Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en berne ce lundi, la confiance se trouvant mise à mal par l'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, et par de sombres perspectives de croissance, à l'orée de la saison des résultats du second trimestre.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.16%.
L'atmosphère demeurait tendue, le taux des obligations décennales espagnoles s'étant pour sa part situé à 7.11% ce matin, repassant au-dessus du seuil critique des 7% généralement considéré intenable sur le long terme, dans l'attente d'une rencontre des chargés des finances du bloc euro prévue en cours de journée.
Celle-ci devrait porter sur le plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.
L'optimisme avait flanché après que des chiffres officiels aient montré vendredi que l'économie des Etats-Unis n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés, échouant pour le troisième mois consécutif à atteindre le seuil des 100 000 postes.
D'autres, émanant des autorités chinoises, avaient souligné en début de journée que l'inflation des prix à la consommation du pays s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ranimant l'angoisse d'un coup de frein plus important que pressenti de la croissance de la seconde économie au monde.
L'aluminier Alcoa était sur le devant de la scène, devant donner le coup d'envoi de la saison des résultats avec ses performances du second trimestre après la clôture.
Les constructeurs aéronautiques étaient aussi attendus au tournant, Boeing devant entamer le salon aérien européen de Farnborough au Royaume-Uni, avec des commandes d'au moins deux compagnies de location.
Celles-ci devraient, d'après le Wall Street Journal, lui permettre de consolider son avance de l'année face à Airbus.
Les valeurs technologiques n'étaient pas à négliger, après que Samsung Electronics ait remporté une bataille face à Apple dans la guerre des brevets, un juge du Royaume-Uni ayant estimé que sa tablette Galaxy n'était pas assez "à la mode" pour que son apparence soit confondue avec celle de l'iPad, laissant la firme à la pomme grignoter 0.02% en pré-ouverture.
Du côté des sciences de la vie, il se disait que Celgene serait une des deux entreprises enchérissant pour Human Genome Sciences, qui cherche une alternative à l'offre hostile du mastodonte pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait aussi noter PepsiCo, qui chercherait à contrer sa dépedance envers les boissons sucrées en mettant en vente du yaourt sur les marchés américains du nord-est et de la façade Atlantique.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.41%, le CAC 40 français arrachant toutefois 0.18%, tandis que le DAX 30 allemand laisssait échapper 0.01% et le FTSE 100 britannique 0.27%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait plongé de 1.7%, et le Nikkei 225 japonais de 1.4%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait pour sa part témoigner cet après-midi à Bruxelles devant le parlement européen.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.16%.
L'atmosphère demeurait tendue, le taux des obligations décennales espagnoles s'étant pour sa part situé à 7.11% ce matin, repassant au-dessus du seuil critique des 7% généralement considéré intenable sur le long terme, dans l'attente d'une rencontre des chargés des finances du bloc euro prévue en cours de journée.
Celle-ci devrait porter sur le plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.
L'optimisme avait flanché après que des chiffres officiels aient montré vendredi que l'économie des Etats-Unis n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés, échouant pour le troisième mois consécutif à atteindre le seuil des 100 000 postes.
D'autres, émanant des autorités chinoises, avaient souligné en début de journée que l'inflation des prix à la consommation du pays s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ranimant l'angoisse d'un coup de frein plus important que pressenti de la croissance de la seconde économie au monde.
L'aluminier Alcoa était sur le devant de la scène, devant donner le coup d'envoi de la saison des résultats avec ses performances du second trimestre après la clôture.
Les constructeurs aéronautiques étaient aussi attendus au tournant, Boeing devant entamer le salon aérien européen de Farnborough au Royaume-Uni, avec des commandes d'au moins deux compagnies de location.
Celles-ci devraient, d'après le Wall Street Journal, lui permettre de consolider son avance de l'année face à Airbus.
Les valeurs technologiques n'étaient pas à négliger, après que Samsung Electronics ait remporté une bataille face à Apple dans la guerre des brevets, un juge du Royaume-Uni ayant estimé que sa tablette Galaxy n'était pas assez "à la mode" pour que son apparence soit confondue avec celle de l'iPad, laissant la firme à la pomme grignoter 0.02% en pré-ouverture.
Du côté des sciences de la vie, il se disait que Celgene serait une des deux entreprises enchérissant pour Human Genome Sciences, qui cherche une alternative à l'offre hostile du mastodonte pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait aussi noter PepsiCo, qui chercherait à contrer sa dépedance envers les boissons sucrées en mettant en vente du yaourt sur les marchés américains du nord-est et de la façade Atlantique.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.41%, le CAC 40 français arrachant toutefois 0.18%, tandis que le DAX 30 allemand laisssait échapper 0.01% et le FTSE 100 britannique 0.27%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait plongé de 1.7%, et le Nikkei 225 japonais de 1.4%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait pour sa part témoigner cet après-midi à Bruxelles devant le parlement européen.