Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce jeudi, avec l'espoir de nouveaux accomodements de la part de la Banque Centrale Européenne, la Réserve Fédérale s'étant hier abstenue de toute initiative immédiate.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.41%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.4%.
L'attente d'une relance du programme d'achats de bons du trésor par la BCE afin d'abaisser les taux des dettes espagnoles et italiennnes s'était intensifiée après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à préserver la monnaie unique par tous les moyens nécessaires.
Mais la prudence restait de mise, dans la crainte que des décisions décevantes n'entraînent une plongée générale.
Son homologue américaine s'est en tout cas retenue de mettre en place une troisième série d'assouplissements quantitatifs lors de sa réunion de mercredi.
Elle a toutefois fait savoir qu'elle "surveillerait la situation économique de près" et "fournirait de nouvelles aides pour renforcer la relance et prolonger les améliorations du marché du travail".
Le groupe agricole Monsanto était attendu sur le devant de la scène, après s'être fait payer 1 milliard de dommages et intérêts par DuPont et DuPont Pioneer, sa branche spécialisée dans les semences, dans le cadre d'un procès en violation de brevet, lui faisant gagner 1.48% après la fermeture.
L'American International Group a pris 0.52% dans le même temps, après que le Wall Street Journal ait rapporté qu'il cherchait à racheter une grande partie de ses parts au gouvernement américain, lequel pourrait voir sa participation passer sous les 50% d'ici l'automne.
News Corp, l'empire médiatique de Rupert Murdoch, se trouvait aussi sous les feux de l'actualité, les autorités l'ayant autorisé à acquérir Consolidated Media Holdings pour 2 milliards d'AUD, ce qui pourrait lui permettre de raffermir son emprise sur la télévision payante australienne.
Parmi les proclamations de performances, le site de tests par Internet Yelp enregistrait des recettes dépassant les prédictions des experts pour le second semestre, sa base d'utilisateurs ayant bénéficié de sa pénétration dans de nouvelles régions, faisant s'envoler ses rentrées de 67% pour les amener à 32.7 millions d'USD, et lui faisant faire un bond de 14.77% après la cloche.
Tout n'était cependant pas rose, le japonais Sony dégringolant de 3.13% suite à l'aveu de 77% d'effondrement de ses profits opérationnels, se situant à 6.28 milliards de JPY pour la même période.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter General Motors, DirecTV et Kellogg, dont les recettes seront communiquées avant l'ouverture, tandis que Kraft, AIG et LinkedIn feront de même après celle de clôture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.52%, le CAC 40 français de 0.41%, le DAX 30 allemand de 0.65% et le FTSE 100 britannique de 0.45%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était rétracté de 0.66%, mais le Nikkei 225 japonais avait arraché 0.13%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage ainsi que le volume des commandes auprès des usines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.41%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.4%.
L'attente d'une relance du programme d'achats de bons du trésor par la BCE afin d'abaisser les taux des dettes espagnoles et italiennnes s'était intensifiée après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à préserver la monnaie unique par tous les moyens nécessaires.
Mais la prudence restait de mise, dans la crainte que des décisions décevantes n'entraînent une plongée générale.
Son homologue américaine s'est en tout cas retenue de mettre en place une troisième série d'assouplissements quantitatifs lors de sa réunion de mercredi.
Elle a toutefois fait savoir qu'elle "surveillerait la situation économique de près" et "fournirait de nouvelles aides pour renforcer la relance et prolonger les améliorations du marché du travail".
Le groupe agricole Monsanto était attendu sur le devant de la scène, après s'être fait payer 1 milliard de dommages et intérêts par DuPont et DuPont Pioneer, sa branche spécialisée dans les semences, dans le cadre d'un procès en violation de brevet, lui faisant gagner 1.48% après la fermeture.
L'American International Group a pris 0.52% dans le même temps, après que le Wall Street Journal ait rapporté qu'il cherchait à racheter une grande partie de ses parts au gouvernement américain, lequel pourrait voir sa participation passer sous les 50% d'ici l'automne.
News Corp, l'empire médiatique de Rupert Murdoch, se trouvait aussi sous les feux de l'actualité, les autorités l'ayant autorisé à acquérir Consolidated Media Holdings pour 2 milliards d'AUD, ce qui pourrait lui permettre de raffermir son emprise sur la télévision payante australienne.
Parmi les proclamations de performances, le site de tests par Internet Yelp enregistrait des recettes dépassant les prédictions des experts pour le second semestre, sa base d'utilisateurs ayant bénéficié de sa pénétration dans de nouvelles régions, faisant s'envoler ses rentrées de 67% pour les amener à 32.7 millions d'USD, et lui faisant faire un bond de 14.77% après la cloche.
Tout n'était cependant pas rose, le japonais Sony dégringolant de 3.13% suite à l'aveu de 77% d'effondrement de ses profits opérationnels, se situant à 6.28 milliards de JPY pour la même période.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter General Motors, DirecTV et Kellogg, dont les recettes seront communiquées avant l'ouverture, tandis que Kraft, AIG et LinkedIn feront de même après celle de clôture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.52%, le CAC 40 français de 0.41%, le DAX 30 allemand de 0.65% et le FTSE 100 britannique de 0.45%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était rétracté de 0.66%, mais le Nikkei 225 japonais avait arraché 0.13%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage ainsi que le volume des commandes auprès des usines.