Le PIB s’est contracté de 0,1% au T4, sous le coup d’une chute des dépenses militaires du gouvernement fédéral. La décélération n’est qu’apparente, ménages et entreprises ayant accéléré leurs dépenses. Le début de 2013 devrait être difficile, l’austérité pesant sur l’activité. Par la suite, une reprise de l’investissement et des embauches devrait soutenir la croissance
Alexandra ESTIOT