Investing.com - Les places d'Asie ont poursuivi leur ascension ce jeudi matin, mais celle-ci restait limitée, les investisseurs étant moins enclins à l'encourager, l'attention rivée sur le débat des élus américains concernant le plafond d'endettement.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong hésitait entre légers gains et pertes minimes%, et l'ASX/200 australien engrangeait 0.7%.
Toyo et la Chine demeuraient sans activité pour cause de congés prenant fin demain.
Le moral était pourtant revenu hier après que le parlement des Etats-Unis ait ratifié une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession.
Mais la nervosité restait toutefois présente à long terme, avec à l'horizon de février les tractations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays.
Hong Kong se maintenait donc aux abords de son plafond des 19 mois écoulés, les yeux résolument rivés sur l'économie des Etats-Unis.
L'amélioration de l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire chinois établi par le bureau national des statistiques depuis 55.6 vers 56.1 pour décembre n'a d'ailleurs guère fait de vagues.
Les poids lourds des assurances progressaientt de nouveau, China Life Insurance et le Ping An Insurance Group engrangeant drespectivement 2 et 2.3%.
Les piliers de l'exportation nationale n'étaient pas en reste, Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail s'élevant de 5% et Belle International Holdings de 3.7%.
Sydney caracolait pour sa part à son plus haut niveau depuis mai 2011, encouragée par ses matières premières.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se sont ainsi consolidés de 2.4 et 0.8%, surpassés par Newcrest Mining et le Fortescue Metals Group avec 3.1 et 2.5%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, laissant échapper une partie de l'avancée dûe au soulagement d'avoir échappé à la catastrophe budgétaire qui menaçait.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.3%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.25%.
L'Allemagne comptait dévoiler aujourd'hui l'évolution de son taux de chômage, l'Espagne lui emboîtant ensuite le pas.
Les Etats-Unis verront de leur côté l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendre dans l'après-midi son rapport sur la masse salariale non agricole, accompagné du rapport hebdomadaire des autorités sur les nouvelles inscriptions au chômage, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de sa politique monétaire.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong hésitait entre légers gains et pertes minimes%, et l'ASX/200 australien engrangeait 0.7%.
Toyo et la Chine demeuraient sans activité pour cause de congés prenant fin demain.
Le moral était pourtant revenu hier après que le parlement des Etats-Unis ait ratifié une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession.
Mais la nervosité restait toutefois présente à long terme, avec à l'horizon de février les tractations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays.
Hong Kong se maintenait donc aux abords de son plafond des 19 mois écoulés, les yeux résolument rivés sur l'économie des Etats-Unis.
L'amélioration de l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire chinois établi par le bureau national des statistiques depuis 55.6 vers 56.1 pour décembre n'a d'ailleurs guère fait de vagues.
Les poids lourds des assurances progressaientt de nouveau, China Life Insurance et le Ping An Insurance Group engrangeant drespectivement 2 et 2.3%.
Les piliers de l'exportation nationale n'étaient pas en reste, Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail s'élevant de 5% et Belle International Holdings de 3.7%.
Sydney caracolait pour sa part à son plus haut niveau depuis mai 2011, encouragée par ses matières premières.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se sont ainsi consolidés de 2.4 et 0.8%, surpassés par Newcrest Mining et le Fortescue Metals Group avec 3.1 et 2.5%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, laissant échapper une partie de l'avancée dûe au soulagement d'avoir échappé à la catastrophe budgétaire qui menaçait.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.3%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.25%.
L'Allemagne comptait dévoiler aujourd'hui l'évolution de son taux de chômage, l'Espagne lui emboîtant ensuite le pas.
Les Etats-Unis verront de leur côté l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendre dans l'après-midi son rapport sur la masse salariale non agricole, accompagné du rapport hebdomadaire des autorités sur les nouvelles inscriptions au chômage, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de sa politique monétaire.