Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme pour sa troisième journée d'affilée ce mardi, les investisseurs restant prudents à l'approche du sommet crucial de l'Union Européenne de demain, tout en restant tirées vers le haut par les gros besoins asiatiques.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 659.05 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.41%.
Ils avaient précédement culminé à 1 664.65 USD, leur meilleur cours depuis le 19 octobre, avec 0.68% d'augmentation.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et ses collègues d'Europe se rencontreront ce mercredi à Bruxelles pour leur seconde réunion en quatre jours, afin de trouver de quelle manière augmenter la puissance du fonds de secours régional et restructurer la dette grecque.
L'étalon américain était quand à lui en berne face à la plupart de ses concurrents, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.1% de son côté pour se situer à 76.3, sa valeur la plus faible depuis le 9 septembre.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
La forte demande physique de l'Asie a continué à soutenir les cours, les acheteurs de l'Inde, premier consommateurs mondiaux, en faisant l'acquisition à l'approche de diwali, un des festivals les plus propices, devant démarrer demain.
La Chine, son dauphin, n'a pas été en reste, les ventes augmentant de manière typique au cours des vacances célébrant le jour de l'indépendance au début auctobre et ce jusqu'au nouvel an lunaire de janvier.
Mark Cutifani, directeur exécutif d'AngloGold Ashanti, troisième extracteur d'or mondial, a quand à lui déclaré que les prix pourraient "facilement" s'élever jusqu'à 2 200 USD de l'once au cours des deux années à venir, en raison de la persistance des angoisses financières du monde.
Lors d'une conférence de spécialistes à Perth, en Australie, il a en effet assuré que l'envolée des cours était "loin d'être le résultats d'une bulle", ajoutant qu'elle était "probablement le reflet des facteurs économiques fondamentaux".
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs progressé de 0.34% pour grimper à 31.75 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont bondi de 1.12% pour se retrouver à 3.487 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 659.05 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.41%.
Ils avaient précédement culminé à 1 664.65 USD, leur meilleur cours depuis le 19 octobre, avec 0.68% d'augmentation.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et ses collègues d'Europe se rencontreront ce mercredi à Bruxelles pour leur seconde réunion en quatre jours, afin de trouver de quelle manière augmenter la puissance du fonds de secours régional et restructurer la dette grecque.
L'étalon américain était quand à lui en berne face à la plupart de ses concurrents, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.1% de son côté pour se situer à 76.3, sa valeur la plus faible depuis le 9 septembre.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
La forte demande physique de l'Asie a continué à soutenir les cours, les acheteurs de l'Inde, premier consommateurs mondiaux, en faisant l'acquisition à l'approche de diwali, un des festivals les plus propices, devant démarrer demain.
La Chine, son dauphin, n'a pas été en reste, les ventes augmentant de manière typique au cours des vacances célébrant le jour de l'indépendance au début auctobre et ce jusqu'au nouvel an lunaire de janvier.
Mark Cutifani, directeur exécutif d'AngloGold Ashanti, troisième extracteur d'or mondial, a quand à lui déclaré que les prix pourraient "facilement" s'élever jusqu'à 2 200 USD de l'once au cours des deux années à venir, en raison de la persistance des angoisses financières du monde.
Lors d'une conférence de spécialistes à Perth, en Australie, il a en effet assuré que l'envolée des cours était "loin d'être le résultats d'une bulle", ajoutant qu'elle était "probablement le reflet des facteurs économiques fondamentaux".
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs progressé de 0.34% pour grimper à 31.75 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont bondi de 1.12% pour se retrouver à 3.487 USD la livre dans le même temps.