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Un ETF idéal pour les investisseurs novices avec un petit capital

Publié le 05/01/2021 15:16

Alors que nous nous dirigeons vers 2021, un grand nombre de personnes se demandent si elles peuvent commencer à investir à long terme avec une petite épargne. La réponse est oui.

Les nouveaux ou jeunes investisseurs qui souhaitent plonger dans le monde de l'investissement pourraient envisager d'acheter un fonds négocié en bourse (ETF).

Le temps, c'est de l'argent

Nous pensons que le temps sur le marché est l'un des éléments essentiels d'un investissement réussi pour les investisseurs de détail.

Les concepts de temps et d'intérêt composé vont de pair. Un investissement a besoin de temps pour se développer, et lorsqu'on lui donne suffisamment de temps, même des économies modestes sur les marchés des actions peuvent représenter des montants substantiels.

Nous aimerions rappeler aux lecteurs la règle de 72, qui calcule à quelle vitesse un investissement pourrait doubler de valeur avec l'impact de l'intérêt composé. La règle suggère de prendre le nombre 72 et de le diviser par le rendement annuel (en pourcentage). La réponse à cette équation vous donne le temps nécessaire pour que l'investissement double.

Supposons qu'un investissement rapporte 10 % par an. Ainsi, 72/10 = 7,2. Il faudrait environ sept ans pour que la valeur de l'investissement double.

En 2020, l'indice S&P 500, qui mesure la performance boursière des 500 plus grandes sociétés cotées en bourse aux États-Unis, a enregistré un rendement de plus de 16 %. Nous ne savons pas quels seront les rendements du S&P en 2021, l'indice pourrait même baisser.

Toutefois, lorsque nous examinons les rendements du S&P au fil des décennies, nous pouvons constater que le nombre d'années positives dépasse de loin les années négatives. Il serait correct de dire que les rendements annualisés au fil du temps se situent autour de 7 à 10 % pour l'indice de référence. Les investisseurs qui ont également investi les dividendes auraient vu leur capital augmenter plus rapidement.

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S&P 500 mensuel

Par conséquent, nous aimerions aujourd'hui introduire un ETF qui suit le S&P 500, à savoir le SPDR S&P 500 (NYSE:SPY). Un ETF, qui suit généralement un indice, est un panier d'actions, d'obligations, de matières premières, de devises ou d'une combinaison de ces actifs.

Les différents axes proposés par les ETF permettent de trouver relativement facilement un fonds correspondant aux objectifs d'investissement. Le SPY pourrait être un premier fonds approprié pour de nombreux nouveaux investisseurs qui prévoient de placer un petit montant de capital sur les marchés des actions.

SPDR S&P 500 ETF

  • Prix actuel : 368,79$
  • Fourchette de 52 semaines : 218,26 $ - 378,4$
  • Rendement des dividendes : 1,5%
  • Frais : 0,0945% par an ou moins de 1 $ sur un investissement de 1 000

Les entreprises de l'indice S&P 500 représentent environ 80 % de la valeur globale du marché boursier américain. Il s'agit d'un indice pondéré en fonction de la capitalisation boursière. Ainsi, les grandes entreprises constituent une part plus importante de sa valeur et, par conséquent, influencent la performance de l'indice. Avec une capitalisation boursière de plus de 2,26 billions de dollars, Apple (NASDAQ:NASDAQ:AAPL) est en tête de la liste du S&P 500.

ETF SPY

Il convient de noter que les investisseurs tiennent généralement les grandes capitalisations en haute estime. En d'autres termes, même lorsque ces actions sont soumises à des pressions de temps à autre, elles sont généralement parmi les premières à se remettre des baisses du marché. L'année 2020 pourrait bien témoigner de ce point de vue.

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Dans le cadre d'un portefeuille diversifié, de nombreux investisseurs souhaitent une certaine exposition au S&P 500, c'est-à-dire à la rentabilité et à la croissance des entreprises publiques américaines. C'est pourquoi ils investissent dans le SPDR S&P 500 ETF, qui a le plus grand volume de transactions quotidiennes parmi les ETF. Il a également été le premier ETF coté aux États-Unis lorsqu'il a commencé à être négocié en janvier 1993. Les actifs sous gestion s'élèvent à environ 330 milliards de dollars.

Apple, Microsoft Corporation (NASDAQ:MSFT), Amazon.com Inc (NASDAQ:AMZN), Facebook Inc (NASDAQ:FB) et Tesla Inc (NASDAQ:TSLA), qui ont rejoint l'indice S&P 500 en décembre, sont les cinq plus grands noms de l'ETF, qui représentent près de 22 % de la liste du SPY.

Le SPY détient 505 actions (et non 500) car plusieurs sociétés ont plusieurs catégories d'actions. Citons par exemple Alphabet Inc Class A (NASDAQ:GOOGL) et Berkshire Hathaway Inc (NYSE:BRKa).

Comme l'indice S&P 500, le SPY a enregistré un rendement de 16 % au cours de l'année écoulée. De nombreuses actions sont proches de records. Les ratios C/B et P/E de 24,74 et 3,98, respectivement, suggèrent une valorisation du côté des valeurs chères.

À la mi-janvier, une nouvelle saison des bénéfices commencera aux États-Unis. Les sociétés financières sont généralement les premières à annoncer des mesures trimestrielles, suivies par les secteurs technologiques et autres. Il n'est peut-être pas faux de supposer qu'une volatilité accrue et même des prises de bénéfices à court terme pourraient toucher plusieurs des noms ayant la plus forte pondération dans SPY.

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Cependant, un tel recul offrirait également une bonne possibilité d'achat à la baisse pour les investisseurs de détail ayant une perspective à long terme.

Derniers commentaires

Merci
Mise au point - Troisième partie   Si je dis 1+1=2 est vrai vous dites tous faux car pour vous 2+3=5 est vrai. Mais le sujet est 1+1 et 2+3 est hors sujet. Comprenne qui pourra.   Au fait, il est aisé d'utiliser le Forex pour compenser les taux de change dans un portefeuille international.   Franchement déçu ceci est mon dernier apport sur investing.com
Mise au point - Deuxième partie   Par effet moutonnier, par manque de connaissance, manque de compréhension ou n'ayant pas lu le sujet TOUS les autres commentaires ne parlent que des ETF européens. Pour que dans l'Union européenne on ait le droit d'acheter des ETF américains il faut que les émetteurs produisent un document, ce qu'ils ne font pas.   En tant que citoyen de l'Union européenne essayez donc d'acheter un ETF américain. Si vous y parvenez c'est que ou vous avez fait une fausse déclaration ou que la plate-forme utilisée n'a pas les moyens de payer ses développeurs pour vous l'interdire et vous serez quand même punissable par la loi.
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ???
Commentaire inutile, bien dans l’air du temps, à moins que vous n’ayez quelque chose de simple à proposer.
Mise au point - Première partie   Ayant simplement voulu apporter une information complémentaire à l'article j'ai écrit "Les européens n’ont pas le droit d’acheter directement des ETF genre SPY ou S&P500. Il faut passer par les options, ce qui rend l’exercice beaucoup plus difficile."   On me répond "C'est faux, je dirai même qu'il y en a qui sont éligible PEA.." Affirmation péremptoire. Non, ce n'est pas faux car les ETF éligibles au PEA ne sont pas des ETF américains mais des ETF européens. Oui on peut effectivement acheter des ETF répliquant le S&P500 mais ce sont des ETF européens. Interrogez-vous sur le nombre d'actions américaines dans un ETF européens répliquant par exemple le S&P500. Pour entrer dans un PEA le nombre est pathétique.
Beaucoup d'erreurs dans ces commentaires. Il y a parfaitement moyen d'acheter un ETF répliquant le S&P500 en Europe (Paris, Amsterdam, Francfort, Milan...) Un ETF "synthétique" n'est pas non plus la même chose qu'un ETF "physique": il y a un risque de contrepartie qui  n'est pas rémunéré, par définition. Et attention surtout: acheter le SP500, c'est investir en dollars US qui cotaient à 1,12 € fin 2019 et 1,23€ fin 2020, de sorte que si le S&P 500 progresse à New York, en USD, il peut parfaitement reculer en euros... Le conseil donné dans l'article n'est donc tout-à-fait pertinent que pour un investisseur américain dépensant en dollars. Il doit être nuancé pour un épargnant européen qui vit en euros. Personnellement, mais cela n'engage que moi, je préfèrerais, pour le long terme et dans la même perspective d'un petit montant à investir en actions, un ETF "physique" suivant un indice mondial (avec un risque devise si l'euro grimpe) ou le DJ EuroStoxx 600, par exemple.
Il existe des ETFs PEA-compatibles répliquant le SP500 et couverts contre le taux de change, dits hedgés. Mais il est démontré que cela a peu d’intérêt sur le LT
Les europeens n’ont pas le droit d’acheter directement des ETF genre SPY ou S&P500. Il faut passer par les options, ce qui rend l’exercise beaucoup plus ddifficile.
C'est faux, je dirai meme qu'il y en a qui sont éligible PEA. Ils sont synthétique mais cela ne change à peu près rien au rendement. Pour exemple, Amundi PEA ETF S&P UCITS. Il y en a même qui réplique le Nasdaq (PEA), celui que je connais à un levier de 2 j' ignore s'il y en a sans.
c'est ce que je pensais aussi, mais je voies que cet ETF SPY est côté sur le LSE et Xetra, donc l'accès est ok, c'est sur en décalé par rapport à l'ouverture us seul bémol mais à LT moins impactant.
Je parle par expérience du SPY et du S&P500 et vous me dites que j’ai faux en citant d’autres produits. Vivez dans le monde réel et achetez donc SPY et SPX. Si je dis 1+1=2 vous me dites faux car 2+3=5.
Merci pour votre article, je suis en effet débutant dans ce domaine.Le rendement annuel se calcul à une date donnée et par sur une année, j ai du mal à comprendre du coup où vous voulez en venir
Merci pour votre article, je suis en effet débutant dans ce domaine.Le rendement annuel se calcul à une date donnée et par sur une année, j ai du mal à comprendre du coup où vous voulez en venir
Il y aurait bcp d’heureux en bourse en se contentant de suivre les recommandations de cet article
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