Investing.com - Les bourses asiatiques évoluaient en ordre dispersé en fin de séance lundi, alors qu'une nouvelle contraction de l'activité manufacturière en Chine a fait renaître les espoirs d'intervention de la part de la banque centrale, tandis qu'une série d'indicateurs-clés étaient attendus en provenance de la zone euro et des Etats-Unis, plus tard dans la journée.
La production manufacturière chinoise a de nouveau baissé en septembre en Chine, comme elle l'avait fait en août. L'indice des directeurs d'achat publié lundi matin s'est élevé à 49,8 le mois dernier, contre 49,2 en août.
Si les investisseurs misent sur de nouvelles mesures de soutien à l'économie, la probabilité d'un stimulus massif reste toutefois peu probable, car il risquerait de provoquer une nouvelle envolée des prix immobiliers et pourrait avoir des conséquences sur le système financier chinois, déjà fragilisé par le dernier plan de relance.
En fin de séance, le Hang Seng avançait de 0,38%, l'ASX australien grappillait 0,01% et le Nikkei japonais reculait de 0,90%. Les marchés restaient fermés en Chine et à Hong Kong.
Aux Etats-Unis, les marchiers boursiers ont terminé la semaine dans le rouge, même si la série de mesures d'assouplissement annoncées par plusieurs banques centrales ce mois-ci continuait de soutenir le moral des investisseurs.
Facebook a notamment fait parler de lui, et engrangeait 6,59% à la côture vendredi, après avoir annoncé la mise en place une nouvelle fonction, "Facebook Gifts", permettant d'envoyer de vrais cadeaux à ses amis.
Le Dow Jones Industrial Average a fermé en retrait de 0,36%, le S&P 500 reculait de 0,45% et le Nasdaq a plié de 0,79%.
Enfin, les indices européens ont fermé en très forte baisse, quelques heures avant la publication des résultats de l'audit indépendant des banques espagnoles.
En fin de séance, le CAC 40 pliait de 2,46% et l'EURO STOXX 50 lâchait 2,07%, tandis que le DAX reculait de 1,01% et le Footsie 100 perdait 0,65%.
Un audit indépendant a conclu, vendredi soir, que les banques espagnoles ont besoin de 59,3 milliards d'euros pour faire face à une crise économique grave, un montant proche des estimations, allégeant ainsi un peu la pression exercée sur le gouvernement de Mariano Rajoy pour qu'il sollicite une aide extérieure.
Madrid a précisé qu'environ 40 milliards d'euros proviendraient de l'aide européenne prévue depuis juin, les banques concernées étant en mesure de lever 19 milliards par leurs propres moyens.
Plus tard dans la journée, le taux de chômage de la zone euro sera publié, ainsi que les indices PMI d'activité manufacturière de septembre pour la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la zone euro, les Etats-Unis et la Chine.
Les investisseurs attendront également la publication aux Etats-Unis de l'indice ISM d'activité dans l'industrie pour le mois de septembre, ainsi que les dépenses de construction pour le mois d'août.
Par ailleurs, le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA) dévoilera les chiffres du marché automobile en France pour le mois de septembre.
La production manufacturière chinoise a de nouveau baissé en septembre en Chine, comme elle l'avait fait en août. L'indice des directeurs d'achat publié lundi matin s'est élevé à 49,8 le mois dernier, contre 49,2 en août.
Si les investisseurs misent sur de nouvelles mesures de soutien à l'économie, la probabilité d'un stimulus massif reste toutefois peu probable, car il risquerait de provoquer une nouvelle envolée des prix immobiliers et pourrait avoir des conséquences sur le système financier chinois, déjà fragilisé par le dernier plan de relance.
En fin de séance, le Hang Seng avançait de 0,38%, l'ASX australien grappillait 0,01% et le Nikkei japonais reculait de 0,90%. Les marchés restaient fermés en Chine et à Hong Kong.
Aux Etats-Unis, les marchiers boursiers ont terminé la semaine dans le rouge, même si la série de mesures d'assouplissement annoncées par plusieurs banques centrales ce mois-ci continuait de soutenir le moral des investisseurs.
Facebook a notamment fait parler de lui, et engrangeait 6,59% à la côture vendredi, après avoir annoncé la mise en place une nouvelle fonction, "Facebook Gifts", permettant d'envoyer de vrais cadeaux à ses amis.
Le Dow Jones Industrial Average a fermé en retrait de 0,36%, le S&P 500 reculait de 0,45% et le Nasdaq a plié de 0,79%.
Enfin, les indices européens ont fermé en très forte baisse, quelques heures avant la publication des résultats de l'audit indépendant des banques espagnoles.
En fin de séance, le CAC 40 pliait de 2,46% et l'EURO STOXX 50 lâchait 2,07%, tandis que le DAX reculait de 1,01% et le Footsie 100 perdait 0,65%.
Un audit indépendant a conclu, vendredi soir, que les banques espagnoles ont besoin de 59,3 milliards d'euros pour faire face à une crise économique grave, un montant proche des estimations, allégeant ainsi un peu la pression exercée sur le gouvernement de Mariano Rajoy pour qu'il sollicite une aide extérieure.
Madrid a précisé qu'environ 40 milliards d'euros proviendraient de l'aide européenne prévue depuis juin, les banques concernées étant en mesure de lever 19 milliards par leurs propres moyens.
Plus tard dans la journée, le taux de chômage de la zone euro sera publié, ainsi que les indices PMI d'activité manufacturière de septembre pour la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la zone euro, les Etats-Unis et la Chine.
Les investisseurs attendront également la publication aux Etats-Unis de l'indice ISM d'activité dans l'industrie pour le mois de septembre, ainsi que les dépenses de construction pour le mois d'août.
Par ailleurs, le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA) dévoilera les chiffres du marché automobile en France pour le mois de septembre.