Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture morose ce mardi après-midi, reprenant leur souffle suite au bond d'hier, dans l'expectative de performances devant être dévoilées avant l'ouverture des hostilités, ainsi que d'informations cruciales sur l'immobilier du pays.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
Le moral était toutefois revenu hier après que les dirigeants des groupes parlementaires américains aient déclaré que leur rencontre de vendredi avec le président Barack Obama destinée à éviter le mur fiscal, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet d'ici le premier janvier avait été "constructive".
Certains craignent que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Le moral avait perdu des plumes ce matin, après que l'agence de notation Moody's ait rabaissé dans la soirée son appréciation de la France d'un cran depuis Aaa vers Aa1 et l'ait mise sous une surveillance négative, invoquant une dégradation des perspectives de croissance de la seconde économie régionale.
Mais cette annonce survenait après la manoeuvre similaire opérée il y a plusieurs mois par sa collègue Standard & Poor's, le troisième larron Fitch étant le dernier à toujours lui accorder un triple A.
Les yeux étaient désormais braqués sur les ministres des finances de l'Eurogroupe, qui doivent en effet décider aujourd'hui à Bruxelles de l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
L'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard s'effondrait pour sa part de 8% en pré-ouverture suite à l'aveu de seulement 29.96 milliards d'USD de rentrées pour le quatrième trimestre fiscal, une déception au vu des 30.5 milliards espérés.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Best Buy, Campbell Soup and Salesforce.com, dont les proclamations sont attendues en cours de journée.
Il ne fallait pas négliger les bonnes nouvelles, Research in Motion, le fabricant du Blackberry, bondissant de 4.8% après que Jefferies ait remonté son appréciation, incitant à ne pas s'en défaire.
Green Mountain Coffee Roasters engrangeait 3.2% de son côté après avoir nommé Brian Kelley, ancien haut responsable de Coca Cola, au poste de président, directeur général et membre du conseil d'administration à compter du 3 décembre.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés et celui des lancements de chantiers, tandis que Ben Bernanke, président de leur Réserve Fédérale, prendra la parole lors d'un symposium à New York.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement déprimées, en attendant les pourparlers portant sur un possible déblocage de la bouée de sauvetage attendue depuis longtemps par Athènes.
L'EURO STOXX 50 chutait de 0.4%, le CAC 40 français de 0.4% également, le DAX 30 allemand se maintenait et le FTSE 100 britannique laissait échapper 0.25%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 0.25%, et le Nikkei 225 japonais de 0.1%.
Tokyo avait encaissé un revers après que la Banque du Japon n'ait procédé à aucune variation de sa politique monétaire pour ce mois-ci lors de sa prise de cap à l'aube.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
Le moral était toutefois revenu hier après que les dirigeants des groupes parlementaires américains aient déclaré que leur rencontre de vendredi avec le président Barack Obama destinée à éviter le mur fiscal, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet d'ici le premier janvier avait été "constructive".
Certains craignent que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Le moral avait perdu des plumes ce matin, après que l'agence de notation Moody's ait rabaissé dans la soirée son appréciation de la France d'un cran depuis Aaa vers Aa1 et l'ait mise sous une surveillance négative, invoquant une dégradation des perspectives de croissance de la seconde économie régionale.
Mais cette annonce survenait après la manoeuvre similaire opérée il y a plusieurs mois par sa collègue Standard & Poor's, le troisième larron Fitch étant le dernier à toujours lui accorder un triple A.
Les yeux étaient désormais braqués sur les ministres des finances de l'Eurogroupe, qui doivent en effet décider aujourd'hui à Bruxelles de l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
L'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard s'effondrait pour sa part de 8% en pré-ouverture suite à l'aveu de seulement 29.96 milliards d'USD de rentrées pour le quatrième trimestre fiscal, une déception au vu des 30.5 milliards espérés.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Best Buy, Campbell Soup and Salesforce.com, dont les proclamations sont attendues en cours de journée.
Il ne fallait pas négliger les bonnes nouvelles, Research in Motion, le fabricant du Blackberry, bondissant de 4.8% après que Jefferies ait remonté son appréciation, incitant à ne pas s'en défaire.
Green Mountain Coffee Roasters engrangeait 3.2% de son côté après avoir nommé Brian Kelley, ancien haut responsable de Coca Cola, au poste de président, directeur général et membre du conseil d'administration à compter du 3 décembre.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés et celui des lancements de chantiers, tandis que Ben Bernanke, président de leur Réserve Fédérale, prendra la parole lors d'un symposium à New York.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement déprimées, en attendant les pourparlers portant sur un possible déblocage de la bouée de sauvetage attendue depuis longtemps par Athènes.
L'EURO STOXX 50 chutait de 0.4%, le CAC 40 français de 0.4% également, le DAX 30 allemand se maintenait et le FTSE 100 britannique laissait échapper 0.25%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 0.25%, et le Nikkei 225 japonais de 0.1%.
Tokyo avait encaissé un revers après que la Banque du Japon n'ait procédé à aucune variation de sa politique monétaire pour ce mois-ci lors de sa prise de cap à l'aube.