Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce mercredi après-midi, la tendance à favoriser les valeurs audacieuses étant mise à mal par le manque de volonté de transiger pour éviter une catastrophe budgétaire américaine.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.é%.
La menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier se situe en effet désormais au premier plan.
Des chefs de grandes entreprises, et notamment Lloyds Blankfein, directeur général de Goldman Sachs, rencontreront le président Barack Obama en fin de journée afin d'évoquer le sujet.
John Boehner, président de la chambre des députés, se réunira aussi avec lui et certains de ses homologues.
Harry Reid, à la tête du groupe majoritaire au sénat, n'a pas rassuré les opérateurs en déclarant hier que "peu d'avancées" avaient eu lieu dans le but de sortir de l'impasse avant la fin de l'année.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
La dette grecque était toujours d'actualité, l'atmosphère s'était pourtant éclaircie après que les bailleurs de fonds internationaux aient revu les objectifs visant à sa réduction à la baisse de 40 milliards d'euros, afin qu'elle ne représente plus que 124% du produit intérieur brut national d'ici 2020.
Mais le manque de détails sur la manière dont elle se servira pour ce faire n'a pas incité à une confiance durable.
Sous les feux de la rampe, on pouvait trouver Green Mountain Coffee Roasters, s'envolant de 24% en pré-ouverture après avoir revendiqué des rentrées supérieures aux espérances pour le quatrième trimestre fiscal, achevé le 29 septembre.
Le torréfacteur a du coup revu à la hausse ses objectifs annuels.
Costco, spécialiste de la revente en gros, n'était pas en reste avec 4.6% après avoir déclaré vouloir payer 3 milliards d'USD à ses actionnaires en dividendes exceptionnels.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer dans l'après-midi les chiffres des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, après quoi la Réserve Fédérale publiera son livre beige.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'inquiétude étant encore à l'ordre du jour en raison du flou dans les perspectives grecques et américaines.
L'EURO STOXX 50 chutait de 0.5%, le CAC 40 français de 0.3%, le DAX 30 allemand de 0.2% et le FTSE 100 britannique de 0.25%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait chuté de 0.6%, et le Nikkei 225 japonais de 1.2%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.é%.
La menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier se situe en effet désormais au premier plan.
Des chefs de grandes entreprises, et notamment Lloyds Blankfein, directeur général de Goldman Sachs, rencontreront le président Barack Obama en fin de journée afin d'évoquer le sujet.
John Boehner, président de la chambre des députés, se réunira aussi avec lui et certains de ses homologues.
Harry Reid, à la tête du groupe majoritaire au sénat, n'a pas rassuré les opérateurs en déclarant hier que "peu d'avancées" avaient eu lieu dans le but de sortir de l'impasse avant la fin de l'année.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
La dette grecque était toujours d'actualité, l'atmosphère s'était pourtant éclaircie après que les bailleurs de fonds internationaux aient revu les objectifs visant à sa réduction à la baisse de 40 milliards d'euros, afin qu'elle ne représente plus que 124% du produit intérieur brut national d'ici 2020.
Mais le manque de détails sur la manière dont elle se servira pour ce faire n'a pas incité à une confiance durable.
Sous les feux de la rampe, on pouvait trouver Green Mountain Coffee Roasters, s'envolant de 24% en pré-ouverture après avoir revendiqué des rentrées supérieures aux espérances pour le quatrième trimestre fiscal, achevé le 29 septembre.
Le torréfacteur a du coup revu à la hausse ses objectifs annuels.
Costco, spécialiste de la revente en gros, n'était pas en reste avec 4.6% après avoir déclaré vouloir payer 3 milliards d'USD à ses actionnaires en dividendes exceptionnels.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer dans l'après-midi les chiffres des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, après quoi la Réserve Fédérale publiera son livre beige.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'inquiétude étant encore à l'ordre du jour en raison du flou dans les perspectives grecques et américaines.
L'EURO STOXX 50 chutait de 0.5%, le CAC 40 français de 0.3%, le DAX 30 allemand de 0.2% et le FTSE 100 britannique de 0.25%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait chuté de 0.6%, et le Nikkei 225 japonais de 1.2%.