japonais engrangeait 1,29%.
Autre information en Asie, le fabricant taïwanais de téléphones HTC a annoncé, dimanche, qu'il allait sortir son nouveau smartphone "One" cette semaine au Royaume-Uni, en Allemagne et à Taïwan, et avant la fin du mois prochain sur la plupart des autres marchés.
Aux Etats-Unis, les marchés boursiers avaient fermé en hausse vendredi soir, boostés par les espoirs d'accord imminent pour Chypre.
Plus tôt dans la semaine, la Réserve fédérale avait indiqué qu'elle conservera des taux directeurs proches de 0 % et poursuivra son programme d'achat d'obligations d'Etat et d'actifs titrisés à hauteur de 85 milliards de dollars par mois.
En fin de séance, le Dow Jones Industrial Average s'octroyait 0,63%, le S&P 500 progressait de 0,72% et le Nasdaq engrangeait 0,94%.
Quant aux indices européens, ils ont terminé la semaine majoritairement en baisse, après une série de statistiques plutôt inquiétantes en provenance de la zone euro.
L’indice Ifo du climat des affaires en Allemagne a notamment enregistré en mars son premier repli depuis le mois de novembre, selon les données publiées vendredi.
En fin de séance, le CAC 40 cédait 0,12% et l'EURO STOXX 50 perdait 0,08%, le DAX reculait de 0,27% et le Footsie 100 grappillait 0,07%.
Dans la nuit de dimanche à lundi, le président chypriote, Nicos Anastasiades, et ses bailleurs de fonds internationaux ont conclu un accord sur le plan de sauvetage réservé à l'île.
Plutôt que d’imposer une taxe sur les dépôts bancaires pour tous, Nicosie a finalement opté pour la mise en faillite d’une partie de son secteur bancaire. Plus précisément, le nouveau plan se concentre sur les deux principaux établissements du pays qui pèsent pour au moins la moitié de l’activité bancaire du pays.
Chypre prévoit ainsi la liquidation de la banque Laïki et la recapitalisation de Bank of Cypruen échange des 10 milliards d’euros promis par les Européens pour les trois ans à venir.
En effet, pour obtenir l’assistance financière promise de 10 milliards d’euros, Chypre accepte une très sévère restructuration financière de son secteur bancaire et a abandonné l'idée d'une taxe sur les dépôts bancaires.
En fin de séance, le Hang Seng bondissait de 0,70% et l'ASX australien progressait de 0,46%, tandis que le Nikkei japonais engrangeait 1,29%.
Autre information en Asie, le fabricant taïwanais de téléphones HTC a annoncé, dimanche, qu'il allait sortir son nouveau smartphone "One" cette semaine au Royaume-Uni, en Allemagne et à Taïwan, et avant la fin du mois prochain sur la plupart des autres marchés.
Aux Etats-Unis, les marchés boursiers avaient fermé en hausse vendredi soir, boostés par les espoirs d'accord imminent pour Chypre.
Plus tôt dans la semaine, la Réserve fédérale avait indiqué qu'elle conservera des taux directeurs proches de 0 % et poursuivra son programme d'achat d'obligations d'Etat et d'actifs titrisés à hauteur de 85 milliards de dollars par mois.
En fin de séance, le Dow Jones Industrial Average s'octroyait 0,63%, le S&P 500 progressait de 0,72% et le Nasdaq engrangeait 0,94%.
Quant aux indices européens, ils ont terminé la semaine majoritairement en baisse, après une série de statistiques plutôt inquiétantes en provenance de la zone euro.
L’indice Ifo du climat des affaires en Allemagne a notamment enregistré en mars son premier repli depuis le mois de novembre, selon les données publiées vendredi.
En fin de séance, le CAC 40 cédait 0,12% et l'EURO STOXX 50 perdait 0,08%, le DAX reculait de 0,27% et le Footsie 100 grappillait 0,07%.
Dans la nuit de dimanche à lundi, le président chypriote, Nicos Anastasiades, et ses bailleurs de fonds internationaux ont conclu un accord sur le plan de sauvetage réservé à l'île.
Plutôt que d’imposer une taxe sur les dépôts bancaires pour tous, Nicosie a finalement opté pour la mise en faillite d’une partie de son secteur bancaire. Plus précisément, le nouveau plan se concentre sur les deux principaux établissements du pays qui pèsent pour au moins la moitié de l’activité bancaire du pays.
Chypre prévoit ainsi la liquidation de la banque Laïki et la recapitalisation de Bank of Cypruen échange des 10 milliards d’euros promis par les Européens pour les trois ans à venir.