Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture légèrement pessimiste ce mercredi, les opérateurs débouclant leurs positions pour assurer leurs gains de la veille dans l'attente d'une série de résultats économiques américains de fin de journée.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.12%.
Les bourses étaient remontées apprès qu'il ait été signalé hier que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant ainssi fin à quatre mois de vaches maigres.
Mais la confiance des investisseurs demeurait fragilisée par une étude montrant que l'économie de la zone euro avait reculé de 0.2% d'avril à juin.
L'atmosphère continuait toutefois d'être modérément ragaillardie par l'idée selon laquelle les récentes preuves de ralentissement économique pousseraient les principales banques centrales de la planète à procéder à des accomodements afin de donner un coup de fouet à la relance.
Les producteurs de tabac étaient attendus sur le devant de la scène, après que la plus haute cour d'Australie ait établi une nouvelle jurisprudennce mondiale en début de matinée en rejetant leur argument selon lesquelles les lois fédérales les forçant à adopter des emballages neutres étaient anticonstitutionnelles.
Parmi celles impliquées, on pouvait noter les poids lourds British American Tobacco, Britain's Imperial Tobacco, Philip Morris et Japan Tobacco.
La finance était également sous les feux de la rampe, Lloyd Blankfein, directeur général de Goldman Sachs, ainsi que d'autres représentants de cette dernière, ayant obtenu le non-lieu dans un procès intenté par les actionnaires, les accusant de pratiques nuisibles dans le domaine des hypothèques, et d'avoir quitté le programme de sauvetage accordé par l'état en avance afin de pouvoir augmenter leurs gratifications, l'action gagnant du coup 0.19% après la clôture des échanges.
Le fonds de rachat américain Carlyle Group n'était pas en reste, déclarant avoir acquis 13.5% de Meinian Onehealth Healthcare Group, pariant ainsi sur l'augmentation des dépenses de santé préventives au sein de la classe moyenne et des personnes âgées de la Chine, en forte progression.
Dans le secteur énergétique, le fabricant de biodiesel Renewable Energy Group était aussi surveillé, ayant enregistré des bénéfices au second trimestre alors qu'il avait subi des pertes l'année dernière, grâce à la poursuite de l'augmentation de sa production.
Il était aussi à noter que BP Capital aurait vendu toutes ses parts de Chesapeake Energy, second fournisseur de gaz américain, et dans le poids lourd des hydrocarbures qu'est BP, d'après les informations divulguées hier après-midi par les autorités boursières américaines.
Kraft Foods n'était pas non plus à négliger, son conseil d'administration ayant donné hier son feu vert à l'accès de ses actionnaires à sa chaîne d'apiceries d'Amérique du Nord, qui devrait avoir lieu le premier octobre.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.34%, le CAC 40 français de 0.27%, le DAX 30 allemand de 0.43% et le FTSE 100 britannique de 0.4%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait plongé de 1.18%, et le Nikkei 225 japonais laissé échapper 0.05%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur évolution des prix à la consommation, leur production industrielle, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.12%.
Les bourses étaient remontées apprès qu'il ait été signalé hier que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant ainssi fin à quatre mois de vaches maigres.
Mais la confiance des investisseurs demeurait fragilisée par une étude montrant que l'économie de la zone euro avait reculé de 0.2% d'avril à juin.
L'atmosphère continuait toutefois d'être modérément ragaillardie par l'idée selon laquelle les récentes preuves de ralentissement économique pousseraient les principales banques centrales de la planète à procéder à des accomodements afin de donner un coup de fouet à la relance.
Les producteurs de tabac étaient attendus sur le devant de la scène, après que la plus haute cour d'Australie ait établi une nouvelle jurisprudennce mondiale en début de matinée en rejetant leur argument selon lesquelles les lois fédérales les forçant à adopter des emballages neutres étaient anticonstitutionnelles.
Parmi celles impliquées, on pouvait noter les poids lourds British American Tobacco, Britain's Imperial Tobacco, Philip Morris et Japan Tobacco.
La finance était également sous les feux de la rampe, Lloyd Blankfein, directeur général de Goldman Sachs, ainsi que d'autres représentants de cette dernière, ayant obtenu le non-lieu dans un procès intenté par les actionnaires, les accusant de pratiques nuisibles dans le domaine des hypothèques, et d'avoir quitté le programme de sauvetage accordé par l'état en avance afin de pouvoir augmenter leurs gratifications, l'action gagnant du coup 0.19% après la clôture des échanges.
Le fonds de rachat américain Carlyle Group n'était pas en reste, déclarant avoir acquis 13.5% de Meinian Onehealth Healthcare Group, pariant ainsi sur l'augmentation des dépenses de santé préventives au sein de la classe moyenne et des personnes âgées de la Chine, en forte progression.
Dans le secteur énergétique, le fabricant de biodiesel Renewable Energy Group était aussi surveillé, ayant enregistré des bénéfices au second trimestre alors qu'il avait subi des pertes l'année dernière, grâce à la poursuite de l'augmentation de sa production.
Il était aussi à noter que BP Capital aurait vendu toutes ses parts de Chesapeake Energy, second fournisseur de gaz américain, et dans le poids lourd des hydrocarbures qu'est BP, d'après les informations divulguées hier après-midi par les autorités boursières américaines.
Kraft Foods n'était pas non plus à négliger, son conseil d'administration ayant donné hier son feu vert à l'accès de ses actionnaires à sa chaîne d'apiceries d'Amérique du Nord, qui devrait avoir lieu le premier octobre.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.34%, le CAC 40 français de 0.27%, le DAX 30 allemand de 0.43% et le FTSE 100 britannique de 0.4%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait plongé de 1.18%, et le Nikkei 225 japonais laissé échapper 0.05%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur évolution des prix à la consommation, leur production industrielle, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.